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 Embuscade dans des thermes, c'est possible ? | Le Rossignol

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Anonymous
Invité
Sam 27 Déc - 23:46
J'm'ennuie. J'ai rien à faire aujourd'hui. Il neige même pas dehors, je peux pas m'amusais à regarder les flocons tomber. Je suis allongée sur mon lit, les bras et les jambes écartés en mode "étoile de mer" comme dans La Petite Sirène ou... La Petite Sirène. Pas d'autres exemples. Aucune connaissance dans le domaine des films, kedal nada. Antisociaaaal. Mais bon, je devais bien ne pas l'être vu que j'ai fait pas mal de rencontres depuis mon arrivée. Et c'était grâce à mon statut d'agent que j'ai pu connaître pas mal de monde. Et réaliser à quel point le travail nous tuait tous. Sauf que là, pas de travail aujourd'hui. Enfin, plus maintenant. Donc repoooos. Sauf que voilà, je sais pas quoi faire. J'avais vraiment pas envie de sortir, mais bon, j'aurais peut-être une occupation. Donc je me levai finalement de mon lit et fouillai dans mon dressing. Vêtements chauds, vêtements chauuuds... Le haut, j'ai, le bas, j'ai... Presque. Le jean là il va pas tenir chaud, si ? Ouais, bon essayons. Au pire, c'était pas comme si tous les passants fixaient mon pantalon, hein hein.

Enfin prête, je pris mon sac, mais sans l'ardoise sur le coup. C'était juste une simple balade, et si des gens venaient me dire bonjour, je ferais que de brefs gestes de la main. Et si je vais dans un magasin je ferais... Je ferais rien, je n'irais pas dans un magasin, je me baladerais tranquillement dans la ville. Ce que je fis d'ailleurs. Il y avait moins de monde cet après-midi. D'habitude, la place était bondée, mais aujourd'hui, c'était presque désert. Après tout, tant mieux, c'était plus calme. Je continuai de marcher avant de m'arrêter devant un bâtiment. J'étais étonnée, je savais pas qu'ils avaient construits des thermes à Chantilly. C'était peut-être pour cette raison qu'il n'y avait personne. Ça me tenterait bien, je voudrais essayer... Sauf que j'ai pas mon maillot de bain. Zut. Mais je voulais entrer moi. Je devais avoir le courage de rentrer à la maison, monter d'un étage, ouvrir le dressing, fouiller dans les vêtements d'étés en provoquant un vacarme pas possible, trouver le maillot de bain, ranger les habits en boules, fermer le dressing, descendre au ré-de-chaussé, sortir de la maison et revenir devant les thermes. Que d'exercice, je vous disais ! Bah, j'avais décidé de refaire le chemin, courageuse que j'étais. Et j'avais fait le plan que je vous avais donné précédemment. Maintenant, mes pieds étaient littéralement foutus. Et je priais pour qu'il n'y eût pas un monde fou à l'intérieur, sinon c'était mort. Et pour une fois, ma prière avait été acceptée. Bon, okey, il y avait un peu de monde, mais moins de ce que je pouvais imaginer. Ouais, je pensais que les thermes était remplies à ras bord. Problème ?

J'entrai. Je me plantai devant le guichet, attendant que la dame d'accueil me racontât de quoi étaient équipées les thermes. Et franchement, j'étais vraiment étonnée de tous les gadgets trucs bidules, des salles dispo...  DU REPAS JAPONAIS. Thermes, je vus aime. Vous et moi, on va bien s'entendre, c'est clair. Non mais vraiment, elles avaient la classe. J'aimais enfin un bon truc. Aussi, ce truc-là était fait pour être aimé ! Le premier qui dit qu'il aime pas, il recevra mon ardoise dans sa face. Ardoise que je n'avais pas par ailleurs. Boulette numéro deux. Par contre, je ne voyais pas, mais alors pas du tout faire un nouvel aller-retour pour prendre mon ardoise. En plus, je suis plantée devant Madame d'accueil qui trouve bizarre que je lâche pas un seul mot. En fait j'hochai juste la tête, mais elle semblait vraiment vouloir que je dise un mot. Mais non, je ne dirai rien Madame, non mais. Elle me passa finalement les clés pour mon vestiaire. J'avais enfin la liberté de circuler où bon je voulais. Qu'est-ce qu'il faisait bon en plus, c'était comme si j'étais au paradis. Sauf que dans une heure ou deux, je le serais plus, car l'enfer hivernal serait de retour à ma sortie. Donc autant en profiter. Je partis me changer rapidement dans une des cabines et enfilai mon maillot. Je me ruai -pas courir hein, sinon le sol me dirait bonjour- vers les thermes japonaises. Je suis originaire du Japon, normal que j'y aille. Mais il y avait un chouya plus de monde que tout à l'heure, c'était normal ? En fait, ils aimaient tous le Japon donc il y étaient tous allés. Et moi je me retrouvais comme une idiote à rechercher une pauvre place, où le moins de monde l'entourait. ... Bingo, j'en avais focalisée une. Je me dirigeai rapidement vers MA place avant que quelqu'un ne vienne la prendre. Puis paf, je bouscule une personne au passage. Manquant de tomber à mon tour, la tête la première dans l'eau. Mais heureusement, cette affreuse scène ne se passa pas.

Ayant retrouvé mon équilibre, je me retournai pour m'excuser auprès de la personne que j'avais dérangée. Personne qui n'était plus ? Ah si, par terre. Par contre, la demoiselle s'était ramassée. Ça devait faire mal, mais j'étais bien contente car, pour une fois, c'était pas moi qui me retrouvais les fesses au sol. Mais j'étais gentille, et lui tendis la main pour qu'elle se relève. C'était une petite fille ? Elle était assez grande quand même. Seize ans à tout cassé, mais pour le visage ça la faisait moins. Une petite grande fille. Déduction de ouf. Hum bref, je me courbai en avant pour m'excuser et partis à la place que j'avais trouvée. Victoire, elle était toujours là, prête à m'attendre. Je plongeai délicatement mon pied dans l'eau chaude, puis l'autre à son tour, jusqu'à entrer totalement dans le bassin. Qu'elle était bonne, l'eau chaude. Mes couettes baignaient elles aussi dans le liquide transparent, et je fermai les yeux pendant de longues minutes, comme si je me mettais à méditer. J'étais maintenant plongée dans mon monde, toute seule, puis je rouvris mes yeux. Visage blond juste devant moi = Sursaut = Bordel pas possible. Ah mais cette idiote elle m'avait fait peur là ! Elle avait fait exprès ou bien ? Eh, mais c'était la gamine de t'aleure. Qu'est-ce qu'elle fout là ? Je ne lui avais pas demander de me suivre, je m'en souviens pas. Ouais bon, c'était sûr que je pouvais rien lui proposer, je pouvais rien dire. Je m'écartai d'elle, mais elle se rapprocha encore plus. C'était comme si t'étais sur un tapis roulant mais sans le savoir ; t'essayes de fuir un truc, mais tu restes comme qui dirait collé à lui. Et c'était ce que je ressentais avec elle.
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Anonymous
Invité
Dim 28 Déc - 21:12
Il faisait froid, et le vent soufflait dans les rues de Chantilly. Emilie, qui voulait partir à la plage se baigner était prise de cour. Enfin quoi de plus normal qu'il fasse froid sachant que nous étions en hiver. Son petit sac de couleur rose contenait un maillot de bain de couleur rose ainsi qu'une serviette de la même couleur. Et elle n'avait pas envie de la défaire, c'était du gâchis ! Déjà qu'elle avait passé trois heures la veille pour savoir lequel de ses nombreux maillots roses elle allait mettre.

Elle réfléchit quelques instants, où pouvait-elle aller avec un maillot de bain? Il y avait bien la piscine, mais celle-ci était fermée pour nettoyer les bassins... De toute façon, vu le temps venteux, l'eau de la piscine n'tait pas assez chaude pour elle !

Elle s'assit sur la chaise devant sa coiffeuse pour continuer de réfléchir, lorsque quelle posa ses pupilles bleutées sur une tract annonçant l'ouverture des thermes -bien que la papier datait d'un mois-. Elle regarda le papier quelques instants. Les thermes? C'était comme des piscine en plus chaude et pour les grands ! Emilie leva les yeux vers son miroir et se leva. Elle était grande. Donc ça allait ! Elle sourit avant de prendre son sac et de se diriger vers la porte, pour sortir dehors.

Il faisait vraiment très froid, et la jeune fille était vêtue d'une fine robe d'été. elle grelotta légèrement et se dirigea en marchant vers les thermes. Au bout de plusieurs minutes de marche, la blonde entra dans le bâtiment flambant neuf, qui étincelait tellement il était propre. Elle se dirigea ensuite vers la caissière qui lui demanda l'argent. Emilie baissa les yeux vers sonsac, et l'ouvrit pour en sortir un petit porte monnaie, et en extrait l'argent demandé. Elle tendit ensuite les billet à la dame qui la regardait bizarrement.  

-Mademoiselle on accepte pas les billets de monopoly ici, fit la caissière d'un ton sévère.

La jeune fille, ne comprenant pas, regarda les billets que lui avait redonné la dame, avant de se frapper la tête contre le mur d'à côté.

-Excusez moi je me suis trompée de porte monnaie !

Emilie-Rose lui tendit ensuite la somme requise, puis se dirigea vers les vestiaire en sautillant. Elle avait hâte de voir à quoi ressemblaient ces thermes ! Elle se dirigea dans les vestiaires et se changea pour se vêtir de son splendide maillot de bain ! Une fois correctement habillée, elle se dirigea vers les bains. A peine fut-elle entrée qu'elle sentait cette chaleur lui cramer le cerveau.

-C'est moi ou ça sent le poulet rôti?

Elle haussa les épaules et chercha un place où elle pouvait s’asseoir lorsqu'elle vit la place parfaite ! Cette place est faite pour moi j'en suis sûr ! Le sourire aux lèvres, elle marcha sur la carrelage blanc la tête haute, vers la place tant convoitée. Il n'y avait personne, et cette belle place était dans un coin ! Un coin ! La meilleure place qui puisse exister.

Soudain, Emilie glissa, quelqu'un l'avait poussé ! Elle regarda l'auteure de cet acte odieux qui était une fille, plus grande qu'elle, avec des couettes et un œil violet, et l'autre rose. Trop classe ! L’inconnue l'aida gentiment à se relever. Elle ne dit pas un mot et sa baissa pour s'excuser, avant de partir à toute vitesse, sans que la petite blondinette n'ait le temps d'en placer une. Elle la regarda ensuite se diriger vers le bassin avant d'aller dans l'eau, pour finalement se diriger vers la place tant convoitée d'Emilie.

Emilie fit la moue, avant de se diriger elle aussi vers le bassin. elle y lit le pied et l'eau lui brûla la peau?C'était vraiment très chaud, un peu trop pour elle, mais en même temps c'était... Parfait ! Elle se dirigea ensuite vers la fille de tout à l'heure, expirent retrouver sa magnifique, splendide, parfaite place. Elle s’approcha tout doucement d'elle.

-Euh excuse moi?

La fille avec les couettes sursauta, sous le regard étonné de la blonde. Faisait-elle peur? Elle la regarda, ses prunelle grandes ouvertes. Elle s'assit à côté d'elle. Après tout de cette manière si elle partait,elle allait pouvoir prendre sa place. Mais contre toutes attentes, la filles aux couettes se décala, et Emilie fit de même. J'ai de la chance elle veut partir ! Elle lui sourit à pleines dents, avant que la personne ne se décale encore. Elle s'était tellement décalée qu'Emilie put prendre la place du coin !

-Ah c'est gentil de ta part de m'avoir laissé la place, lui sourit Émilie.Au fait je m'appelle Emilie-Rose et toi?
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Anonymous
Invité
Lun 29 Déc - 12:32
HRP:

Je ne pensais pas que quelqu'un allait taper la discute avec moi aujourd'hui, alors que je n'ai pas de quoi communiquer surtout. Bof, on m'aurait sûrement interdit de la prendre l'ardoise, qui sait, des gosses se seraient peut-être amusés avec, l'auraient cassée, ou paumée. Et sinon, qu'est-ce qu'elle vient de dire celle-là ? Depuis quand je lui avais cédée ma place ? Popo, tu vires de là, propriété désormais privée. Et si tu m'embêtes, bah je vais me plaindre, on n'embête pas les handicapés. Je l'utilise à très mauvais escient mon handicap en fait. T'façons, elle allait recevoir un vent à sa question, puis m'en poser des tonnes et des tonnes du genre "Pourquoi tu parles paaaas ?", "Tu as perdu ta laaaaangue ?". Et encore, ce n'est rien.

Je l'observai d'un regard mauvais et pointai du doigt sa bouche. Avec mes deux index, je fis une croix. Si elle comprend pas, je désespère, sérieux. Mais je continuais mon petit jeu et pointai cette fois-ci son crâne blond et dirigeai mon doigt... Vers la profondeur du bassin. En gros ça voulait dire "Tu bouges de là ou je te noie.". Bien sûr, c'était pas facile de faire comprendre ça avec un langage des signes. Même enfantin. Et à en juger par l'expression de son visage, je faisais des signes chinois. Même un gosse de quatre ans aurait compris tout de suite ! Sinon je lui fais la pratique, et elle comprendra peut-être ce que je compte lui faire si elle dégage pas tout de suite.

Je sentais son regard peser sur moi, et je faisais tout pour l'ignorer. Franchement, elle pouvait pas me lâcher les baskets ? Je ne lui avais rien fait, que je sache. Je détachai mes couette et plongeai brièvement la tête sous l'eau. La frange collait à mon front, mais ce n'était pas le plus important. Je regardai du coin de l'oeil la blonde, elle aussi, ses cheveux trempés. On aurait dit qu'elle m'imitait, ce qui devenait assez gênant. Et humiliant. Se laisser faire par une gamine était honteux, pour moi, mais je n'allais pas me laisser faire, oh non. Pour totalement l'oublier, je commençai à faire quelques brasses un peu plus loin. Puis pouf, un ballon atterrit devant moi. Je l'attrapai, et avec un grand sourire le renvoyai aux petits qui jouaient avec. Ils me firent un signe de la main et je leu rendis la pareille. Une voix flette se fit entendre, mais je ne faisais pas attention. Je l'avais reconnue quand même, à peine on l'entendait parler qu'on garder le son de sa bouche en tête. Faire comme si de rien n'était. La la laaaa.

*PLOUF*

Blblblblblblbl. J'arrive plus... À respirer... Qui m'a écrasée bon sang ?! Ou plutôt : qui a décidé de m'assassiner en me noyant que je lui fasse pareil ? Je sortis brusquement de l'eau et essayai de reprendre mon souffle. Je toussotai et cherchai du regard l'avorton qui avait tout provoqué. Tête blonde en vue. Sourire sur son visage. Naaaan, elle aurait quand même pas fait ça ? Elle pouvait être très bavarde, mais je ne pensais pas qu'elle aurait fait u tel acte. À moins qu'elle ou quelqu'un d'autre eût fait cela pour s'amuser, bah moi je trouvais pas ça marrant du tout. J'inspirai un bon coup et plongeai sous l'eau. Telle une ninja aquatique, je nageai en direction du coin et sortit brusquement la tête. Pouaa, ninja devant la gosse. C'était ma vengeance de tout à l'heure pour le sursaut. Je pointai une autre place au loin et la laissai observer pendant que je la poussai lentement là-bas. Aaaaah, place à moi de moi. Et toi, tu t'approches pas de cinq mètres de moi. Et si tu comptes utiliser le coup du je-te-refais-peur-à-mon-tour-en-ressortant-de-l'eau, bah c'est peine perdue, tu recevras mon pied en guise de remerciement. Non mais.
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