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| [PV Mag, Emerald, Vio] Deux pour le prix d'un. | |
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Populace en sucre de Cooki | Dim 29 Juin - 9:25 | |
«Oui, l'erreur est humaine. Comme tomber des toit ?»
«Et comme casser des trucs. Pourquoi tu tiens tant que ça à partir ? On ne t'a rien fait. A croire qu'on te met mal à l'aise.»
Il vit Yumi lever la tête pour admirer la magnifique ouverture qu'il avait créé en arrivant dans ce qui devait être sa nouvelle maison. Tenzin était un type débrouillard, quand on a vécu pendant des années comme un vagabond, on acquiert des compétences qui peuvent parfois s'avérer utile; la couture, le bricolage, la cuisine avec peu d'ingrédients. Il pourrait s'occuper de ce toit sans trop de soucis. Mais il repensait à ce que Juan disait. Non, effectivement elles ne lui avaient rien fait mais oui, il se sentait mal à l'aise. C'était un homme à problèmes mais c'était ses problèmes justement. Mêler ces jeunes filles à ses histoires sordides, ce n'était pas correct, même venant de lui!
«Tu as parlé de missions tout à l'heure. Et d'agence aussi. Quel est son nom ?»
Il venait à peine de finir de lire sa phrase qu'elle s'empressa de l'effacer pour en écrire une autre. Elle tourna une fois de plus l'ardoise vers lui et les deux autres. «Parce que tu as attisé ma curiosité à ce sujet.»
Merde, ce n'était pas passé inaperçu! Il fit les gros yeux et recula de quelques pas avant de prendre une grande inspiration puis lâcher un gros soupir. Ah lui et sa grande gueule, il va falloir lui apprendre à la fermer! Et puis ce n'est pas le moment, y'a du rangement à faire là. Et maintenant les deux autres voudront le savoir aussi. Il se tourna vers Nagisa et Juan. Elles étaient déjà en train de commencer à ranger, tout en jetant de bref coups d'œil dans sa direction, dans l'attente d'une réponse de sa part.
«Euhh...rangeons d'abord, on en discutera après, enfin on verra, hé-hé-hé!»
bafouilla-t-il d'une voix plutôt basse.
La fille à la chevelure acquiesça et lui prit le bras et le tira vers le milieu du salon. Oh ça va, il n'allait pas s'enfuir, même si l'idée avait germé dans son esprit.
«Pour le vase, j'essayerai de le recoller j'ai ce qu'il faut. Et pour la télé, tu peux l'envoyer au bricoleur du coin elle est pas perdue.»
Ok, aider les autres, ça il savait faire au moins. Il se mit à genoux et se mit à ramasser les morceaux du vase et à chercher ceux qui auraient pu se retrouver sous un gros meuble. Yumi disparu quelques secondes avant de revenir avec un bol qu'elle posa par terre et dans lequel et mit les morceaux du vases qu'elle avait récupéré. Tenzin fit de même. Pendant qu'il cherchait quelques morceaux récalcitrants sous une commode, il entendit le bruit de la craie sur une ardoise. Il se tourna vers la petite muette.
«Qui m'aide ?»
avait-elle écrit, un regard vers la télévision. Ah oui, ça devait être lourd. Il mit les derniers morceaux dans le petit bol puis se leva. Au moment où il se saisit de l'écran, quelqu'un cogna à la porte. Une grosse boule traversa la gorge du tibétain. Et si c'était les commerçants enragés de tout à l'heure? Inconsciemment, il fit un pas en arrière, quasiment prêt à bondir vers la fenêtre arrière si c'était le cas. Plus inquiétant, ça ne s'arrêtait pas de toquer. Mais bon sang, quand personne n'ouvre, c'est qu'il n'y a personne et on passe son chemin, alors pourquoi ça insistait comme ça? Nagisa finit par se décider à courir vers la porte. Le stress de Tenzin atteignit son paroxysme lorsqu'il entendit les bruits de pas se rapprocher du salon.
«Vous êtes tous la, on vas donc pouvoir commencer.»
M-m-mais? Ah non, c'est pas vrai! Pas lui! Tout mais pas ça! C'était le type de ce matin, le mec qui bossait au truc immobilier...Bon ben, c'est mort pour lui, il ne pourrait pas mentir plus longtemps.
«Excusez-moi, avant de commencer, pouvez-nous dire si cette personne est bien notre 4e coloc ?»
écrivit-elle pour le bonhomme, tout pointant le brun du doigt. Mais bien sûr, allez c'est bon, acharnez-vous, de toute façon c'est foutu. Le regard blasé, il fixa l'agent immobilier, attendant la réponse très évidente qu'il allait sortir.
«Mr Sashi ? Oui, bien sûr, nous avons discuté ensembles pour son nouveau logement.»
Pan, direct dans la gueule de notre Pinocchio en vert. Bon, il pourrait très bien prendre le mec par l'épaule et hurler un "Mais oui, mais ce n'était pas cet appartement mais un autre n'est-ce-pas? Dites leurs, allez!" mais bon, même dans la gaminerie et l'imbécilité, Tenzin avait ses limites. Le tibétain fit un sourire gêné tout en se grattant la tête, ricanement tout doucement comme un enfant que l'on venait de prendre en flagrant délit en train de faire une bêtise. Bon alors, récapitulons: vol avec fuite, dégâts matériels et mensonges éhontés et démasqués en plus...plus idiot que lui en ce moment ne pouvait pas exister. Il se mit à fixer les regards perçant des 3 jeunes filles braqués sur lui. Il joint ses deux index, les appuyant l'un contre l'autre, le regard fuyant, ses pupilles effectuant des va-et-vient de haut en bas, de gauche à droite.
«Ha..ha..ha. Je..je peux tout expliquer.»
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| | | Invité | Mar 29 Juil - 11:18 | | - HRP:
Désolé d'avoir mis autant de temps, j'était chez ma ma mère et je viens de rentré. Gomen nasai!!!
Tenzin lus quelque chose sur l’ardoise de Yumi qui le fit reculé légèrement. Je n'avais pas lus. J'était déjà plongé dans mes réfection sur comment réparé le toit. Si cela coûterai moi cher de le faire sois même ou pas. Déjà il faudrait acheté de quoi le réparé dans un bon magasin. -Euhh...rangeons d'abord, on en discutera après, enfin on verra, hé-hé-hé!J'était totalement d'accord, il fallait d'abord rangé ce bordel. Je me mis en quête de réunir les débris de plafonds. -Pour le vase, j'essayerai de le recoller j'ai ce qu'il faut. Et pour la télé, tu peux l'envoyer au bricoleur du coin elle est pas perdue.-D'accord, merci beaucoup Juan!-Qui m'aide ?Avait écrit Yumi sur son ardoise. Et Tenzin vint l'aidé. Tout à cou on toqua à la porte. On se dépêcha de finir de rangé puis je partit ouvrir rapidement. C'était l'agent immobiliers. Avec du retard, mais il était la. -Vous êtes tous la, on vas donc pouvoir commencer.Tenzin blêmit, je ne savais pas pourquoi, mais on allait le savoir dans quelque instant. -Excusez-moi, avant de commencer, pouvez-nous dire si cette personne est bien notre 4e coloc ?Voila la question qui résoudrai absolument tout! -Mr Sashi ? Oui, bien sûr, nous avons discuté ensembles pour son nouveau logement.Donc il avait bien vus l'annonce contrairement à ce qu'il avait dit, et s'était lui le quatrième coloc. Cela risque d'être assez drôle avec lui dans la maison si il agissait toujours comme ça. Il arborait un sourire gêné en se grattant le crane. Pendant qu'il agissait de manière à essayé de trouvé une solution inexistante. Je rit. J'eu une crise de fou rire à cause du fait que en cet instant j'avait pas un adulte mais un enfant devant. -Ha..ha..ha. Je..je peux tout expliquer.En continuant de rire, et avec les larmes au yeux, je lui dit : -On t'écoute! |
| | | Invité | Dim 3 Aoû - 22:13 | | Qu'ils sont bêtes. Si on supposait que Yumi qui avait évoqué une agence soit l'agence à laquelle Juan pensait, et bien elle faisait un très mauvais agent secret. Ou du moins elle devrait revoir ses cours sur la discrétion. Parce que supposons que ses trois colocataires soient agents de n'importe quelle agence, Juan gardera tout de même son identité secrète même si les trois étaient alliés. Elle savait que certains agents de MG étaient amis avec ceux de GML mais si elle révélait son identité, où était passé la notion de secret ? N'empêche, s'ils se croisent sur le terrain, son identité saute. Mais peu importait, le plus tard était le mieux. Juan posa les débris de verre qu'elle tenait lorsque l'homme était entré sur la table. Tenzin peinait à garder son sang froid alors que la tromperie avait été démasquée. Il ressemblait à un enfant tout embarrassé de la bêtise qu'il venait de commettre. Il se dandinait et fuyait les regards de ses trois nouvelles colocataires qu'il croyait rageurs. Mais il n'en était rien. Tandis que Nagisa s'étranglait de rire, Juan se contentait de le regarder les yeux pétillant d'amusement. Nagisa ne se fit pas prier non plus pour le mettre encore plus dans l'embarras en lui donnant toute son attention pour écouter ses fameuses explications. Qu'est-ce que le jeune homme allait bien pouvoir leur sortir de farfelus ? - T'inquiète tu vas pas aller au bagne pour avoir menti. Ta tête restera sur tes épaules.Juan avait sa façon à elle, très étrange et embarrassante, de rassurer les gens. En général, ça intensifiait leur angoisse et si c'était le cas, là, pour Tenzin, ça allait aussi intensifier le fou rire de Nagisa. Déjà qu'il avait une mine dépitée, Juan s'imaginait son visage se décomposer. Et cela la fit rire. Parce qu'il fallait comprendre dans sa phrase le "pour l'instant" sous-entendu. Noooon, elle ne le menaçait pas. Mais presque. Bon, après le moment fun, le moment moins fun. Autant se débarrasser des choses désagréables, c'est-à-dire l'agent immobilier. Il fallait que chacun d'entre eux lui rendent leur paperasse de chartes, assurances, loyer, etc. Juan se dirigea vers sa sacoche qu'elle avait laissée au bas de l'escalier et en prit une pochette plastique qui contenait tout ses papiers. - Et si on s'occupait du plus important ? proposa-t-elle aux autres. Et après ça, ils allaient finir de nettoyer et ensuite viendrait le moment de la question cruciale. Celle-ci étant les chambres. Ils avaient plusieurs choix : le vote, la dictature ou le hasard. Pour le vote, étant donné que personne ne veut obliger personne et que personne ne veut rejeter personne, cela risquait de prendre des années. Pour la dictature, un autre problème : qui était le dictateur en question ? Le choix le plus simple restait le hasard selon Juan. Ensuite, il faudra trouver comment s'y prendre. Ploufplouf, alladelidelo ? /PAN/ Bien sûr, retournons en primaire ! Ou à l'ancienne pourquoi pas, la courte paille si Nagisa et Yumi avaient ce qu'il fallait. Ah, si meurtrier ce hasard... Après c'était aux maîtresses de maison de choisir. |
| | | Invité | Mer 6 Aoû - 15:31 | | Ha..ha..ha. Je..je peux tout expliquer.
Ha, donc il voulait bel et bien fuir de la maison. Mais on va pas le bouffer sérieux, fin moi pas encore. Il eut un sourire gêné et se gratta le crâne. Sûr qu'il doit l'être, même qu'il faut qu'il ait honte de se comporter ainsi. Et Nagisa, elle... Tenzin l'avait tuée. Elle n'en pouvait plus, je voyais pas trop ce qu'il y avait de marrant dans tout ça perso, j'avais un petit sourire mais surtout mon regard blasé d'avoir dû procéder à plein de questions pour qu'il reste.
- T'inquiète tu vas pas aller au bagne pour avoir menti. Ta tête restera sur tes épaules.
Alors elle elle n'était pas mieux. C'est quoi ces remarques qu'elle nous sort là ? Ca y est, j'ai plus confiance, elle me fait flippeeeeer. Puis elle se mit elle aussi à rire. Maintenant restait plus que l'agent immobilier pour rire et je me croirais dans une maison de fou. déjà, les gens doivent penser qu'on tous fous vu l'énorme trou au toit. Ils vont se poser pleins de question et douter de nous, et ils vont avoir aussi peur de nous. Comme moi.
En attendant, l'agent immobilier attendait patiemment la paperasse des deux nouveaux colocataires. Je les regardai un à un et arrêtai mon regard sur le jeune brun, me demandant comment il allait faire pour vivre ici. Avec trois filles. C'était bientôt le moment de choisir les chambres. Mais avant, rangeons dans la joie et la bonne humeur ! Fin rangeons quoi. Pendant que Juan et Tenzin faisaient leur papiers, j'en profitai pour commencer le ménage. Enfin, encore fallait-il choisir par quoi commencer, je n'en avais aucune idée. Je tapotai l'épaule de Nagisa qui devait encore rire, et pointai la télé avec un sourire. Je n'avais pas très envie de m'attarder dessus en fait. Et puis j'écouterai en même temps l'histoire de Tenzin et de ses envie de fuites.
Après que la télé soit placée dans un endroit sûr, je me dirigeai vers les courses. Oui, je l'avais complètement zappées celles-là. Heureusement, les fruits n'était pas endommagés. Fallait juste les laver. Je m'approchai de la porte d'entrée en contournant l'agent immobilier qui se décala à mon approche. Et je ramassais tout ce qui traînait par terre. C'est chouette ça, bienvenue aux colocs. J'ai honte de moi parfois quand je vois tout ce bazar. |
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Populace en sucre de Cooki | Mer 6 Aoû - 18:33 | |
- HRP:
Sorry, je fais agir l'Agent Immobilier. Mais il le fallait bien ^^'
Bon, Tenzin s’attendait à une réaction plutôt froide, voire même déçue, de la part de ses peut-être plus futurs colocataires. Mais vu le ridicule de la situation, Nagisa oublia vite tout le bordel causé par le tibétain et éclata de rire. Mais pas un rire normal, bien élevé et tout, mais un putain de rire de malade, à gorge déployée! Mais sans retenue quoi, on aurait dit une hystérique! Bonjour le mal de ventre! Bon elle va bientôt arrêter, oui? Non, on dirait pas…Pendant qu’elle s’égosillait, elle tenta de dire quelque chose. Les larmes plein les yeux, elle mit du temps avant de trouver le souffle de parler.
«On t'écoute! »
dit-elle entre ses ricanements. Un peu agacée par les hurlements de la fille à la chevelure verte, il tenta de trouver un peu d’espoir et de compassion dans les regards des deux autres filles. Il tomba sur celui de Juan, dont l’expression faciale ne différait pas de celle de Nagisa. Quoi, elle aussi ça l’amusait ? Mais y’avais rien de drôle merde ! Ok, il avait fait quelques conneries mais ça peut arriver à tous nan ? Ben oui, qui n’a jamais défoncé un salon dans sa vie ? Bon d’accord alors…qui n’a jamais menti puis s’est fait prendre après ? Ahhh voilà, tout le monde se tait maintenant ! C’est embarrassant quoi ! En même temps, il l’avait bien mérité. Et il devrait encore plus en prendre plein la gueule parce que de simples moqueries, c’était trop gentil pour lui. Bon il devrait dire quoi maintenant ? Oui il peut tout expliquer mais il ne savait pas comment. Ça partait de loin quand même ce truc. L’air toujours blasé, un demi-sourire gêné sur le visage et la grosse goutte d’embarras qui glissait à l’arrière de son crâne, il avait dû mal à en placer une avec le rire de Nagi’ en bruit de fond. Il prit alors son inspiration mais fut devancé par Juan.
«T'inquiète tu vas pas aller au bagne pour avoir menti. Ta tête restera sur tes épaules. »
Le visage, non le corps tout entier du tibétain se crispa avant de se faire parcourir par un électrochoc de terreur. Il avala une grosse boule d’angoisse et recula de quelques pas, pris d’une certaine panique. Des menaces maintenant ? Et il allait peut-être partager sa chambre avec elle en plus, mais elle allait le tuer dans son sommeil ! Hors de question qu’il reste là, il tenait encore un peu à sa vie, aussi merdique soit-elle ! Et là, la fille à la chevelure rose se mit à rire aussi ! Accompagné du monsieur en costume en plus ! Ah mais ta gueule toi, tout ça c’était de ta faute ! Tenzin soupira de dépit et tourna son regard vers Yumi qui, curieusement, avait l’air presque aussi blasé que lui. Elle aussi ne trouvait pas ça drôle hein ? Gentille Yumi, au moins quelqu’un de compatissant ! C’est pas bien de se moquer, na ! Quoique…il ne se serait pas non plus gêné s’il avait été à leurs places.
«Et si on s'occupait du plus important ? »
demanda alors Juan. Avant, elle s’était dirigée vers son sac pour y prendre un truc en plastique avec des papiers dedans. Le plus important hum ? Quoi donc ? Ah, la punition c’est ça ?! Oh non, il le savait, une sadique ! Elle allait le torturer avec ces feuilles jusqu’à ce qu’il crève de…on pouvait crever de quoi avec des feuilles ? Peu importe !
Il n’avait plus que Juan en tête ! Il se foutait un peu de ce qui se passait autour. Pourtant ça s’activait mais il ne fit pas attention aux déplacements de Yumi et Nagisa, qui filaient de gauche à droite dans le salon. Lui, il fixait l’autre. Elle était effrayante, en plus elle était calme. Elle masquait son jeu c’est sûr, Minas lui avait bien dit de se méfier des femmes, surtout si elles étaient jolies. En même temps, c’est comment une jolie fille ? Il ne faisait pas trop de différences, elles étaient toutes jolies pour lui. Bref, Juan fit un pas en avant, s’approchant de lui et de l’agent, qui attendait patiemment. Le tibétain sursaute et se précipita derrière le vieil homme pour s’y réfugier. Seul le haut de sa tête et ses yeux dépassaient du bras droit de l’agent immobilier.
«Mais Monsieur Sashi, mais qu’est-ce que vous faites ? »
demanda-t-il les sourcils levés par l’étonnement, étouffant un fou rire naissant. Le dénommée Sashi pointa la fille aux mèches roses du doigt et se mit à hurler doucement il hausse la voix mais pas trop quoi :3. «Arrêtez de vous marrer, y’a rien de drôle ! Au début j’voulais pas rester parce que je voulais pas vous causer d’emmerdes mais maintenant, j’ai pas envie de mourir décapitée par la folle là !! »
Le monsieur en costume éclata alors de rire à nouveau puis s’écarta pour mettre Tenzin à la vue de tous. Ce dernier se réfugia encore une fois derrière l’agent immobilier qui s’écarta encore, ainsi de suite et ainsi de suite, jusqu’à ce que le tibétain reçoive un coup de sac de la part du monsieur en costume. L’Agent Emerald tomba en avant, juste sous les pieds de Juan. Il se roulait par terre en tenant l’arrière de sa tête, hurlant de douleur. Ah mais le vieux fou, ça va pas non ?! D’ailleurs ce dernier s’approcha, tout sourire, de Tenzin, se pencha et lui dit doucement.
«Allons allons, jeune homme, cessez ces enfantillages voulez-vous ? Pardonnez moi ce vilain geste mais j’ai besoin de vos formulaires, remplis s’il-vous plait.»
Comme un enfant qui venait de se faire sermonner, Em’ fit la moue et acquiesça sans rien dire. Toujours assis par terre, il se releva en frottant l’arrière de sa tête qui le brûlait encore. Il détacha le baluchon qu’il portait dans son dos et le posa par terre. On put entendre alors un bruit lourd. Il ouvrit le sac. On pouvait distinguer quelques vêtements entassés grossièrement dans le fond et sur lesquels se trouvaient de gros cailloux et de la ficelles. Il s’en servait comme poids d’entraînement en fait. Il glissa sa main dans le fond et en tira une pile de papiers froissés. Il ne savait pas trop ce qu’il y avait dessus, c’était le genre de trucs qu’il ne comprenait pas. Ça n’existait pas les assurances dans les montagnes et Minas ne donnait pas de cours d’administration. Aussi, c’était Mère-Grand qui avait tout fait pour lui. Non sans râler.
Il tendit la paperasse à l’agent immobilier. Ce dernier ne le prit pas tout de suite, s’écartant légèrement pour laisser passer une Yumi qui s’affairait à ranger et ramasser tous pleins de trucs par terre, aidée par Nagisa. De vraies fées du logis. Mais les sourires qu’elle affichait étaient encore moqueurs. Oui bon, jouer à cache-cache dans le dos d’un employé d’une agence de logement, ça vous est jamais arrivée ?
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| | | Invité | Sam 9 Aoû - 12:05 | | - HRP:
Je viens de voir la réponse, et notamment que mon pc ne m'avait pas envoyé de notif de la réponse... ><
Et c'est pas grave! tout le monde à le droit de le faire agir si besoin! -T'inquiète tu vas pas aller au bagne pour avoir menti. Ta tête restera sur tes épaules.Cette simple phrase eut le don d'augmenté encore mon rire. Mon ventre se tordait tellement je riais. Et cela commençais à faire un peu mal... Mais c'était tellement drôle que je n'arrivais plus à m'arrêté, au secours! Aidé moi! Je commençais à en avoir les larmes au yeux quand Juan ajouta : -Et si on s'occupait du plus important ?Oui voila! Occupons nous de la paperasse et du rangement! Merci Juan! Je riait encore mais mon rire commençais à ce calmé. Elle partit cherché dans son sac ce qui devait être les papier qu'attendait l'agent et quand elle lui rapporta, Tenzin eut la réaction la plus étrange que j'ai jamais vus, et mon rire repartit de plus belle. Tenzin s'était "caché" derrière l'agent immobilier. Même lui était mort de rire! -Mais Monsieur Sashi, mais qu’est-ce que vous faites ?-Arrêtez de vous marrez, y’a rien de drôle ! Au début j’voulais pas rester parce que je voulais pas vous causer d’emmerdes mais maintenant, j’ai pas envie de mourir décapitée par la folle là !! Folle ? Mais elle est pas folle! En tout cas, moi je l'adore déjà! Je ne put retenir une nouvelle fois mon fou rire. Puis dans ce cas, niveau folie on est tous atteint ici, n'est-ce pas monsieur qui ce cache derrière les agent immobilier. J'essaya de m'arraché à mon rire pour allai aidé Yumi qui voulais déplacé la télé. Je partit ouvrir le débarras et l'aida à l'y transporté. Puis on continua à s'affairé a rangement nettoyage. De coin de l’œil je vit Tenzin continué à faire le "cache-cache". Tenzin donna enfin les papier à l'agent celui-ci s'assit sur la grande table, et vérifia les deux fiche de demandeur de logement. Une fois vérifié tout en ordre il demanda : -Il me faut votre signature ici.Il tendit trois feuille à Tenzin et Juan. Il montrai la case du bas. -Ici.Il avait tourné la page et montrai le même endroit. -Et pour finir la.L'action se répétait juste une troisième et dernière fois. Je viens m’asseoir à la table après avoir ramené à boire à tout le monde. -Vous en êtes à ou des papier ? |
| | | Invité | Dim 17 Aoû - 10:53 | | Comme Juan se l'attendait, Nagisa repartit de plus belle dans son fou rire et Tenzin se frigorifia. Il la regardait désormais comme si c'était le diable en personne. Tandis qu'elle donnait les papiers à l'agent, qu'elle les signait, etc., Tenzin la fixait toujours et ça commençait sérieusement à la mettre mal à l'aise. Elle jetait des petits regards en coin dans sa direction de temps en temps en espérant qu'il s'occupe de ses fesses mais ses yeux de petit lapin terrifié ne la lâchaient pas. Tenzin se réfugia derrière l'agent pour qu'il lui serve de bouclier - même si ça n'aurait pas servi à grand chose. - Mais Monsieur Sashi, mais qu’est-ce que vous faites ?Ouais, il fait quoi là ? Il croit vraiment que Juan allait le bouffer ou quoi ? Mais en fait il est vraiment pas bien dans sa tête, c'était juste de l'ironie. Une manière de dire qu'on lui en veut pas d'avoir menti, on s'en bat les steaks ! Maintenant il la prenait pour une dangereuse tueuse psychopathe sado maso. Bien joué sérieux, Juan réfléchira à deux fois maintenant avant de sortir des conneries pareilles. Tenzin, toujours effrayé, la pointa du doigt. - Arrêtez de vous marrer, y’a rien de drôle ! Au début j’voulais pas rester parce que je voulais pas vous causer d’emmerdes mais maintenant, j’ai pas envie de mourir décapitée par la folle là !!Alors là c'en était trop ! Elle avait envie de lui foutre une baffe, de l'engueuler, de le mettre à la porte -même si elle en avait pas le droit de base- et de l'étrangler avec son écharpe. Elle le regarda les yeux grands ouverts et serra les poings pour se calmer. Alors au lieu de lui vociférer des injures à la gueules, elle sourit gentiment et lui répondit sur un ton plus ou moins calme. - Oh, excuse moi si je t'ai offensé, mais toi on peut dire que tu sais parler aux femmes.Ensuite, il se passa un truc complètement stupide que Juan eut du mal à tout suivre. Tout ce qu'elle retint, c'est qu'à la fin Tenzin se retrouvait par terre devant elle à crier de douleur. L'agent immobilier s'approcha de lui et lui chuchota quelque chose que Juan n'entendit pas. Là elle était trop paumée pour s'intéresser à ce que l'autre abruti disait. Puis Tenzin se décida à se calmer et sortit ses papiers pour les donner à l'agent. Sauf qu'il avait des trucs bizarres dans son sac, genre des pierres et de la ficelle. Wow elle savait qu'elle se trimbalait avec un kit d'apprenti alchimiste, mais là faudra lui expliquer ce qu'il foutait avec ça. Maintenant c'était Juan qui regardait Tenzin de travers. Sa petite scène avec l'agent immobilier l'avait convaincue que ce garçon n'était pas totalement clair dans sa tête. Ce gars était trop bizarre pour elle et elle ne le comprenait absolument pas. Elle laissa tout de même passer l'incident et une fois l'agent immobilier parti, ce serait le moment de s'occuper des chambres. |
| | | Invité | Mar 26 Aoû - 11:55 | | Je comprenais vraiment plus rien, entre Nagisa qui se met à rire pour tout et n'importe quoi, Juan qui fait flipper avec ses phrases zarb et l'autre... Hum, qui joue à cache-cache derrière l'agent immobilier, c'en était trop. Donc moi je voulais plus rien comprendre, je serai de nouveau là quand on désignera les voisins de lits. Na. Je finis enfin de replacer les courses dans le sac, et tapai contre le mur pour Nagisa. D'un bras, je commençai à faire toutes sortes de signes bizarres, aux yeux des colocs et de l'agent, mais j'étais sûre que ma touffe verte allait comprendre.
"Tu viens m'aider à prendre les autres sac s'il te plaît ? On va tout mettre sur la table et on rangera après avoir désigné les chambres et aidé Juan et Tenzin à s'installer comme il faut."
Parce qu l'ardoise, c'est bien, mais la tenir d'une main tandis que la craie est dans l'autre, avec les courses, c'est pas cool. Puis je fixai longuement Tenzin, qui fixait longuement Juan, qui elle le fixait aussi longuement. Ce mec était un cas à part de tout ceux que j'avais rencontrés depuis mon arrivée à Chantilly. S'il pouvait se comporter autrement, ce serait sympa. Parce que Nagisa et moi on peut penser qu'on a vraiment accueilli la mauvaise personne et que ce mec est un fou. Et s'il continuait de se comporter de la telle, je le virerait dehors. Et il aurait eu peut-être raison sur le fait de s'être trompé de maison.
- Arrêtez de vous marrer, y’a rien de drôle ! Au début j’voulais pas rester parce que je voulais pas vous causer d’emmerdes mais maintenant, j’ai pas envie de mourir décapitée par la folle là !!
- Oh, excuse moi si je t'ai offensé, mais toi on peut dire que tu sais parler aux femmes.
Aaaaah, les nouvelles rencontres sont toujours celles qu'on garde le plus longtemps en mémoire. Dont celle-là. Surtout quand les deux nouveaux colocs commencent à se faire la guerre. Je soupirai avant d'aller poser les sacs de courses sur la table. Quand je me retournais, je vis Tenzin aux pieds de Juan. Ah ça y est, elle l'a enfin dompter ! Fin un peu violemment, mais bon parler aux homes ne sert à rien. Je pris l'ardoise, commençai à faire des courbes, des cercles, des traits, des points. Lui, je l'avais à l'oeil. Entre démolir une baraque de je ne sais quelle façon, se cacher derrière un mec comme un gosse de 6 ans, hurler à tout vent et traiter la nouvelle coloc de folle, c'en était trop.
- On n'est pas au jardin d'enfants tu sais, donc tu te lèves, tu remplis tes formulaires et tu ranges avec nous. Après quoi nous nous occuperons des chambres.
J'suis méchante, mais parfois faut l'être avec les gens. Après qu'il eut le temps de lire ma gentille petite phrase, je posai ma plaquette sur la table et pris le balai et fis le ménage. Comparé à d'habitude, mes coups étaient plus forcés. Je pensais trop à la désignation des chambres, pas question qu'on soit dans la même ou je fais un meurtre. Ou je vais sauter du trou du toit pour mourir. Même je mourrai pas. Tiens, en parlant de toit, j'ai pas envie qu'il se mette à pleuvoir dans la maison perso. Je me tournai vers la demoiselle aux cheveux verts et lui écrivis ma petite phrase sur l'ardoise, et la lui montrai.
"On aurait pas une bâche ou un autre truc pour cacher le trou du toit ? Parce qu'on pourra pas le réparer en un après-midi."
Oui parce que je ne me vois pas retourner aux courses tout de suite en prenant le matos nécessaire et me faire coincer de nouveau par le chien.
Dernière édition par Agent Violet le Mer 27 Aoû - 20:58, édité 1 fois |
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Populace en sucre de Cooki | Mer 27 Aoû - 20:05 | |
C’est qui cogne? Les commerçants? Ça y est, ils l’ont retrouvé! Il est mort, c’est fini! Nooon, il devait fuir, vite une sortie…ah oui, le toit! Par là, il pourrait utiliser son écharper et…ah non fausse alerte. C’était Yumi qui tapait contre le mur avec son bras et faisant des gestes trop bizarres avec son autre bras. Elle aussi, elle est folle? Mais qu’est-ce que ça va être cette colocation?! Un vrai foutoir, un bordel innommable! Seule Nagisa trouvait ça normal en fait, alors que les deux nouveaux fixaient la muette avec air médusé.
«Oh, excuse-moi si je t'ai offensé, mais toi on peut dire que tu sais parler aux femmes. »
Ah ben ça, Juan était plutôt calme pour quelqu’un qui venait de se faire traiter de folle. Elle jouait plutôt bien la comédie, mais il avait déjà capté la tension dans l’air et le regard qu’elle lui fit tantôt le confirmait. Remarque, elle ne l’avait pas vraiment offensé. Pas plus qu’il n’était effrayé, enfin peut-être un peu, oui. Mais il aimait bien faire un peu le fou, sauter partout et dire de la merde juste pour dire de la merde. Tenzin, c’était ça aussi, un emmerdeur de premier ordre. Juste que ce con d’agent immobilier l’avait stoppé dans son délire en l’humiliant devant les 3 jeunes filles. La honte quoi, se faire mettre à terre par un quinquagénaire. Bah, ça rajoute une grosse part de comique à l’action mais il ne s’y attendait pas vraiment. Bon après, il ne pigeait pas trop ce qu’elle disait sur le fait de savoir parler aux femmes. Ben oui qu’il savait parler aux femmes, suffisait juste d’ouvrir sa boucher et faire des phrases non? C’était pareil que causer avec les hommes dans le fond. Oui bon, pas besoin de faire un dessin, le tibétain ne connaissait rien à l’art de la séduction et à l’art rhétorique.
Entre temps, la fille aux mèches violettes avait déposé ses sacs de courses et s’était approché de lui, son ardoise entre les mains, avec quelque chose écrit dessus
«On n'est pas au jardin d'enfants tu sais, donc tu te lèves, tu remplis tes formulaires et tu ranges avec nous. Après quoi nous nous occuperons des chambres. »
Le jeune homme avait gonflé les joues, comme un gamin qui boudait. Ouais ouais, ça va, il avait comprit. Fini les délires pour aujourd’hui! Il le reconnaissait, il était peut-être allé trop loin dans ses enfantillages. De nature, c’était un gosse mais il fallait préciser qu’il en rajoutait. Beaucoup trop même. Bref, il se plia aux exigences de ce vieux con…euh pardon…honorable monsieur et lui avait donné ce qu’il voulait. Au passage, il remarqua que Juan le regardait bizarrement. On pourrait même dire qu’elle le décapitait du regard. Il eut un peu peur mais finalement, il se disait que si elle avait voulu le tuer, elle l’aurait sûrement fait depuis longtemps. En fait, elle pouvait être gentille comme tout et vous menacer de mort juste après. Ou alors elle le ferait dans son sommeil. Le jeune homme lui avait répondu avec un petit sourire timide, ne sachant pas trop comment cerner cette fille.
«Il me faut votre signature ici. Ici. Et pour finir, là. »
Le vieil homme le tira de son échange de regard avec la fille aux cheveux roses, leur tendant à tout les deux, trois feuilles de papier. De son index, il indiquait les petites cases en bas de page, où il faillait qu’ils signent. Heureusement que ce vieux bougre avait donné des stylos avec, vu que ce n’était pas vraiment le genre de truc que le brun trimbalait avec lui. Il s’empresser de signer de la main gauche, vive les gauchers!!!., laissant ensuite les papiers sur la table pour que le monsieur puisse les ramasser.
«On aurait pas une bâche ou un autre truc pour cacher le trou du toit ? Parce qu'on pourra pas le réparer en un après-midi. »
C’est ce qu’il lut lorsqu’il se redressa. Ce n’était pas pour lui mais il leva instinctivement les yeux vers le plafond, constatant un peu mieux les dégâts. Ah ouais, c’était un sacré trou quand même. Difficile de trouver quelque chose d’étanche et de solide pour la nuit. Il fit une grimace, pensant à la seule solution qui lui restait. Mais il leur devait bien ça, après tout les problèmes qu’il avait causés.
«Vous en êtes à ou des papiers ? »
Il baissa la tête pour croiser le regard de Nagisa, qui avait déposé sur la table un plateau avec une carafe d’eau, une brique de jus de fruits et 5 verres. Il ne répondit pas de vive-voix et se contenta de lever son pouce en l’air avec un léger sourire, pour dire "Tout est ok!". Il repensa à nouveau à cette fameuse solution. Il mit une main sur menton, le grattant machinalement, les sourcils froncés. Il se précipita alors dehors, passant par la porte qui donnait sur le jardin. Il disparut du champ de vision des filles, toujours à l’intérieur, pour la simple et bonne raison qu’il avait commencé à escalader les murs de la maison. Il arriva rapidement sur le toit, puis plaça sa tête au dessus de l’ouverture sur le toit.
«Hoy, je suis là! Je vais boucher ce trou temporairement. »
Il déroula son écharper et l’étendit au dessus du trou. Ouais, un tissu normal s’envolerait ou laisserait passer la moindre goutte d’eau si jamais il se mettait à pleuvoir. Mais Tenzin n’était pas qu’un abruti. Avec l’aide de sa psychokinésie, il réarrangea les liaisons atomiques de son vêtement, le durcissant au maximum, le rendant parfaitement étanche. Avec son nouveau poids, son écharpe ne risquait pas de s’envoler, à moins qu’un cyclone ne se décide à venir, là tout de suite. Ça le fendait un peu le cœur de se servir de ce bout de tissu rouge, car il s’agissait là du seul cadeau matériel que Minas lui avait fait. Mais voilà, il avait trop exagéré dans son comportement et il voyait bien que la patience des gens ne tenait plus qu’à un fil. Alors voilà, il le fit. Le bien être des autres passait avant ses sentiments, c’était aussi ça Tenzin.
Il sauta alors pour atterrir sur ses deux jambes, juste devant la porte par laquelle il était sortit. Il ne se préoccupa pas des regards de ses colocataires. Il pensa vite fait à ce que Yumi avait dit à propos des chambres. Au début, ça le dérangeait un peu mais finalement, il s’en foutait pas mal de qui partagerait sa chambre avec lui. Pour lui, ça ne faisait aucune différence puisqu’il était sûr qu’il allait finir sur le canapé. Après tout, il était de plus en plus convaincu qu’elles le détestaient. Il soupira longuement, et comme chaque fois où il avait un petit coup de blues, il sortit un briquet et petit paquet de clopes de sa veste. Il prit une cigarette qu’il amena entre ses lèvres avant de l’allumer. Il s’était un peu éloignée de la porte et s’était mit à aspirer nerveusement sur sa tige de papier, recrachant de petites colonnes de fumée grise. Un peu une manière de dire « À vous de décider, moi j’attends maintenant.»
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| | | Invité | Mer 3 Sep - 0:41 | | Yumi en avait eu marre de ce qu'il se passait et partit ranger les course. Ah les course! Faut les ranger! J'ai oublié ça! Mon rire se coupe de lui même en instant. Je pouvais être sérieuse quand je le voulais! Quand je le voulais justement...Quand je commença à venir aidé Yumi, celle-ci ce retourna vers moi et me "dit" : "Tu viens m'aider à prendre les autres sac s'il te plaît ? On va tout mettre sur la table et on rangera après avoir désigné les chambres et aidé Juan et Tenzin à s'installer comme il faut."-D'accord!Je vint l'aidé et mit les sacs restant sur la table. C'est la que je le vit, le "légendaire sandwich au œuf d'or". J'en avait parlé à Yumi la semaine passé. Une petite boutique qui vendait une fois par semaine un sandwich dit "au œufs d'or". A ce qu'il parait il était excellent, et j'avais dit que j'adorerai y goûter. Je n'aurais jamais pensé qu'elle l’achèterai! Surtout qu'il y à une longue queue pour l'acheté! Quand je me retourna, avec l'intention de remercier Yumi, je vis une scène singulière. Devant la réaction de Tenzin se cachant derrière l'agent immobilier et traitant Juan de folle, celle-ci sourit gentiment. Alors que toute autre personne se serait surement énervé d'ailleurs. Et elle lui dit : - Oh, excuse moi si je t'ai offensé, mais toi on peut dire que tu sais parler aux femmes.Bim dans les dents! Toute crédibilité ou fierté masculine viens d'être détruite à jamais en une phrase. Tant de violence! Et pourtant c'est une violence sans un seul coup échangé! Bon faut vraiment faire quelque chose pour l'atmosphère lourde la... Parce que je le supporterai pas longtemps, surtout si c'est tout les jour comme ça! En tout cas, point à noté. Il ne doivent absolument pas finir dans la même chambre si je veux pouvoir continué mes entrainement de nuit! Pour calmé l'atmosphère j'eut une idée. Je prit le sandwich et me jeta dans les bras de Yumi pour la remercier. -Merci ma Yumi préférée!Quand je met les déterminant possessif devant le nom d'une personne sa signifie que j'adore une personne et que je lui suis reconnaissant pour une certaine chose. Et elle le savait très bien après avoir vécue pendant un ans avec moi. En la lâchant je continua néanmoins. -Tu est la meilleure!Juste après cela, Yumi, bien que surement surprise, écrivit sur son ardoise quelque chose, quelque chose donnant l'effet douche froide assuré. - On n'est pas au jardin d'enfants tu sais, donc tu te lèves, tu remplis tes formulaires et tu ranges avec nous. Après quoi nous nous occuperons des chambres.Pendant que Tenzin s'occupait de ses papier, je remarqua le regard meurtrier de Juan. D'accord, je n'est pas réussis à calmé les tension... Après cela je décida de leurs apporté des boisson rafraîchissante, pour rafraîchir les ardeur de certain. Et quand je demanda ou en était leurs papier, Tenzin me leva le pouce en l'air dans un léger sourire fier de lui. Je lui sourit en retour et ne put m’empêcher de dire -Et bah voila quand tu veux!Oui cela donnait l'impression que je parlais à un enfant, et non je ne l'est pas fait exprès! C'est sortit tout seul! Je n'eut pas le temps de me défendre qu'il disparut dans le jardin. -Ah non tu vas pas repartir!J'avais pris un ton laissant pointé un agacement léger. Mais je me rendit compte bien vite que je n'aurai peut-être pas dut dire ça comme ça quand je le vit réapparaître dans le trou du plafond. -Hoy, je suis là! Je vais boucher ce trou temporairement.Le boucher ? Et comment ? Il n'a aucun matériaux! Peut-être avec des cailloux... Mais nan idiote! Des cailloux ça ne bouche pas les trou! Réfléchit bon sang! J'allais lui demandé comment il comptai faire quand il mit son écharpe. Ce qui m'étonna c'est que son écharpe avait l'air capable de rester en place. -Tu est sur que c'est une bonne idée ? Je voudrai pas que tu perde ton écharpe par notre faute! J'ajouta plus bas comme pour moi-même. Même si c'est de ta faute à la base.Lorsqu'il atterrit devant la porte il avait l'air légèrement déprimé. Et quand je le fit sortir un briquet et un paquet de clope je vit rouge. Je déteste les cigarette. Voir des fumeur dans la rue, c'est dur, mais s'il avait l'intention de vivre ici j'allais mettre au clair une petite règle très simple. Je prit un couteau, attention pas un simple couteau, mais un couteau extrêmement tranchant dans les deux sens. Un couteau de lancé quoi! Et je le lança. Sans aucune intention meurtrière évidement, et tout le monde pouvait le sentir que je ne voulais pas tué. Le couteau fila bien droit et coupé le bout allumé de la cigarette. Le couteau continua son petit bonhomme de chemin, et se planta dans un bruit mat dans l'un des arbres au fond du jardin. -Désolée, mais pour vivre ici, si tu veux fumé c'est interdit, que ce soit dans la maison, ou dans le jardin. Si tu veux vraiment fumé, tu vas dans la rue, d'accord ?Je releva la tête. L'agent immobilier venait de réunir ses affaires. Il avait l'air vraiment presser de partir. -Bon maintenant je vous laisse entre-vous mon travail est fini. Au revoir!Et avant que quiconque est pus le salué, il partit. On aurai pus dire la queue entre les jambes que ça n'aurai pas été aussi juste. Et cela m'arracha un sourire quand je parti récupérer mon couteau. Et le faisant promptement disparaître au fond d'une de mes manche. Pourquoi au fond de ma manche ? Car je gardait toujours une lame sur moi, et ce couteau la était rangé dans un étui attaché à mon bras, de la meilleur manière pour faire sortir la lame rapidement, soit ouverture vers le bas, avec besoin d'une légère secousse pour le faire se dégainé. Comment je faisait pour qu'il ne se dégaine pas tout le temps ? Faut pas que la secousse soit trop forte ou ils se bloque, et si elle est trop faible il reste dans son fourreau. Il fallait la secousse idéal, projetant vers le bas. Fin bref, cette explication mentale à moi-même n'est pas réellement importante! Je retourna auprès des autres en souriant, il fallait toujours qu'on décide des chambres, et pour ça j'avais une idée, mais j'attendait que Yumi donne son avis avant de faire part du mien. - HRP:
Désolé d'avoir, encore, mis du temps à répondre! >< J'était encore en manque d'inspiration^^ et pas mal occupé^^ Gomen!
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| | | Invité | Mar 23 Déc - 11:37 | | Heureusement, Yumi intervint entre eux et engueula Tenzin pour qu'il se bouge les fesses. La tension se relâcha un peu et Juan cessa d'être crispée et se détendit. Chouette la rencontre avec les nouveaux colocs. Yumi apporta gentiment des boissons rafraîchissantes. Juan en prit une et la remercia. Quand Tenzin eut fini de remplir ses papiers et se mit à réfléchir. Puis il sortit de la maison sans raison et ferma la porte. What ?... Juan savait qu'il ne voulait pas rester mais il pouvait au moins dire au revoir ! Elle sortit pour le sermonner lorsqu'elle vit que le tibétain grimpait au mur de la maison. Alors là c'était du délire, il se prenait pour Spiderman ou quoi ? - Mais qu'est-ce que tu fais ?!Il l'ignora superbement et se plaça au dessus du trou dans le toit. -Hoy, je suis là! Je vais boucher ce trou temporairement.Après Spiderman il s'improvisait maçon, mais bien suuuur ! Ce monde ne tourne absolument pas rond bordel ! Et la petite touche finale, il boucha le trou avec son écharpe. Donc à moins qu'il soit magicien, cet abruti va perdre sa jolie écharpe rouge au moindre coup de vent. Et ça ne lui a même pas traverser l'esprit cette idée ? Fin bon après tout, il faisait ce qu'il voulait. C'était son problème après tout, ce trou dans le toit. N'empêche, il y est aller fort, ou sinon le toit ne devait être pas bien solide. Elle rentra dans la maison et fut suivie de Tenzin juste un peu après. Il se mit à part, sortit une clope et se mit à fumer. Ouais en gros il s'en fout de nous. Gé-nial. Nagisa sortit un couteau et le... Qu-que quoi ?! Un couteau, non mais ça va pas !! Elle tendit le bras vers elle pour l'arrêter. Elle pouvait comprendre que les gens aient envie de le tuer mais pas ici s'il vous plaît. Nagisa lança le couteau en direction de Tenzin mais il ne fit que trancher sa clope et finit planté dans un arbre. Juan avait toujours le regard effrayé et le bras tendu. Elle resta bloquée à regarder la clope de Tenzin coupée en deux. Bordel... de merde. Ce qui était cool avec ces nouveaux colocs, c'est que tu avais le droit à tout ! Y compris les crises cardiaques, c'est sympa non ? Elle baissa son bras et se détendit. Oh non pardon, je crois que ce verbe dans cette maison n'existe pas. Alors elle s'assit doucement sur la canapé au cas où lui aussi s'amuserait à soudainement bouger et provoquer cette fois ci l'arrêt cardiaque. A 17 ans, c'est triste non ? - Désolée, mais pour vivre ici, si tu veux fumé c'est interdit, que ce soit dans la maison, ou dans le jardin. Si tu veux vraiment fumé, tu vas dans la rue, d'accord ?Nota bene : ne pas chercher la merde avec elle. Elle partit chercher son couteau et le rengaina tout en souriant. En souriant. EN SOURIANT!?! Elle trouvait ça... drôle ? Bon et si on passai à autre chose ? - Et pour les chambres, c'est comment ? |
| | | Invité | Sam 27 Déc - 12:55 | | -Merci ma Yumi préférée!
CÂLIN COMPRESSEUR. Headshot. Elle m'étouffe, cette folle, je meurs, je meurs. Très persuasif, mais vrai dans un sens. Je ne compris pas sur le coup ce qu'elle venait de me faire, et pourquoi surtout. Elle s'écarta et je la fixai avec de grands yeux tout ronds. Tous le monde est fou aujourd'hui. Les deux autres ont dû nous prendre pour des folles. Que dis-je, ils ont dû LA prendre pour une folle. J'ai honte je veux me cacher quelque part, n'importe où mais je veux plus qu'on me voit. Enfin bref. Maintenant, il ne restait plus que les chambre à fai... Où qu'il est passé l'autre idiot ? Et Juan aussi, ils sont où ? Ils ont fui, je le savais ! Maintenant, Nagi et moi on était juste seules dans la maison, avec un énorme chantier et un toit en miettes.
- Hoy, je suis là !
Mais mais mais comment il a grimpé là-haut, celui-là ? Il a intérêt à n'avoir rien cassé dehors, ou je te me le fait à ma façon. Il retira son écharpe d'autour de son cou pour... Reboucher le trou. Pincez-moi, je rêve là. C'est une maison maudite en fait. Quiconque entre dans la demeure devient fou. Donc Tenzin est fou. Juan, pas encore, mais ça va pas tarder. Moi, je dois l'être aussi. Et Nagi... Ça change rien, elle est naturellement folle. Bon, au moins, le trou était rebouché. Qui qui parie que dans quelques heures, on verra de nouveau un beau ciel bleu au plafond ? Moi moi. Mais je n'écrivis rien, j'observai plutôt la scène dans mon coin, de plus en plus surprise. Et ça ne se terminait pas, non, loin de là. Et ça recommençait, toutes ces folies allaient et revenaient. Pourquoi ? Bah en fait, Tenzin a fumé dans la maison. C'est mal déjà. Puis on ne fume pas ici, ordre de Nagisa. Donc, le mieux était de prévenir à l'interpellé qu'il était interdit de fumer dans l'enceinte de la maison. Sauf que quand t'es muet comme moi, tu peux pas lui dire de loin. Donc je m'étais rapprochée. Fin je commençai. Et heureusement, je me suis arrêtée assez tôt, avant de voir un couteau filer vers le jeune homme. OHMONDIEU JE VAIS LA TUER MOI. J'ai vraiment cru me faire toucher, sérieux. Et j'étais immobilisée, comme une statue, et comme Juan qui avait le bras tendu depuis déjà une bonne dizaine de secondes. Non mais, il a plus sain pur demander à quelqu'un de ne pas fumer ici, Nagisa. Je lui apprendrai les bonnes manières, un jour. Un jour. Je voulais fuir maintenant. Fuir de cette baraque et m'installer autre part. Ouais, c'est ce que je vis faire je pense.
- Et pour les chambres, c'est comment ?
Juan, seule personne n'ayant pas encore perdu une partie de sa cervelle ici. Et grâce à sa question, on changeait du tout au tout. Je filai dans la cuisine, évitant soigneusement les deux dangereux psychopathes et cherchai dans un placard deux pailles. Je les coupai chacune en deux, un bout plus grand que l'autre. Et vu que les pailles étaient de la même couleur, pas de triche. non mais. Je revins dans la salon, toujours aussi dégoûtée et blasée de la scène qui venait d'arriver. Je pense que je vais prendre un panneau "interdiction de fumer", mais aussi un autre où il sera écrit "interdiction de jouer avec les objets pointus ou qui blessent". Je ne donne pas cher de ma peau, et de celle des futures victimes ici. 'Fin bref, gratte gratte ardoise.
- On va faire le jeu de la courte paille. Celui/celles qui tireront les deux pailles les plus longues logeront ensemble. De même pour les pailles courtes.
Tant pis s'ils comprenaient pas, on verrait ça au moment de la pratique. Donc, on tira tous une paille. Moi ? Petite. Bon, j'espérais qu'une des filles eussent une paille courte aussi. Je les regardai du coin de l'oeil et remarquai que Nagisa en avait une longue. Bon, déjà, on allait chacune recevoir un nouveau colocataire dans chaque chambre. Pitié, faites que ce soit Juan ma voisine de chambre. Dieu, soit de mon côté... ... ... ... Bah non, vous avez cru qu'il allait m'aider ? HEIN ? Je me coltine Tenzin, Juan a une paille aussi longue que celle de Nagisa. Donc Tenzin en a un courte, logique. Et donc je ne demande plus qu'à mourir. Je demanderai à Nagisa de graver un truc sur mon ardoise et de la placer devant ma tombe. Et quand il pleuvra et que ça s'effacera, elle sera de nouveau obligée de le retranscrire, na. Brefouille, fallait annoncer les résultats maintenant. Avec le sourire, je vous prie. Non, en fait, j'y arriverais pas en souriant.
- Juan et Nagisa, vous serez dans la même chambre. Tenzin, avec moi. Sois content, on t'offre un lit douillet avec le carnage que tu nous a fait.
Comment que je parle maaaaaal. Mais comment je dis juste la vérité surtout. T'ention à lui, il a pas intérêt à faire de conneries, ou je rapplique avec mon ardoise. Bon ok, c'est pas comme un couteau, c'est pas pointu, mais je peux lui faire mal à plusieurs reprises, et il sera toujours vivant ! Bon, maintenant je proposai de monter directement les valises dans les chambres et forçai surtout Tenzin à grimper d'un étage. Limite à le tirer encore une fois par le bras. Je laissai Nagisa s'occupait de Juan. D'ailleurs, je la fixai avant de lui lancer un petit sourire et de lui faire un geste de la main.
***
Dans la chambre. Je laissai Tenzin entrer à son tour et regarder un peu partout. Je pris mon ardoise et commençai à écrire dessus. Bien sûr, je lui laissai le temps de visiter tranquillement. Mais je voulais faire vite, j'avais trop d'autres projets pour la journée. Genre, allait au boulot, sinon j'allais être en retard.
- Installe-toi où tu veux, fais comme chez toi. J'espère que tu te plairas bien, ici!; Je te laisse, il faut que je parte pour une urgence. Si tu as un quelconque problème problème, n'hésite pas à demander à Nagisa. Bonne journée.
Je doute qu'il irait demander conseil à Nagi vu ce qu'elle a fait il y a dix minutes. Si j'étais à sa place, je resterais enfermée dans la chambre toute la journée. Je pris mon sac et en fil une veste légère, avant de descendre au rai-de-chaussé. Maintenant, allez à l'Agence, car j'ai des petits papiers à remplir, et je veux faire partir ma colère au gymnase. Ou en mangeant dans la fabrique de gâteaux. À voir. - HRP:
Je préfère m'arrêter là, j'aurais plus rien à dire sinon, désolée.
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| | | Messages : 134 Arme de prédilection : Psychokinésie / Écharpe de ninja Arme non maitrisée : Armes à feu / Arcs / Armes lourdes
Populace en sucre de Cooki | Lun 19 Jan - 22:21 | |
Et ça y est! Tout le monde était en train de lui demander ce qu'il était en train de faire sur le toit...Ben alors? Il n'ont jamais vu un mec grimper un tout petit mur de rien du tout ou quoi? Mais laissez-le tranquille à la fin, déjà qu'il s'affaire du mieux qu'il peut à réparer les dégâts, voilà qu'on le lui reproche! Enfin, Tenzin n'écoutait même plus de toute façon. Il fit ce qu'il avait à faire et c'est tout ce qui compte.
«Tu est sur que c'est une bonne idée ? Je voudrai pas que tu perde ton écharpe par notre faute!. Même si c'est de ta faute à la base.»
Sa dernière phrase était à peine audible, mais il avait parfaitement entendu. Mais il n'en tint pas compte, après tout elle avait raison. Puis, elles n'avaient pas à savoir comment son écharpe pouvait tenir, c'était ses affaires. Aussi, il ne répondit pas et s'était contenté de descendre aussi rapidement qu'il était monté. Et nous revoilà au point où le tibétain tirait tranquillement sur sa clope, en plein milieu du jardin. C'est alors que ses sens l'alertèrent sur quelque chose qui se dirigeait vers lui. Son œil vif de montagnard put apercevoir la lame brillante qui fonçait en direction de son visage. Toutefois, et c'est ce qui paraissait étrange, il n'y avait aucune agressivité dans cette "attaque". C'est pour cela que son corps ne bougea pas d'un millimètre et laissa la lame venir trancher le bout de sa cigarette, avant de se planter dans un arbre derrière lui. Il fixa l'arme solidement ancrée dans le tronc avant de diriger un regard un peu perplexe en direction de Nagisa. Pas de toute, c'était elle. Et elle ne s'en cacha même pas.
«Désolée, mais pour vivre ici, si tu veux fumé c'est interdit, que ce soit dans la maison, ou dans le jardin. Si tu veux vraiment fumé, tu vas dans la rue, d'accord ?»
Mais elle était complètement malade ou quoi?! Ok, il pouvait bien accepter le fait qu'il soit interdit de fumer dans la propriété, mais le plus simple c'était de le dire, non? Il était vraiment tombé dans une maison de dingues, c'est clair!
«Bon maintenant je vous laisse entre-vous mon travail est fini. Au revoir!»
Et voilà, on lui a fait peur! Il s'était barré presque en courant! C'est malin, il ne voudra sûrement plus revenir ici maintenant...c'était d'ailleurs très étonnant qu'il accepte de louer sa maison à des fous pareils. Maintenant que le brun y pensait, l'Agence lui avait recommandé cet endroit. Si ça se trouve, c'est la vieille qui dirige tout ça. Ah, pas le temps de spéculer sur des trucs de ce genre pour le moment! Tenzin regarda Nagisa passer à côté de lui afin d'aller récupérer son arme. L'air blasé, il lâcha un soupir discret avant de s'avancer vers la maison. Au passage, il jeta son bout de clope dans la poubelle extérieure puis s'engouffra à nouveau dans le salon. En temps normal, il aurait répondu à une telle "agression", mais il se retint. Déjà qu'il était mal vu, autant ne pas donner des raisons supplémentaires de le haïr. Il lâcha juste un "Tschh.." puis mit ses mains dans les poches, attendant la suite, s'il y en avait une.
«Et pour les chambres, c'est comment ?»
Les chambres? Il se fichait royalement de ça. Mais pas les filles apparemment. D'ailleurs, l'autre là, comment qu'elle s'appelait déjà? Ah oui Yumi! Ben Yumi fila à toute vitesse dans la cuisine, en faisant bien attention de ne pas trop s'approcher du tibétain. Sympa, vraiment. Mais qu'est-ce qu'elle était en train de foutre? C'était quoi tout ce boucan qu'elle faisait? Après quelques petites minutes d'attente, elle revint dans le salon, avec des bouts de bois dans les mains. Le jeune homme leva un sourcil d'étonnement, se demandant évidement ce que toute cette manœuvre signifiait. «On va faire le jeu de la courte paille. Celui/celles qui tireront les deux pailles les plus longues logeront ensemble. De même pour les pailles courtes.»
Pas besoin de relire la phrase, il avait parfaitement compris. Il haussa les épaules et laissa les deux autres filles tirer en première. Le résultat ne l'intéressait absolument pas. Ne portant aucun intérêt à l'exercice, il se mit à regarder ailleurs, réfléchissant plutôt à la manière dont il allait pouvoir rembourser les dégâts le plus vite possible. Probablement qu'il devrait doubler, voire même tripler le nombre de ses missions pour l'Agence. En plus de ses activités nocturnes, il va devoir maintenir une petite moyenne de 2 heures de sommeil par nuit s'il voulait y arriver. Finalement, il entendit le grattement de la craie sur l'ardoise et se tourna à nouveau vers les filles. Juan et Nagisa tenaient des tiges de même longueurs. Il ne lui fallu pas attendre que Yumi finisse d'écrire pour comprendre.
«Juan et Nagisa, vous serez dans la même chambre. Tenzin, avec moi. Sois content, on t'offre un lit douillet avec le carnage que tu nous a fait.»
Toujours les mains dans les poches, il détourna le regard avant de répondre avec un ton ennuyé.
«Bof, pour moi peu importe avec qui je partage ma chambre, ça ne fait aucune différence. Si ça te dérange tellement, je peux dormir dans le salon..»
De toute façon , parti comme cela, il ne passera pas beaucoup de temps dans cette maison. Sa camarade de chambre s'approcha de lui et tira doucement sur la manche de son vêtement pour l'inviter à le suivre. Apparemment, elle se foutait de son avis, comme tout le monde quoi. Il recula de quelques pas afin de se saisir de son sac puis se mit à suivre Yumi dans les escaliers. Il n'adressa pas un regard aux deux autres, et se contenta de fixer le dos de la brune, l'air toujours aussi ennuyé. Bon, les voilà dans leur chambre. Il jeta quelques coups d'œil afin de repérer son lit. Bon, voyant le côté de la chambre vide de toutes affaires, il devina que c'était son nouveau territoire.
«Installe-toi où tu veux, fais comme chez toi. J'espère que tu te plairas bien, ici!; Je te laisse, il faut que je parte pour une urgence. Si tu as un quelconque problème problème, n'hésite pas à demander à Nagisa. Bonne journée.»
C'est ce qu'il put lire lorsqu'il se tourna vers la jeune fille aux couettes. Elle se saisit de son sac et enfila un vêtement avant de sortir de la chambre et dévaler les escaliers, laissant le tibétain seul. "Demander à Nagisa" qu'elle dit? En gros elle veut sa mort quoi...bon elle ne devait pas être aussi effrayante, elle avait sa propre manière de communiquer quoi..! Bref, il déposa son sac au bord de son lit, puis s'accroupit afin de chercher quelque chose à l'intérieur. Il en sorti deux longues chaîne. Il retira sa veste puis enroula les chaînes en croix contre son buste, puis réenfila son vêtement. Il lui fallait tout de même une arme pour combattre. Il sorti de la chambre et s'apprêta à descendre les escaliers avant de partir travailler lorsqu'il pensa à un truc. Il devait aller parler..à Nagisa.
D'ailleurs il entendait sa voix, et celle de Juan également, qui venait de la pièce d'en face. Il s'approcha de la porte et engouffra sa tête à l'intérieur.
«Yep, j'aurais besoin de la clé de la maison, j'suppose qu'on a un exemplaire chacun, non?"
Oui, les clés. S'il devait sortir, il devait être capable de rentrer, surtout qu'il comptait revenir à des heures peu conventionnelles.
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| | | Invité | | | | Messages : 481 Arme de prédilection : Magie noire de l’Eau /Combat au corps à corps et à l'arme blanche Arme non maitrisée : Armes à feu / Magie de Foudre
Modérateur | Jeu 14 Mai - 18:10 | | [Non, il n'y a que Vio qui est parti. Y'a encore moyen de continuer mais si Ol' et toi n'êtes plus trop dispo, on peut annuler.] |
| | | | | | | | [PV Mag, Emerald, Vio] Deux pour le prix d'un. | |
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