Caractère et capacités
Jeune homme ambitieux et franc, Alois aime attirer l’attention. Il aime être au centre du monde, qu’on le regarde, qu’on s’intéresse à lui. On peut le dire, il est légèrement imbus de lui-même. De plus, il aime être désiré, savoir qu’il plait. C’est un grand charmeur, aussi bien vis-à-vis des filles que des garçons. Cependant, il se dit solitaire alors que, au contraire, il préférerait être entouré de ses amis. Cela ne veut pas dire qu’il est méchant avec les autres, mais plutôt qu'il ne cherchera pas a venir vers eux. Il n’y a qu’avec ses amis, les gens qui le connaissent vraiment, que Alois est lui-même c'est-à-dire drôle, sympa, attentionné et surtout loyal.
Il a un caractère impulsif, il peut s’énerver très facilement, surtout face aux personnes ayant des difficultés là où lui n’en a pas. En plus d’être légèrement égocentrique monsieur est jaloux, d’ou son coté « enfantin ». En contraste avec cette personnalité explosive et son nom de « chasseur », Alois est végétarien. Non pas par choix moral, mais simplement parce que Monsieur est allergique aux protéines animales. Malgré ce petit inconvénient (d’après lui), il adore les sucreries et passe son temps à s’en gaver.
Monsieur est très professionnel lorsqu’il s’agit du travail et des missions qu’on lui assigne (toutes de journée car il refuse celles de nuit pour une raison EVIDENTE). Engagé pour son talent de tireur d’élite et pour son habileté avec n’importe quelle arme, il laisse cependant apparaître quelques faiblesses ; notamment son manque d’agilité. Alois n’aime pas réfléchir et préfère foncer dans le tas, appréciant le danger.
Apparence
Alois est un jeune homme de 25 ans. On pourrait le croire devenu un adulte responsable, mais au contraire du haut de ses 1m80, Alois est encore puéril. Ce n’est pas pour autant que vous allez le retrouver jouer aux LEGO ou aux Playmobiles, non non ! Mais ne vous étonnez pas si quelques fois il sera pris de grandes pulsions infantiles comme des crises de jalousie exagérées et des reproches d’injustice au sein du groupe.
Etant végétarien depuis son enfance ce beau jeune homme a une corpulence assez fine qui se marie plutôt bien avec son style et sa taille. Ayant un visage également assez fin, cela accentue ses traits de caractères. Son visage facilite aussi la lecture de ses expressions même si Alois fera tout son possible pour vous les cacher. Il sort la plupart du temps la journée et il n’est donc pas anormal que ce jeune allemand ait la peau halée - supportant très bien le soleil ou la pluie.
Parlons maintenant des points capitaux de son physique. Vous avez pu remarquer la couleur anormale de ses cheveux qui ne coïncide pas du tout avec la couleur de ses yeux d’un bleu gris très rare (qui peut représenter sa gentillesse si bien cachée par son comportement quelques fois excessif). Ses cheveux fins, noirs, ce caractérisent par une mèche rouge qui tombe légèrement devant ses yeux, ce qui lui donne son petit côté "rebelle". Autrefois blond, Alois décida de se teindre les cheveux puisqu'ayant horreur de cette couleur blonde qui lui rappelait trop de mauvais souvenirs. Mais ceci est une autre histoire.
Physiquement Alois ressemble a son père Alaric Wolfmann. C’est aussi l’une des raison qui a pousser monsieur a se teindre les cheveux. Il aurait aimé avoir quelqu’un sur qui prendre exemple, malheureusement aucun de ses parents ne collait vraiment a sa vraie personnalité et Alois se sentait contraint lorsqu’il essayait… Malgré sa maigre corpulence Alois est un garçon assez musclé, bien que cela ne se voit pas de jolis abdos se cachent sous son t-shirt et il mettra très volontier à disposition ses bras joliment dessinés et ses épaules sculptées pour les demoiselles voulant du réconfort.
Revenons à son originalité. Le style vestimentaire de Alois, comme vous avez pu le remarquer, est assez original ; un peu débraillé mais pas trop, il peut quelques fois tomber dans l’abus de l’excentricité ou peu, à l’inverse, rester soft et classe. Dans les rares occasions il peut sortir l’uniforme...
A première vu Alois est un jeune homme fier et charismatique, d’où sa démarche assez déterminé. Mais ne vous en faites pas, dernière cette carapace qui peut être intimidante, se cache un garçon qui pourrais être l’un de vos plus proches amis. A vous d'en décider.
Histoire
Cologne, ville millénaire se situant dans le Land de Rhénanie-Westphalie en Allemagne. Une merveilleuse ville, l’une des plus grande du pays et surement l’une des plus riches après Berlin. C’est ici que naquit Alois Wolfmann un 7 juillet, fils du grand politicien Alaric Wolfmann et d’une infirmière du nom de Abigail.
Alois a vécu une enfance relativement heureuse bien qu’elle fut très stricte, due aux nombreuses attentes de son père. Depuis qu’il est enfant, Alois est proche de son père. Il voulait faire comme lui et lui ressembler. Malheureusement pour lui son père, n’était pas très présent.
Alaric Wolfmann était un homme très occupé côtoyant de nombreux politiciens et de nombreuses personnes d’États toutes plus importantes les unes que les autres. Il voyageait beaucoup, devant assister a de nombreuses conférences et a de nombreux débats. Oui, on peut le dire, en Allemagne et dans d'autres pays Européens, le nom Wolfmann était plutôt connu. Monsieur Wolfmann rentrait donc rarement chez lui. Et, lorsqu’il avait du temps pour lui, Alaric le consacrait à sa passion : l’Art de la Chasse. Quelques fois, quand l’envie lui prenait, il emmenait son fils avec lui. Alois n’était alors pas mécontent ! Il était même heureux de passer quelques après-midi au côté de son père… même si c’était pour la chasse. C’est ainsi que Alois découvrit la passion de son père et qu’il voulu le suivre dans ce "passe-temps". Bien sûr, ces moments restaient très rares et, même lorsque la petite famille pouvait se voir, Alaric était ailleurs… Au téléphone, sur son ordinateur, ou alors il contait ses journées sans prêter guère attention à ce que sa femme et son fils lui disaient.
Abigail Wolfmann était une personne sage. Elle avait abandonnait le métier d’infirmière pour se consacrer au bien-être de son mari et de son fils. Bien qu’elle ne supportait aucunement le fait que son mari ne soit jamais a la maison, elle le lui pardonnait toujours. Elle éduqua son fils de sorte que celui-ci soit toujours juste et réfléchit (malgré ce que son père pouvait bien lui dire) de sorte à ne jamais nuire à autrui.
Puis, après avoir passer 8 années seul, Alois eu une petite sœur. Une petite fille du nom de Ricke ("biche", en allemand). Alois fut très proche d’elle dès le début et fut ravit de jouer le rôle du grand frère ! Mais évidemment, rien ne peut être parfait… En effet, l’absence du père se faisait de plus en plus lourde. Abigail cessa de pardonner et les parents d’Alois et de la petite Ricke divorcèrent.
La petite famille se sépara alors, Madame décida de rester en Allemagne, elle continua de vivre a Cologne avec sa petite fille, et Monsieur Wolfmann préféra quitter le pays pour la Hongrie et y vivre un certain temps. Alois décida de suivre son père bien que ce fut très difficile pour lui de quitter sa mère et sa petite sœur, mais il voulait continuer à marcher dans les pas de son père. Pour des raisons inconnues et surtout personnelles, disait-il, Alaric était plus présent et il passa beaucoup de temps avec son fils, pratiquant ensemble l’art de la chasse qu'ils aimaient tant. Alois apprit à manier un fusil et à se repérer seul dans la foret, il se sentait grandir et malgré ce que sont père pouvait bien lui dire, il savait qu’il était fier de lui. Puis, au fil du temps, son père commençait à prendre au sérieux les entraînements de son fils. Alois subit alors une dure période… Il s’était même demandé si son père ne devenait pas fou.
« Ta vie en dépend, » lui répétait son père.
Mais a quoi tout cela pouvait bien rimer ? Les absences de Monsieur Wolfmann se refirent régulières et quelques disputes débutèrent avec cet enfants qui grandissait. C’est en fouillant dans le bureau de son père que Alois apprit les tensions politiques et les problèmes que son père pouvait rencontrer au boulot. Il trouva aussi des dossiers médicaux… Ces documents ne semblaient avoir aucun lien les uns avec les autres… Enfin presque. Alois pu régulièrement observer les initiales GML. Il se posa alors de nombreuses questions mais abandonna très vite ne réussissant pas a obtenir des réponses plausibles de lui-même.
Lorsqu’Alois atteignait ses 15 printemps, Alaric se remaria avec une jeune Hongroise ayant déjà des enfants. Le père délaissa subitement son fils qui avait pris goût aux partie de chasse avec son père. Alois il voulait se créer une identité. Il avait autrefois voulu suivre le trajet de son père pour qu’on le reconnaisse, pour qu’on disent de lui : " Oh, regardez ! C’est le jeune Wolfmann ! " et qu’on ne cesse de répéter "c’est qui lui ?" ou "c’est ça le fils Wolfmann ?" Il voulait être le centre d’attention, tout comme son père l’était. Mais depuis le remariage de Alaric, la relation père/fils ne fonctionnait plus. Trop de disputes, trop de conversations qui ne menaient a rien.
Alois décida alors de quitter son père et la Hongrie pour retourner auprès de sa mère et de sa sœur. Il continua cependant de chasser, peut être parce que c’était la seul chose qu’il savait faire correctement, peut être parce que cela lui rappelait de bons moments avec son père, ou alors peut-être que, au fond, il aimait juste ça…
C’est donc dans sa ville natale, qu’Alois exerça son dernier cursus scolaire. Malgré ses difficultés scolaires, Alois réussit ses examens et il décida de passer un concours d’entrée à l’Université de sa ville… auquel il échoua malheureusement. Il stoppa donc ses études, et passa une année à ne rien faire et à vivre grâce au travail de sa mère. Puis avec des amis il fit le tour de l’Allemagne… Vivant comme bon lui semblait, il était libre, il se sentait libre. C’est aussi à ce moment la que Alois décida de se teindre les cheveux… Autrefois blonds, ils arborent maintenant une couleur bien plus sombre… Il changea radicalement son style vestimentaire passant de celui d’enfant modèle a celui de sale gosse qui trouve que « les règles sont faites pour être brisées, tu vois-».
De retour à Cologne, il enchaîne les petits boulots, mais rien de bien gratifiant. Il regretta de n’avoir pas pu entrer dans cette Université, qualifiant sa vie pour l’instant d’un gros échec. Puis vint la plus mauvaise période de sa vie ; Son père ayant disparu, certains pensaient qu’il avait tout quitter pour ne plus subir de tensions politiques dues à ses erreurs. D’autres laissaient entendre qu’on l’avait tuer pour ses fautes et ses fréquentations douteuses et qu'on cachait sa mort. En bref, Alaric Wolfmann avait disparu, laissant sa nouvelle femme et ses enfants seuls mais avec un héritage assez généreux. Alors que ce n'avait pas été le cas de Abigail. Alois en n’avait que faire de ces problèmes d’héritage. Tout ce qui l’intéressait, c'était la raison de cette disparition. Il suivit alors pendant longtemps les actualités, demandant même régulièrement des nouvelles à la police, mais tout cela ne servit à rien. Il finit par mener sa propre enquête. Il était reparti de zéro et était allé rassembler les affaires de son père, passant par son bureau au sénat et par son bureau personnel. Alois étudia chaque document, chaque livret, tout ce qu’il pouvait trouver. Mais à force de trop fouiller, Alois retombait régulièrement sur ces fameuses initiales GML… Il décida cette fois de suivre cette piste.
Ses recherches le menèrent jusqu'à la frontière française. C’est la qu’il fut reconnu par un agent de MG. Celui-ci lui fit comprendre que le nom de son père lui disait quelque chose, il lui faisait comprendre que son agence connaissait peut-être les réponses aux questions que Alois pouvait se poser. Grâce à ses compétences physiques, on lui proposa un poste à l'agence de MG, ce qu'il accepta rapidement, sans vraiment de réflexion… Selon-lui, cet individu venait de régler deux de ses problèmes : le chômage et le manque d’information.
Lors de son séjour dans l’agence Alois améliora ses compétences de tir, il découvrit de nouvelles armes et devint un spécialiste dans les armes à feu. On peut lui compter cinq bonnes années chez MG… Jusqu'à ce qu'il décrète que cette agence ne pouvait plus rien lui apporter. Encore une fois sans vraiment réfléchir, il fugua et rejoignit les services de GML dont il avait enfin déchiffré les initiales, espérant y trouver sa place et de réelles réponses sur la disparition de son père…
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