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 Taggle jsuis une Princesse ! - Princesse au petit pois [Terminée]

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Princesse au Petit Pois
Messages : 94
Arme de prédilection : Armes blanche légère / mains nue
Arme non maitrisée : Le reste
Populace en sucre de Cooki
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Ven 19 Aoû - 22:16

Princesse au petit pois


Taggle jsuis une Princesse ! - Princesse au petit pois [Terminée] 403906blab

Yuno Gasai feat [Mirai Nikki]

Nom d'agent : Princesse au Petit Pois, PPP pour les intimes (PU PLUX PLAN !!)

Nom & prénom : Rangeaut Laura

Surnom : La cinglé là bas

Âge : 17 ans, 18 très prochainement

Nationalité : Française

Orientation sexuelle : Un peu de touuuuut ~

Phobies & complexes : J'ai un gros problème avec la symétrie, et je serais mal à l'aise tant que le soucis ne sera pas réglé.

Autre :


Un seul mot pour me définir : perfectionniste.
Oui, je ne suis pas si compliquée que cela, mais j’aime quand chaque chose est à sa place, et j’aime quand tout est symétrique. PARFAITEMENT symétrique j’entends bien. Aussi, lorsque quelque chose ne répond pas à mes critères d’exigence, j’ai tendance à me mettre en colère. L’envie de plus en plus présente de fendre votre crâne de ma hache se fait ressentir, et il ne tient plus qu’à un détail votre survie.

Ma colère, parlons en. Pour en voir un aperçu, il faut tout de même accumuler les tares esthétiques selon moi, voire le faire exprès. Si jamais vous osez porter la frange asymétrique, vous avez tout intérêt à me laisser la remettre en place, et à ne pas récidiver. Mais à partir du moment où je me laisse emporter dans ma colère, ne restez pas dans mon champs de vision, j’ai du mal à faire la différence entre alliés et ennemis, et seuls les personnes symétriques physiquement (de loin) seront épargnées.

Ne pensez pas que je trouve cela drôle. Enfin, si, tuer c’est drôle, mais cette obsession de la symétrie peut me rendre totalement folle surtout si je suis directement touchée. Aussi, lorsque je me cogne le petit orteil contre le coin d’un meuble, je ne peux juste pas m’empêcher de me cogner l’autre de la même force pour rétablir la symétrie. C’est là toute ma faiblesse. En combat, si je suis blessée à la main, je ne pourrais pas m’empêcher de me blesser l’autre main de façon équivalente. J’essaie malgré tout de garder cela caché, afin que mes ennemis n’en profitent pas.

En dehors de mes crises, je reste une personne vivable, pouvant avoir de la conversation, et je peux même me montrer agréable, et contre toute attente, douce. Si si. Enfin faut remplir les conditions avant, sinon je suis très vite agaçante avec mes tocs. Mais en soit, me faire des amis est une idée tout à fait recevable.

Autre chose, quand j’aime une personne, je suis extrêmement collante. Et comme je suis une vilaine territoriale, approcher la personne que j’aime est déconseillé, au même titre que de se raser un côté de la tête et pas l’autre.

Et n’ayons pas peur de le dire, je ne suis pas du genre fleurs bleues à déclarer un amour dans des poèmes. Je suis plutôt du genre à te plaquer contre le mur, et tu as intérêt de me satisfaire si tu ne veux pas voir tes parties génitales tranchées si tu es un garçon, ou arraché si tu es une fille. Toute personne est belle si elle est symétrique, mais ce qui me plait le plus, c’est bien de les voir recouvertes de sang. La mort, le sang, les tripes à l’air, je trouvais cela tout simplement charmant, et j'adore cette palette de couleurs particulièrement chatoyantes. Aussi, j’ai eu tendance à fréquenter certaines personnes peu recommandables par le passé pour assouvir mes désirs. Un psychopathe ou deux, il n’y avait jamais assez de personnes pour s’amuser !

Verbalement, je suis plutôt vulgaire, n’hésitant pas à utiliser un langage cru pour définir quelqu’un ou bien sa maman, dans les cas les plus extrêmes. Hein ? Oui bah oui, si vous n’aviez pas encore compris que je suis extrémiste, c’est que vous êtes un peu cons. Mais j’aime bien aussi la répartie sans être forcément grossière, et humilier les personnes qui me cherchent !

Caractère


Attaque : 75 (Red elle a dit ouiiiii D:)
Esquive : 0 (Owi frappe moi *paf*)
Magie : 0

Armes de prédilection : Arme blanche légère, Mains nues
Armes non maîtrisées : Tout le reste

Spécialisation : Combattante Classe 5

Les armes blanches légères sont mes favorites. Légères j’entends bien, car je me vois mal soulever une claymore. Sabre, katana, épée, rapière, dague, je pouvais utiliser toute sorte d’arme blanche, mais ma préférée restait la hache. Comme dit si bien Plectrum, la hache dans la gueule, la réponse à tous vos problèmes. Je n’ai pas peur de prendre des coups, donc je vais taper au corps à corps, telle la bourrine que je suis. L’esquive ? C’est pour les tapettes, et je n’avais pas du tout travaillé ce concept là. En fait, je n'esquivais pas. Je frappais, encore et encore. Et si je n’ai pas d’arme sur moi ? Où est le problème ? Mes ongles, poings, et dents feront également un excellent travail. Le combat à mains nues pouvait être tout efficace, et j’en ai fait également une spécialité en 7 ans d’emprisonnement.

Capacités


Le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas un physique très typique. On remarque immédiatement mes cheveux longs roses que j’entretiens à tout prix, ne voulant pas perdre ma belle couleur. Mes yeux sanglants font contraste avec ma peau de lait, et sont en parfaite harmonie avec le sourire carnassier que j’offre lorsque je suis énervée.

Mis à part tout cela, je suis une jeune femme de taille moyenne avec un poids correcte. Je fais beaucoup de sport pour muscler mon corps, et pour développer une bonne endurance. Je fais tout de même attention à ne pas avoir l’air d’un bonhomme non plus, j’aimais bien séduire, donc je devais avoir l’air un minimum féminine.

D’ailleurs je mets très souvent des vêtements pour mettre en valeur mes formes généreuses et ma féminité. Décolletés, jupes courtes, ou jean moulant, hauts transparents, rien n’était assez pour avoir l’air provocante. La seule chose que je ne tolère pas, c’est le maquillage. Ou du moins que ma peau ne tolérait pas. Mais ce n’était pas grave, mes cils très allongés faisaient un gros fuck aux femmes qui s’emmerdaient à mettre du mascara.
En revanche, j’aime beaucoup les bijoux. Je porte un collier, lanière de cuir, à laquelle est attachée une aigue-marine. Ce collier, je l’ai volé à une jeune fille dans les bois un peu avant mon arrivée dans l’Organisation. Elle avait l’air vraiment triste, et ça m’avait amusé de remuer le couteau dans la plaie si je puis m’exprimer ainsi. Huhuhu !

apparence


Tout commença quand je sortis du vagin de ma mère et... Oh ça va ! On l’a tous fait au moins une fois, me jugez pas hein ! Plus sérieusement, je n’étais pas une enfant sage. J’étais même turbulente, et à la violence facile. Quelle soit verbale ou physique d’ailleurs. Et non, ce n’était pas les dessins animés ou les jeux vidéo qui me poussaient à frapper les gens autour de moi. La source du malaise a toujours été plus évidente, mais les gens n’y pensaient jamais, et pointaient du doigt les coupables qui les arrangeaient.

Mes petites mains accrochant fermement les barreaux de la rambarde d’escalier, mes petites jambes se balançant dans le vide, je toisai mes parents de mon regard d’enfant, assimilant toutes les insultes qu’ils s’envoyaient à la tronche, ne détournant pas une seule fois le regard lorsque les coups de poings fusèrent, autant des deux côtés. Mes mains se resserraient sur les barreaux lorsqu’ils parlaient de moi. Maman hurla. Elle décida de partir de la maison, sans même prendre des affaires. Elle était couverte de bleus. Tout autant que papa d’ailleurs. Celui-ci était furieux, ses poings tremblaient. J’aurai peut-être du pleurer, je ne sais pas vraiment. Ce n’était pas la première fois que je voyais cette scène, j’étais même déçue que ce soit encore toujours la même chose. Papa qui rentrait trop tard, maman qui s’énervait, papa qui haussait le ton, et une boucle sans fin, qui ne cessait de se répéter.

Je souris.

Je me relevai pour retourner dans ma chambre, sans faire de bruit, sinon papa me punirait. Ma chambre… Je l’avais toujours trouvé immense. Peut-être parce que j’étais à l’époque une petite fille… Je me souviens m’être dirigée vers la maison de poupée. Je regardai chacune d’entre elles… Aucune n’était assez belle pour moi… Je les trouvais toutes hideuses même. J’en attrapai une pour arracher violemment sa tête, une autre ou je commençai d’abord par les membres. Et chacune subis un traitement barbare pour n’avoir jamais été à la hauteur de mes espérances. Mais j’avais du être trop bruyante dans le processus. Papa ouvra la porte de ma chambre. Je lâchai le cadavre de ma dernière victime, et sans même adresser un regard à mon père, prononçai les mots les plus sincères que je n’avais jamais osé dire.

-J’te déteste.

Il s’approcha de moi, et m’attrapa par les épaules pour me tourner vers lui. Il pleurait, mais moi pas. C’était trop facile de pleurer pour avoir ce qu’on voulait, je pouvais le faire quand ça me chantait. Pleurer, c’était pour les faibles. Ça faisait bien longtemps que j’avais arrêté, parce que ça ne servait à rien de pleurer dans mon cas. Je n’avais pas de câlins, pas de bisous, et encore moins l’attention que j’attendais. Non pour avoir de l’attention je devais frapper, encore et encore. Je plantai mon regard sanglant dans le sien, plissant les yeux, et montrant les dents. J’étais toute chétive du haut de mes 10 ans, mais je pouvais montrer une certaine force déjà. Et son œil droit… il était poché… mais pas le gauche… Il était tellement répugnant comme ça.. J’affichai une mine de dégoût pour cet être qui m’avait pourtant conçue. Et il osait poser les mains sur moi… je me dégageai et lui tournais le dos, lui demandant de me laisser seule. Il n’avait pas le droit ne serait ce que de me regarder.. Lui qui était si laid à mes yeux. Mais évidemment il insista, et me porta pour m’emmener dans mon lit, pour me border comme il aimait le faire quand j’étais encore vierge de toutes leurs conneries de disputes, quand j’étais encore une toute petite fille sans défense. Je me débattus et réussi à lui donner un coup de poing directement dans la gorge. Je tombai au sol, et sortis de ma chambre tranquillement alors que mon père essayait de respirer tant bien que mal.

Il polluait mon air.

Et je ne voulais pas qu’il le fasse plus longtemps. Je marchai sans me presser jusqu’à la cuisine. Maman avait déjà envisagé cette éventualité, mais n’avait jamais réussi à aller jusqu’au bout. J’ouvrai un tiroir et sortis un gros couteau, comme pour couper les gâteaux… du moins ceux que j’aurais voulu avoir lors d’un anniversaire… Papa me cherchait. Il appelait d’une voix faible, sans réponse de ma part.

« Laura ? Laura ma chérie ? Viens mon chaton, papa n’est pas en colère. » Qu’il répétait. Il était bien mauvais acteur… La note de colère et de ressentiment dans sa voix ne faisait aucun doute. Mais je n’étais pas maman moi, je ne comptais pas m’arrêter avant que tout ne soit fini. Il me trouva finalement dans l’entrée de la maison où j’avais avancé pour être bien en vue. Je me souviens de ce qu’il avait dit en dernier. « Ma chérie, pose ce couteau, tu pourrais te faire mal. ». C’était assez drôle de le voir écarquiller les yeux de douleur. Mais c’était trop tard pour réagir, et tu étais visiblement moins rapide qu’une enfant. Je retirai l’arme du ventre de mon père qui s’écroulait en se plaignant de la douleur. Un flot de sang s’écoulait de la plaie, et se répandait sur le sol. Je trempais mes doigts dedans, avant de les porter à mes lèvres, et de les lécher en souriant. C’était drôle comme c’était bon. Meilleur que le mien.

Je regardai mon géniteur sans l’ombre d’un remord. Pitié qu’il me disait. Qu’est ce que c’était encore que cette chose ? Encore un truc inventé pour se sortir d’une sale situation ? Comme les pleurs ? Ce genre de mots m’insupportait. Je levai le couteau, prête à finir le travail, mais la porte s’ouvrit derrière moi. Je tournai la tête pour voir ma mère revenir. Encore. Elle ne finissait jamais rien. Elle aussi m’énervait. Elle cria un « oh mon dieu ! ». Dieu ? Mais pourquoi s’adresser à lui ? Il ne s’était jamais manifesté une seule fois, alors pourquoi le ferait il maintenant ? Elle sortit son téléphone et commençait à pianoter dessus.

-Non.

Je donnai un coup de lame, refusant qu’elle appelle à l’aide. Le sang commença à couler de son poignet meurtri. Je me baissai lentement pour ramasser le téléphone, et le jetai contre le mur. Je regardai ma mère… Elle n’était coupée qu’à un seul poignet. Elle se le tenait avec l’autre main. Je m’approchai d’elle, mais elle partit chercher refuge auprès de mon père. Je penchai la tête sur le côté.

-Je ne comprends pas. Ne souhaitais-tu pas sa mort juste avant que tu claques la porte ? Pourquoi lui et pas toi ? Pourquoi pas vous deux ?

Un sourire carnassier se forma sur mon visage alors que j’assénai le coup de grâce à mon père devant ma mère impuissante. Je ne pus voir venir la baffe que me donnait ma mère, si forte que ma tête tourna sur la gauche. D’une main, je caressais la joue droite qui avait pris, avant de me donner une gifle sur la joue gauche, plusieurs fois, jusqu’à égaler la douleur du côté droit. Ma mère me regardait comme un monstre. Je me jetais sur elle et… Je ne sais pas combien de fois j’ai planté la lame dans sa chair, mais pas assez à mon goût.

D’après les autorités, je l’avais poignardée 36 fois. Ils m’avaient retrouvée endormie au milieu du sang et des cadavres. Je n’avais pas caché mes actes, mais mes raisons étaient floues. Moi-même j’avais un peu de mal à savoir pourquoi je les haïssais tant. Le manque d’affection ? Les disputes en continu ? Le fait qu’ils étaient si laids ? L’affreuse torture de foutre un lego sous mon matelas pour m’empêcher de dormir « pour les faire rire » ? Ou peut-être un mélange de pleins de facteurs. Rien qui ne passe pour les enquêteurs. Une enfant avec des troubles mentaux ? Je n’étais pas satisfaite de cette réponse. Une future criminelle ? Pour avoir mit fin à la vie de deux ordures qui n’auraient pas hésité à en faire de même avec moi ? Visiblement ce n’était pas la première fois qu’ils faisaient face à ce genre de situation, mais c’était bien la première fois qu’ils ne voyaient aucune once de regret dans le regard d’une enfant qui avait tué.  Et tout de suite c’était mes parents qui en prenaient plein la tronche, l’éducation, tout ça tout ça.

Et qu’allaient-ils faire d’une enfant de 10 ans ? L’enfermer pour que sa stabilité se dégrade encore un peu plus, maiiiiis oui mon cochon, c’était tout à fait ça qu’il fallait faire ! Les PNJ de ce monde avaient l’intelligence des gens dans un film d’horreur donc fallait pas vraiment s’étonner. Tous les jours je devais parler à un glandu avec sa blouse blanche, pour lui raconter ma journée, mes sentiments, faire des dessins, interpréter des images. Des choses qui pouvaient paraitre ennuyantes, mais qui me plaisaient. Voir le visage des différents médecins se décomposer était quelque chose de fort drôle.

J’ai grandi dans cet établissement pour les jeunes. Je m’étais même faite des amis, et étrangement, je n’avais pas tué depuis mon arrivée, et j’avais bien 16 ans. 6 ans passé sans revoir la couleur du sang, et je n’en étais pas spécialement traumatisée. Je restais toutefois assez violente dans mes gestes comme dans mes propos. Et pas une seule fois on me proposa de sortir, bien au contraire. Je n’étais apparemment pas prête de retrouver le monde extérieur. Mais ce n’était pas grave, la vie n’avait pas le temps de m’ennuyer, surtout quand je me développai mentalement comme physiquement. Ce n’était pas les heures entières que je passais à me muscler ou à me perfectionner au combat à mains nues qui changeaient réellement mon corps, mais bien l’âge qui lui permettait de se former un peu plus. Et quoi de mieux qu’une poitrine ronde et des fesses rebondies ? Le sourire séducteur qui allait avec bien sûr. Le sourire, c’était important. Et s’il n’était pas là, ça ferait comme un vibro sans pile. Ça fonctionnerait moins bien.

J’avais commencé à aguicher les garçons de l’établissement, de vrais petites ordures, qui avaient également été très vilains dans leur vie, mais c’était bien plus drôle de dompter une bête qui se pensait supérieure. Et c’était souvent le jeu de celui ou celle qui avait été le plus vilain. Et c’est là que les choses ont dégénérées. Ceux que je ne réussissais pas à soumettre finissaient avec de graves blessures, et un égo brisé, mais tous en taisaient la provenance. Il y avait une règle d’or. Les balances mourraient. Tout simplement. Et on n’hésitait pas à mener des sortes d’expéditions punitives, humiliant et blessant les plus faibles.

Je fus très vite identifiée comme source de problèmes par les gérants qui me mettaient régulièrement dans une pièce entièrement blanche. Ce genre de pièce où je n’avais pas le droit d’émettre le moindre son, où je ne pouvais fixer que le mur immaculé. Un peu trop à mon goût. Et on arrêta rapidement de me foutre dans ce genre d’endroit quand je commençai à me griffer jusqu’au sang pour repeindre les murs. Étrangement.

Un an supplémentaire enfermée dans cet endroit, et je commençai réellement à m’énerver. Même les amis que j’avais, je les avais envoyés au centre de soin, refusant tout ce qui avait un rapport avec ce lieu que je commençai à maudire. Folle, ces gens allaient me rendre folle, je voulais m’en aller, je voulais sortir, goûter à la vie en dehors des grands murs gris, retrouver la sensation de me rouler dans l’herbe, et faire ce que je voulais de mes journées. La liberté ! Je la désirai tant.. Et comme ma soif de sang n’allait qu’en grandissant inversement proportionnellement à ma tolérance à la laideur, ça ne m’aidait pas à sortir. Et à ma majorité je serais transférée dans un lieu bien pire encore…

Pas question.

Il fallait que je sorte de là. Absolument. Et qui de mieux que l’ancien évadé pour m’aider ? Nous nous étions retrouvés lors d’une pause dans un renfoncement de murs, pour parler tranquillement. Il me confia que l’incendie était ce qu’il y avait de mieux pour partir, et que malgré leurs exercices pour les gérer, ça restait très bordélique durant les situations réelles. Je n’avais pas l’âme d’une pyromane, mais il pouvait s’en charger lui. Ça faisait un moment qu’il cherchait à récidiver. Et il acceptait de m’aider à sortir également que si je lui offrais mes faveurs… Super.. déjà que j’avais du mal à le regarder dans les yeux, non pas parce qu’il était intimidant, mais tout simplement répugnant avec sa balafre sur la joue droite… Mais soit, s’il fallait que je sacrifie encore une nuit pour me libérer, j’allais le faire, je ne tenais réellement pas à rester dans le coin.

Le jour J, les incendies déclenchés un peu partout dans l’établissement permettaient aux jeunes détenus de maitriser les gardes, et d’ouvrir les grandes portes.

Je me sentis comme libérée lorsque j’inspirai la première bouffée d’air du dehors. C’était tellement bien, j’avais l’impression de n’avoir jamais vécu 10 ans dehors ! Mais je ne devais pas m’arrêter de courir. Je m’étais séparée du groupe, car on serait trop facilement cueillis si je restais avec eux. J’étais passée par des bois pour éviter les hélicoptères. Même si nous étions toujours mineurs, ils n’hésitaient pas à avoir recours à la force, et encore moins quand nous les attaquions à la base. Je ne me rappelai pas avoir couru aussi vite de toute ma vie. Échapper aux autorités était fatiguant, et bientôt mes forces m’abandonnaient. Je soufflai, il fallait que je me repose, mais ce que je craignais arrivait. J’entendais déjà des chiens.. Certes ils n’étaient pas encore dans le bois, mais je n’allais pas rester là, à attendre d’être chopée. Je continuai de courir là où mes jambes voulaient m’emmener. Je pouvais entendre les autres hurler. Non pas de douleur, mais simplement du fait d’avoir été rattrapés je pensais. Quoique…

J’allais finir par sortir du bois si je continuai tout droit… Et avec mes vêtements de détenue, j’étais cramée, je n’allais pas pouvoir passer le village plus loin sans me faire repérer… Je regardai derrière moi. Pas encore de mouvements, ils ne cherchaient pas de ce côté-là. Ils avaient mieux à faire avec le plus gros du tas. Je ne devais pas m’arrêter, il fallait que je continue de courir, si je m’arrêtai, je ne pourrai pas supporter d’être à nouveau enfermée. J’essayai de passer derrière les maisons du village, en toute discrétion malgré ma tenue. Ce n’était pas simple, on avait fait un boucan du diable, les gens étaient alarmés…

-Pssst !

Je tournai la tête, et un homme me tendait la main… une main… amicale ? Une main de soutien. Je la saisis, et il m’emmena un peu plus loin du village, en essayant de se faire aussi discret. Il me montra une fenêtre ouverte d’un bâtiment et me demanda d’y entrer. J’arrivai dans une chambre. Il ferma la fenêtre derrière moi, et me demanda de me cacher sous le lit. Je vérifiai qu’il n’avait pas verrouillé la fenêtre pour pouvoir m’échapper à tout moment. Il sortit un moment de la chambre, puis revint avec des vêtements. Il me regardait, exaspéré que je ne sois pas encore sous le lit.

-Attends… pourquoi tu fais ça ?

Il me regarda, presque surprit que je pose une telle question. Il me lança les vêtements. Je les regardai plus attentivement. C’était des vêtements de femme… Mais qu’est-ce qu’il voulait ce type ?

-Je t’expliquerai plus tard Laura, cache toi sous le lit.

Je restais figée… Comment connaissait-il mon nom… ? Finalement, des aboiements m’alertèrent, et je me décidai à me cacher sous le nid à poussières qu’il appelait lit. C’était probablement au cas où quelqu’un rentrerait dans la chambre.. Mais pour le moment là seule pensée que j’avais en tête, c’était de savoir qui était ce garçon… J’ai eu l’impression de rester une éternité sous ce lit, à me retenir d’éternuer… Finalement il m’appela, et je pus sortir sans crainte, pourtant sans le voir. La fenêtre était ouverte, il avait amené un scooter.

-Change toi et on y va !

Dans d’autres circonstances, j’aurai d’abord obtenu des réponses avant d’accorder ainsi ma confiance, mais pour le coup… Avais je réellement le choix ? Je pris le temps de me changer, sans chercher à me dissimuler. L’habitude tout ça tout ça. Je sortais de la baraque et me posai à l’arrière du scooter. Je n’étais pas certaine qu’il s’agissait d’une bonne idée, mais je décidai de faire ce qu’il me disait pour l’instant. Je ne sais pas combien de temps on avait roulé… Et plus on s’éloignait de la prison pour mineurs, et mieux je me sentais. On s’arrêta plusieurs fois, pour nous reposer, et pour nous nourrir. Je gardai une capuche sur ma tête pour ne pas attirer l’attention sur mes yeux, et je laissai le garçon commander de la nourriture pour moi dans les fastfoods.

Finalement nous arrivâmes dans une ville. Chantilly. Je n’étais pas à l’aise à l’idée de me retrouver en ville. Le garçon me conduisit jusqu’à un appartement qui semblait être le sien. Il me laissa m’installer tranquillement, et tout le long du voyage, je n’avais cessé de me demander :

-D’où tu connais mon nom… Qui es tu ? Et pourquoi tu m’aides ?

Et sans même me dire un mot, il poka ma joue droite. Dans un réflexe je pokai ma joue gauche, pour équilibrer mon visage. Il sourit de toutes ses dents.

-C’est bien toi.. Je suis ravi de te revoir. Mais tu n’as pas l’air de te souvenir de moi… ?

Je le regardai de haut en bas… Non, je ne voyais pas du tout de qui il s’agissait… En même temps, je ne risquai pas de me souvenir de ma vie avant d’être enfermée. Il commençait à m’énerver… Il était au courant pour mon toc… Qui était ce type à la fin ??

-Ca va te revenir, ne t’en fais pas. Je t’aide parce que je te connais, tout simplement. Et tu avais vraiment l’air effrayée à l’idée de te faire rattraper. Une vieille dette que je devais payer. Et tu es là maintenant, mais on n’est pas encore tout à fait quitte.

Je ne répondais pas, réfléchissant encore à qui ça pouvait bien être. Quelqu’un qui j’avais aidé visiblement, et qui souhaitait me rendre la pareille… Il ne s’imaginait pas qu’en m’aidant de la sorte il risquait d’aller en taule lui aussi ? Et pourquoi il était là pile poil le jour de l’évasion alors qu’il habitait ici ? Je n’étais pas du tout rassurée mais d’un côté ça m’intriguait… Il sortit de l’appartement en me demandant de rester là où j’étais, et de ne pas tenter de partir maintenant, que je n’étais pas prête. Non, c’était sûr qu’avec le grabuge qu’on avait fait, je me devais de me faire oublier un moment. Durant son absence je pus visiter l’appartement. C’était spacieux, le canapé était bien rembourré, et aucun ressort ne venait se planter dans mes fesses quand je m’asseyais. Et en regardant sur une commode, j’aperçus une photo. Une photo… Ces gens, je les reconnaissais. Je supposai que le petit garçon était le jeune homme qui m’avait aidé.. et il y avait une petite fille brune. Ces yeux étaient rouges. C’était… moi ? Et les adultes étaient mes parents.. Mais qui était ce type ? Il avait l’air un peu plus grand que moi sur la photo. Et… je ne savais pas ce qui était le plus choquant sur cette image. La présence du garçon, ou l’évident malaise sur la photo. Visiblement on m’avait forcé à la faire. Je la sortis de son cadre pour regarder derrière… Bon sang.. J’avais à peine 3 ans, et je faisais déjà la gueule..

Un bruit. Il était rentré. Je m’avançais vers lui, la photo à la main. Il sortait des choses d’un sac. Vêtements, boîte bizarre, brosse, ciseaux… Il prit le temps de me regarder, et eu une absence en voyant que j’avais la photo en main. Il finit par sourire.

-Tu as enfin compris ?

En fait non… je n’arrivais pas à remettre mon cerveau en marche pour le coup. Il s’assit par terre en logeant son menton dans sa paume, attendant que je réagisse, que je réponde à sa question, mais je ne pus que secouer négativement la tête. Il soupira, probablement un peu déçu que je ne trouve pas la réponse toute seule.. Mais pour le coup, même si des idées me venaient en tête, je n’arrivai pas à les accepter.

-Bougre d’âne, je suis ton frère !

Comme cette hypothèse là tiens… Non, je n’avais jamais eu de frère, je n’avais jamais vu sa face de ma vie, pas une photo, pas une présence, rien.. rien que moi et la solitude. Il a été autant un frère que mon géniteur un père. Je détournai le regard, énervée. D’où il sortait ce gars là ? Comment pouvait-il se présenter devant moi après toutes ces années alors que pas une seule fois je n’ai été visitée à la prison pour mineurs ?

-Tu mens. Et je n’aime pas les menteurs.. Explique toi vite…

- Laura… C’est moi… Christophe… Tu ne te souviens plus du tout de moi.. ?

Il attendit un moment, sans réponse de ma part, avant de reprendre.

-Tu étais ma princesse quand on était petit.. Et tu sais, tu l’es toujours Laura. C’est juste que je n’ai plus vécu dans la même famille que toi. C’est peut-être pour ça que tu ne te souviens pas.

Il avait été envoyé dans une autre famille ? Mais pourquoi… mes parents ne voulaient pas de lui ? Il était indésirable ? Et pourquoi on m’a gardé moi, qui était turbulente ? Nan là ça devenait… Je ne voulais pas en entendre plus, je partis m’asseoir dans un coin de la pièce. Il me rejoignit pour continuer son récit, mais je n’écoutai qu’à moitié..

-J’ai appris que tu avais tué papa et maman, et que c’était pour ça que tu avais été enfermée malgré ton jeune âge. Je ne suis jamais venu te voir, parce que je n’avais tout simplement pas le droit. Mes autres parents me l’interdisaient. Là où on s’est rencontré à ton évasion… c’était chez eux. Je passais leur rendre visite. J’ai vu une jeune fille en uniforme qui essayait de se cacher. Alors je l’ai appelé. Et quand j’ai vu tes yeux, j’étais sûr que c’était toi. Et puis le doute n’était plus permis quand tu as réagi à ton prénom.

Eh beh… ça en faisait un récit.. Il était donc là comme par hasard, le même hasard que dans les histoires.. Pfff en fait je ne voulais pas comprendre, je voulais juste vivre à nouveau.. C’était étrange, mais je pensais être un minimum curieuse pour le coup, mais même pas, ça me saoulait..
La séquence émotion terminée, c’était l’heure de la transformation. Cheveux coupés, teinture rose, nouveaux vêtements, surtout pas de maquillage, des lentilles de couleurs noires au début (parce que bon les yeux rouges attirent un peu beaucoup l’attention des gens), j’étais une toute autre moi… Manquait plus que…

-Comment je fais pour mon nom… ?

Il me tendit simplement un bout de papier.. Une adresse ? Un type de ses contacts je supposai, qui pourrait m’aider à avoir de faux papiers. Je me demandai bien dans quoi il travaillait pour m’aider aussi bien…
Il finit par me laisser sortir de chez lui, avec l’arrangement qu’il fallait éviter de se voir… De toute façon je n’avais pas vraiment envie, je ne le voyais pas comme un frère. Plus comme un type qui risquait son cul pour une parfaite inconnue… Je n’allais pas le faire couler, j’avais le sens de la dette. Même si pour lui c’était à moi qu’il en remboursait une.

Je mis un temps avant de trouver l’adresse, parce qu’en fait c’était paumé dans les bois ! Putain j’allais me retrouver dans une vieille cabane de dealeur à tous les coups je m’étais dit. Et finalement non, j’avais atterri devant une bâtisse assez grande…
J’avais une sacrée imagination, mais jamais je ne m’étais dis qu’un jour je trouverai asile chez un loup qui parle.. Si si. Et comme mes compétences au combat rapproché pouvaient lui servir, il me trouva même un boulot chez lui. Erf.. il fallait bien commencer par là.. Et c’est alors qu’on me proposa une arme. Parmi tout ce qu’on pouvait me proposer, je choisis de prendre une pauvre dague et une hache ! Après tout, c'était du combat rapproché aussi. Je pus alors m'entrainer réellement dans le but de faire du mal.

Histoire


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Comment as-tu connu le forum ? BLAB ! DC d'Ebonnarien

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Code du règlement : BLAB ! ... hurm. Je nomnom le code :3

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Agent Wheat
Messages : 409
Arme de prédilection : Armes blanches / Corps à corps
Arme non maitrisée : Armes à feu / Armes lourdes
Equipement : - Bouclier d'acier x1
Grande Prêtresse Cookiesque
Grande Prêtresse Cookiesque
Ven 19 Aoû - 22:24
MOI JE DIS OUI ! Bon ok, c'est surtout Emuy qui dit ça ~
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Princesse au Petit Pois
Messages : 94
Arme de prédilection : Armes blanche légère / mains nue
Arme non maitrisée : Le reste
Populace en sucre de Cooki
Populace en sucre de Cooki
Sam 20 Aoû - 9:37
Huhuhuhuhu Smiley fait par BN ! on va faire une belle équipe toi et moi <3
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La Petite Sirène
Messages : 419
Arme de prédilection : Revolver, dague
Arme non maitrisée : Arbalète, épée
Equipement : potion x2
Populace en sucre de Cooki
Populace en sucre de Cooki
Sam 20 Aoû - 15:04
ahah le voila ! Bon ba heu bienvenue! :D
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Agent Ebony
Messages : 276
Arme de prédilection : Arbalète
Arme non maitrisée : Le reste
Equipement : - Bouclier d'acier x1
Division par Zéro
Division par Zéro
Sam 20 Aoû - 20:28
Merci merci, on pourra être amie Courroooons !
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Agent Orange
Messages : 1694
Arme de prédilection : Pistolet
Arme non maitrisée : Grosses armes
Maladresse incarnée
Maladresse incarnée
Jeu 25 Aoû - 23:40
OUI OUI OUI, je dis OUI pour ce perso de l'amuuuur ! Rebienvenue donc~
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Agent Red
Messages : 4109
Arme de prédilection : Arts Martiaux / Dague
Arme non maitrisée : Tout ce qui demande de viser
Grande déesse des Cookies
Grande déesse des Cookies
Sam 27 Aoû - 1:00
Rebienvenuuuuue ♥

OUI J'AI TOUT LU, FÉLICITE MOI /PAF/

Le fait de vouloir rétablir la symétrie des bobos, ça veut dire que tu double tes PVs perdus ou tu t'arranges pour que le bobo en double justifie le nombre de PVs perdus ?

"Folle, ces gens allaient me rendre folle" je sais pas pourquoi, mais j'ai comme l'impression que les gens ont pas eu un impact si grand que ça dans le côté "folie" /PAF/ en vrai GML il veut juste se venger d'une harpie et il chope les plus gros psychopathe du coin avec sa chance légendaire :')

Sinon j'ai rien à redire :3
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https://agencecooki.lebonforum.com
Agent Wheat
Messages : 409
Arme de prédilection : Armes blanches / Corps à corps
Arme non maitrisée : Armes à feu / Armes lourdes
Equipement : - Bouclier d'acier x1
Grande Prêtresse Cookiesque
Grande Prêtresse Cookiesque
Sam 27 Aoû - 11:42
Bravo Reddie applaudissement youpiiii!!
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Agent Ebony
Messages : 276
Arme de prédilection : Arbalète
Arme non maitrisée : Le reste
Equipement : - Bouclier d'acier x1
Division par Zéro
Division par Zéro
Sam 27 Aoû - 12:24
Merci orange Courroooons !

Et... ET !! Han déesse ! Reddiiiiiiiiie Courroooons !  concernant la symétrie des bobos je répartirais les dégâts. (Étant donné qu'elle esquive jamais, je vais pas l'enfoncer encore plus xD)

Elle folle ? Elle ne l'est pas encore *paf*

GML a de la chance de l'avoir ! Par contre va falloir qu'il se laisse brosser car là ils vont pas être copains longtemps !

Merci Reeeeed Courroooons !
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Oberon
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Arme de prédilection : Magie noire de l’Eau /Combat au corps à corps et à l'arme blanche
Arme non maitrisée : Armes à feu / Magie de Foudre
Modérateur
Modérateur
Lun 29 Aoû - 1:57
Re-bienvenue! x)

Bon, je suis venu à bout de ta fiche également héhéhé.

Pour ma part je n'ai rien à ajouter, l'histoire est géniale et le personnage super intéressant. J'ai hâte de le voir à l'oeuvre ;)

Félicitations, tu es validée ! N'hésite pas à demander un RP [ici] si tu recherches des compagnons. Rendez-vous [ici] pour ta fiche de liens, [ici] pour demander un logement et [] pour ton journal, si tu désires en faire un.

Bonne continuation sur Agence Cooki !
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http://leygion92.tumblr.com/
Princesse au Petit Pois
Messages : 94
Arme de prédilection : Armes blanche légère / mains nue
Arme non maitrisée : Le reste
Populace en sucre de Cooki
Populace en sucre de Cooki
Lun 29 Aoû - 7:34
YES, YYYYYES ! tiiiin tiiiiin tin tiiiiiiiiin !
Merci Obe !
(Ça fait 2 mois que je le prépare ce perso, il avait intérêt à être intéressant *mur*)
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Taggle jsuis une Princesse ! - Princesse au petit pois [Terminée]

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