Caractère et capacités
La psychologie d'Akane et aussi simple que complexe, (oui oui c'est possible !) elle n'est pourtant pas atteinte d'un quelconque maladie ou pathologie mentale. C'est juste qu'elle aime tout compliquer, elle peut passer d'un sentiment extrême à l'autre en un claquement de doigt: Elle peut vous afficher son sourire habituelle et tout d'un coup, elle est prise d'une envie de vous mettre son poing dans la figure, juste pour un soucis mineur, comme un manque de respect. Du genre chevalier-servant, elle est a fond sur l'idéologie chevaleresque, elle n'hésitera pas à provoquer tout un gang pour rendre la pomme voler à une petite fille, ou pour sauver une autre "demoiselle en détresse". Son sens de la justice, légèrement démesuré, lui masque toute notion du danger, des risque encouru. Elle n'est pas courageuse, mais ignorante. Akane a aussi une grande faiblesse, les cookies et les pommes...mais aussi le sourire d'une autre femme.
TSUKINONE est du genre à passer quasiment directement à l'action. Elle aime être discrète, mais se fait toujours remarquer. Avec son passé, elle a acquérie des connaissances aux combats aux corps à corps, rompu aux arts martiaux, elle développe une force physique un peu supérieur aux autres filles de son âge, mais aussi gagne une très grande agilité. Maîtrisant parfaitement l'art du sabre et du kendo, elle sait utiliser différentes types d'armes blanches. Akane se sert des tantos (l'équivalent d'un poignard), wakizashi (des sabres à lame courte) et des katanas. Elle n'a pas une force physique assez élevé pour utiliser le daïkatana (la version à deux mains du katana). Elle peut se montrer très patiente (surtout si elle veut protéger quelqu'un) et révèle une âme de stratège hors paire, cherchant à régler chaque situation avec minutie et une précision digne d'un orfèvre.
Apparence
TSUKINONE est une jeune femme de 21 ans, de grande taille pour son âge, environ 1,80m. Son corps fin et longiligne dénote une certaine fragilité, contrairement à sa gestuelle dynamique, vive et agile. Akane affiche un sourire charmeur en permanence. Ses yeux sont comme deux perles pétillantes aux couleurs vert-d'eau, comprenant de légers reflets lagons. Son teint légèrement halé casse l'abondance de vert-bleu, émanent de sa longue chevelure, relier en une grande queue de chevale haute. Quelques reflets lagons s'accordent avec la couleur de ses yeux. Un long ruban noir permet d'attacher ses cheveux, descendant sur ses omoplates. Son visage abord une palette d'expressions en tout genre, toute aussi différente les une que les autres. Chacune de des émotions transparais sur son visage, aussi lisible qu'un livre ouvert.
Akane se vêt avec un uniforme scolaire qu'elle a arrangé à sa sauce, comprenant une chemise à demi-manche blanche, un gilet en queue de pie tricolore, dont un noir profond démarre du col jusqu'en haut de la poitrine, ainsi que l'intérieur de la veste. Le reste du corps du gilet est marron claire, avec les bordures du vêtement en vert. Elle porte aussi, un short noir, attaché par une ceinture blanche, des chaussettes montante de la même couleur et une paire de bottines noires. Un fin ruban noir est gracieusement noué autour du col de sa chemise. Une cicatrice en forme de "X" marque le milieu de son front.
Histoire
Akane naquit à Tokyo le 11 novembre 1993, dans le quartier d'Akiabara. Elle n'eu pas la chance de connaître sa mère, son père M.TSUKINONE fut un grand scientifique renoms. En l'absence d'une mère, Akane porta toute son admiration naïve et enfantine sur son père. Une fois scolarisé, elle montra les signes d'une intelligence précoce, en avance sur ses petits camarades dans certains domaines, elle préférait lire une histoire de chevalier plutôt que de jouer à "chat" avec les autres enfants. Déjà aussi jeune, elle savait se battre et se défendre. On ne volait pas son goûter aussi facilement. Lorsqu'elle fut un peu plus âgée, son père l'inscrivit dans une école de kendo. Là encore, elle brillait par sa rapidité d'apprentissage.
Son père remarquant les progrès fulgurant de sa fille, il lui proposa de participer à un programme: le projet de surveillance révolutionnaire. Akane accepta sans hésiter et s'entraîna plus durement, développant son endurance, malgré tout ces efforts, sa force physique n'augmenta que très peu. Son père lui annonça un jour son but:
"Tu sais ma fille, ici il y a des enfants comme toi. Mais ils sont malades, très malades, je les soignes, mais ils ont du mal à supporter nos soins, alors j'ai besoin de ton aide, il accepte plus facilement la présence d'autres enfants, mais quelque fois ils peuvent se montrer très violent."
Akane goba tout ce que disait son père, fière de lui rendre service et le crane remplit d'idéaux chevaleresques, elle se persuadait qu'elle pourrais aider ses pauvre enfants malades. Elle se retrouva dans une équipe de surveillance, s'occupant des la sécurité durant les repas, qu'un des patients ne perturbe les moments de pause. Elle y mit tant de volonté et d'ardeur dans son travail qu'elle fut promut chef de l'équipe de surveillances. Mais cette monter en grade par son père, déclencha une vague de jalousies dans le cours des coéquipiers. Elle dut faire fasses aux basses actions des ses collègues, de tant à autre des malades l'attaquaient volontairement,pousser par les autres surveillants, sans parler des fausses rumeurs concernant la pauvre Akane. Elle tenu bon durant quelques moi, avant de donner sa démission à son père. Ce dernier refusa catégoriquement qu'elle quitte le centre. Il lui donna une nouvelle section et une autre équipe. Elle accepta déçue. La zone baptisée "zone des cas désespérés" renfermait tous les patients les plus agressifs, mais rendu mou par les tranquillisants. Akane ne s'intégra que partiellement parmi ses nouveaux collègues, pourtant elle ne subissait plus les ennuies d'avant et les membres furent sympathiques. C'est à cette période qu'elle compris que la force n'était rien comparée à une bonne agilité. Elle devint vite très agile et se servait des plateforme en hauteurs pour observer le groupe d'enfants. Elle eu beaucoup moins de contacte avec son admiration envers lui s'effritait de jour en jour. Lors d'un matin, l'équipe reçut l'ordre de mettre au point un signe de reconnaissance des gardiens, avec une plus grande souplesse dans leurs actions. D'un commun accord, un "X" fut graver sur les fronts de chaque coéquipier. Un jour, Akane assista du haut de son perchoir à l'entrée d'une nouvelle patiente. Elle fut intriguée par cette fille à la chevelure d'un vert foncé plus uni que sa propre chevelure vert-bleu. Elle passa le plus claire de son temps à l'observer. Jusqu'au moment où elle se décida enfin à lui parler. Cette fille lui paraissait moins atteinte que les autres, malgré ses réponse à côté de la plaque ou des blancs durant une discussion, elle pensait que ce fut certainement du aux médicament, à moins qu'elle ne pensait à autre chose. elle tenta quelques autres fois de démarrer une discutions, mais obtenu le même résulta. Frustrée, elle ne fut que l'observer à nouveau depuis les hauteurs. Qu'elle ne fut pas sa surprise quand cette fille la rejoignit sur les hauteurs, lui adressant plus clairement la parole et lui donna son noms: Nagisa. De jour en jour, Nagisa et Akane tissèrent des liens, de plus en plus solide, au point que Nagisa la surnomma "l'algue", à cause de ses cheveux et de son agilité, aussi souple qu'une algue avec la couleur qui va avec ! Au cours d'une ronde de routine, elle entendit son père parler. Curieuse, elle écouta la conversation. Elle se figea sur place en découvrant la vrai nature du centre: Ce qui était à ses yeux un simple lieu de soins pour malades, fut en réalité un complexe militaro-scientifique, créer dans le bute de tester sur des enfants diverse méthodes pour en faire d'eux de vrai machine à tuer.
Avalant sa rage, elle prit son courage à deux mains et muée par l'envie de sauver Nagisa et de tout ses enfants cobayes, elle s'infiltra dans le bureau de son père durant l'une de ses nombreuse "thérapies", elle récupéra les différents codes d'accès pour désactiver les verrous sur les portes des "chambres" aux malades. Avec son statut de vigile, elle avait tout ce qui lui fallait pour les sauver. Ce fut au cours d'une de ses "pauses" qu'elle déclencha une alarme plus loin dans le bâtiment, en ouvrant les portes d'autres "chambres" dans plusieurs zones. Profitant de la panique pour emmener Nagisa avec elle. Akane fit semblant de la faire retourner dans sa chambre, et profita de la situation pour la conduire vers la sortie. D'autres surveillants lui bloquèrent la route et contactèrent son père. Akane fut surprise de voire Nagisa se battre et mettre rapidement aux tapis deux hommes plus costaux et grands qu'elle. Toutes les deux furent séparée après l'altercation. Akane malgré la séparation, réussi à guider Nagisa jusqu'à la sortie. Lui ouvrant les portes à distance, bloquant l'accès à ceux qui aurait pus la menacer. Elle sourit en souriant en voyant Nagisa quitter le centre pour rejoindre la surface. Son père entra dans la pièce furieux. Elle n'eu pas le temps de se retourner qu'il l’assomma.
Akane se réveilla hors du centre. Son père la regardait. Elle se redressa subitement. Il lui sourit et entama la dernière phrase qu'elle entendra de son père.
"Ma fille...j'ai fait un erreur...je n'aurais jamais du...générer un tel désastre. Tu sais que tu es le portrait de ta mère ? Ah ! Elle passait son temps à vouloir me protéger...tu m'as fait reprendre conscience du vrai rôle d'un médecin...Prend garde à toi ma fille, dehors, ils n'hésiteront pas à te traîner dans la boue. Sois forte...pour elle...pour moi...ne fait pas la même erreur que moi..."
Il planta un katana dans la terre et repartit dans le complexe. Akane le regardait partir, des larmes s'invitèrent sur ses joues. Elle prit le sabre et courut à travers la forêt. Elle atteignit la ville au bout de quelques heures interminables. Il faisait déjà si sombre, la nuit avait tombé depuis un moment. Elle s'endormit en serrant le katana contre elle, dans un hall crasseux mais l'abritant du vent et de la pluie.
Des mois passèrent vites, le scandale du "Centre Aux Horreurs" éclata au grand jour, traumatisant la population mais se retomba aussi vite dans l'oublie. Akane eu le temps de connaître les quartiers. Elle passer ses journées à se promener dans les parcs, faire une course à travers la ville pour se maintenir en forme. Elle savait qu'elle n'était qu'un fantôme dans une gigantesque fourmilière et en profitait, chapardant sur des étalager pour se nourrir, met au tapis deux trois agresseur pour avoir un petite reconnaissance, même un simple sourire lui suffisait et c'est généralement tout ce qu'elle obtenait. Vers ses 17 ans, un gang harcelait des étudiants, les raquettant, les tabassant. Akane eu vent de l'histoire et se mit en tête de les punir. Elle les suivait pendant une à deux semaines, les observants sans agir. Mais elle ne put s'empêcher de porter secours à une jeune lycéenne en détresse. Pour la remercier, l'étudiante lui offrit de nouveaux vêtements, un peu de nourriture et lui indiqua qu'une vieille chapelle était à l'abandon, sans aucun squatteur. Akane s'occupa du reste du gangs et se fit connaître comme le chevalier "X" à cause de sa marque sur son front et de son tempérament à tout ramener sur le code de la chevalerie. Âgée de 21 ans, Akane reçut une visite pour le moins inattendu: une personne d'un âge avancée, lui fit une proposition, celle de rejoindre une agence spéciale et de mettre ses talents à contribution. Elle hésita, les mots "agence" "spéciale" "talents" lui rappelaient trop de mauvais souvenirs. Elle lui demanda un peu de temps pour réfléchir à la proposition.
Au cours d'une de ses promenade habituelle, Akane remarqua une jeune femme à plus jeune qu'elle, à la chevelure verte. Elle l'observa discrètement. Ces jeune femme souriante et vive ressemblait trop à Nagisa. Troublait elle continua de la surveiller, la voyant faire ses course en compagnie d'une autre fille à la chevelure violette et à la particularité de ne jamais dire un mot, elle écrivait tout sur une ardoise. Décidée, elle recontacta la vieille dame (ou ce se fut l'inverse) et rejoignit l'Agence.
Cap... or not
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