L'Oiseau de Feu, pour vous servir

Fujiwara no Mokou feat [Touhou]

Nom d'agent : L'Oiseau de Feu

Nom & prénom : Hanabi Suzaku

Surnom : Elle n'en tient pas compte, les surnoms, c'est pas son truc

Âge : 19 ans en apparence. En réalité, elle est bien plus vieille que ce que vous imaginez...

Nationalité : Japonaise

Orientation sexuelle : Bisexuelle

Phobies & complexes : J'ai une sainte horreur du lait. Ce truc... C'est blanc, ça sort des pis d'une vache et c'est dégueulasse ! Même Satan il boirait pas ce truc immonde. Aussi, je déteste qu'on me charrie sur ma taille. J'ai une taille normale, mais les gens, je sais pas pourquoi, prennent un malin plaisir à m'emmerder sur ce point.  Et, vous vous en doutez, j'ai peur de l'eau et des profondeurs. J'utilise le feu, et l'eau c'est de l'eau, vous voyez ou je veux en venir ? C'te saleté de liquide supprime mes pouvoirs, et ça m'énerve. Mais ça m'empêche pas de prendre une petite douche de temps en temps comme tout le monde... Ah, et pour la peur des profondeurs... Plus on a d'eau au-dessus de notre tête, plus c'est dur de remonter. Et pas pouvoir remonter dans l'eau, c'est problématique pour moi.

Autre : Je ne peux pas utiliser mes pouvoirs dans leurs entièreté, car en plus de risquer de ne plus pouvoir entièrement les contrôler, mon corps pourrait en pâtir, même si j'avoue que je n'ai jamais essayé...

Moi, me définir ? Laissez moi faire, vous n'y arriverez pas, humains ! Tout d'abord, je suis une putain de pyromane comme on n'en fait pas. J'ai constamment des envies de faire cramer un truc mais comme c'est criminel dans votre monde, j'ai appris à les réprimer au fil du temps... Du coup bah quand je vois une zone avec des trucs à inflammables, je peine à me retenir et quand y'a quelque chose qui brûle... Vaut mieux pas être à proximité car je deviens totalement fou furieux et incontrôlable. Genre par exemple, la dernière fois qu'on a fait un feu de camp, ça a fini en feu de forêt et j'me marrais en mode "RETOURNEZ EN CENDRES, MISERABLES".

On me qualifie aussi de mégalomane mais pourtant... J'vois pas ce qu'il y a de mal a vouloir voir toutes les choses en grand et à en vouloir toujours plus ! Je suis une personne plutôt sérieuse de nature, même si il m'arrive de déconner et de jouer mon boulet avec certaines personnes, mais ça reste relativement rare voyez-vous... Je n'ai pas le rire facile, et j'aime pas trop être entourée de gens. J'ai aussi horreur qu'on me charrie sur ma taille, qui est pourtant tout à fait convenable. Si ça arrive, je répondrais par une phrase étrange avant de courser la personne pour la cramer, mais bien sûr, je ne cramerais pas la personne. Enfin j'essaierais.

Il y a aussi un autre trait caractéristique qu'il faut que vous connaissiez. Je suis assez... Lunatique. Un coup je peux être sympa et assez protectrice et d'un seul coup, je peux devenir une vieille connasse qui pense qu'à elle et qui renvoie balader les gens et inversement, ce qui fait que peu de gens m'apprécient beaucoup. Et derrière cette "double personnalité" se cache encore quelque chose: quand j'aime bien une personne, la personnalité ou je suis méchante avec elle disparaît et quand je hais une autre personne, la personnalité ou je suis gentille avec elle disparaît purement et simplement donc.

Ah, et j'ai failli oublier. Ne touchez JAMAIS, au grand JAMAIS mon ruban qui est situé en haut de ma tête, le plus gros, me servant à attacher mes cheveux. C'est un cadeau, une promesse faite a une amie lointaine, que je n'ai pas revue depuis un bout de temps. Rien que d'y toucher m'énerve au plus haut point. Et à ce jour, le seul à l'avoir abîmé... Et bien, il m'a mis dans une fureur noire. A tel point que je l'ai atomisé. Réduit en cendre. Il n'en restait plus rien. Et je l'ai fait sans autre état d'âme que la colère. Bon, j'ai aussi rasé sa maison et le terrain derrière, mais qu'importe. Voila, c'est tout.

Caractère

Attaque : 65
Esquive : 55
Magie : 65

Armes de prédilection : (Deux maximum) La magie du feu et le combat à mains nues
Armes non maîtrisées : (Deux minimum)Les armes à feu et les armes lourdes.

Spécialisation : Combattante de classe 4

Parlons maintenant de mes capacités... Outre celles qui sont propres à celles de ma race, c'est à dire de pouvoir utiliser la magie du feu et de pouvoir me régénérer, bien que mes pouvoirs ne soient jamais utilisés à fond... Car je ne peux tout simplement pas utiliser tous mes pouvoirs, ce corps humain ne le supporterait pas. Je possède une certaine intelligence et un certain esprit stratège qui me permettent de me tirer de situations délicates. Et comme vous vous en douter, essayer de me combattre avec le feu serait futile, car ça n'a strictement aucun effet sur moi. En combat, je me bats plus normalement mais je peux passer sous une sorte de forme hybride plus puissante et plus dangereuse mais ça, c'est le stade avancé de mon pouvoir... Cependant, avec tous ces avantages, il y a des inconvénients. Déjà, je ne peux pas utiliser mes pouvoirs quand il pleut trop, ou bien en cas de combat aquatique. Enfin là, je combattrais tout simplement pas. Et ma résistance physique est celle d'une personne lambda... Ca le fait moyen. Enfin, si j'étais ultra résistante et que je pouvais me régénérer, je battrais tout le monde.  

Capacités

Je suis vraiment obligée de me décrire physiquement ? Soit. Je vais le faire. Je suis une jeune femme d'une vingtaine d'années, mesurant environ 1m66 de haut pour 55 kilos. Comment ça, c'est impoli pour une femme de donner son poids ? Qu'importe, je ne connais pas les habitudes des humains. J'ai une poitrine de taille moyenne, et puis voila quoi... Ah, quoi, faut aussi que je décrive mon visage et mon style vestimentaire ? Quelle plaie.

Une description plus en détails, donc... Bon. Vous avez de la chance, je suis de bonne humeur. J'ai de très longs cheveux blancs, descendant environ jusqu'au niveau des fesses. Ces cheveux, dont je suis fière, sont parsemés de rubans rouges et blancs. 7 en tout, dont un plus grand que les autres. Mes yeux ? Ils sont rouges. Non pas parce que je suis albinos, ce que je ne suis pas, mais c'est pour une autre raison.

Je vais faire bref, on n'a pas besoin des détails, après tout, si vous avz des yeux, vous pouvez me voir. Mais, si il y a un truc qui est particulier chez moi, d'après les gens, c'est mon style vestimentaire. Comment dire... C'est simple. Une chemise blanche avec un long pantalon rouges à bretelles, sur lequel sont appliqués quelques sceaux pour ne pas que je perde le contrôle sur mon pouvoir ou quoi que ce soit, simple précaution. Ah, et je porte aussi des chaussures marrons aux pieds.  

apparence

Je suis née un beau jour, il y a un certain temps déjà, dans un village paumé aux confins du Japon, le genre d'endroit ultra traditionnaliste et qui refuse totalement la modernité.Je me souviens que lors de mon enfance, dans mon village, tout le monde se baladait en tenue traditionnelle. Par contre, ne me demandez pas de quelle époque ni combien de temps cela fait que je vis, je serais dans l'incapacité de vous répondre. Mais, j'ai du certainement dépasser un siècle de vie... (En réalité, Hanabi à 130 ans.) C'est peut-être pour ça que je n'ai aucune notion du temps ? Bref. J'ai vécu une enfance assez paisible, dans mon petit village, sans ennuis particuliers ou quoi que ce soit. L'ancien du village nous avait juste mis en garde, moi et tous les autres enfants du village... Une fois par millénaire, une pomme dorée poussait sur l'une des branches du grand arbre situé au milieu du village. Et cette pomme d'or était sacrée, car, d'après lui, elle contient les pouvoirs de la divinité qui protège le village. Tout le monde ici y croyait dur comme fer. Je me demandais à quoi ressemblait cette divinité dont il parlait... Mon père m'avait dit qu'elle ressemblait à un immense oiseau de feu qui renaîtrait de ses cendres et qui apporterait la vie et la richesse partout ou il passait. Ce qui le fit rire était que cette divinité était nommée Suzaku.

Suzaku... Comme moi. Etant petite, je ne savais pas pourquoi mes parents ne portaient pas le même nom que moi. Mon père, encore une fois, quelques années plus tard, quand j'étais un peu moins... Enfantine, m'avait dit que ma mère était morte lors de l'accouchement, et que celle que j'appelais maman était sa nouvelle femme. Au début, comme n'importe quelle personne, j'avais été choquée. Je me demandais pourquoi il m'avait caché ça... Puis, peu à peu, je m'étais résignée. J'avais à présent 13 ans. C'était encore l'époque ou j'étais une gentille petite fille, innocente, et pour qui la violence était un truc débile que seuls les gros monsieurs virils et musclés utilisaient pour résoudre leur problème. Nous étions alors 6 ans avant que la pomme d'or pousse sur l'arbre... Et je vivais toujours assez paisiblement.

Le jour de mes 19 ans fut également le jour ou la pomme d'or avait mûri sur l'arbre. Drôle de coïncidence, n'est-ce pas ? Bref. On pouvait voir l'arbre géant illuminée par une douce lumière dorée, comme si une étrange magie s'apprêtait à protéger le village longtemps encore. Et c'est également e jour-ci que j'appris les vraies circonstances de ma naissance, ou plutôt, que j'appris ce qu'il m'était arrivé 18 ans auparavant. J'avais alors un an. Pour on ne sait quelle raison, ma maison, située dans un village proche de celui-là, s'était mise à brûler. Nul ne connaissait les causes de cet incendie, mais j'étais la seule à en avoir réchappé. Et dans le feu, alors que ma vie était prête à se terminer... La première femme de mon père, celle qui était "morte en accouchant de moi", s'était jetée dans les flammes, me récupérant au péril de sa vie. Elle était morte quelques jours après, à l'hôpital de l'époque, laissant ma garde à mon "père", qui m'avait élevé comme son enfant. Lui-même ne pouvant pas en avoir, j'étais un peu son dernier espoir. Et plus tard, il retrouva une femme, et tout ce qui s'était passé se passa...

Ce fut un des éléments qui me fragilisa. Mais ce qui me mit hors de moi, ce fut quand, le même jour, ma "mère" demanda mon "père" en mariage. Je devrais être heureuse. Sauf que celui-ci refusa, pour des raisons qui me sont obscures. C'est alors qu'elle devint folle, et qu'ils se battirent, chez moi... Prise de panique, je sortis dehors en courant, me réfugiant près de l'arbre. Et je vis la femme sortir de chez moi, les mains tâchées de sang. Personne n'était dehors. Ils étaient tous en train de préparer la fête du millénaire, en l'honneur du dieu Suzaku. C'est alors que je compris ce qu'il s'était passé. Rapidement, je grimpais à l'arbre, étant agile de base. C'est alors que des gens se rassemblèrent sur ma place, pour tenter de me faire descendre. Plus je grimpais, plus ils criaient. Et j'atteignis la branche ou était située la pomme d'or... Trois ou quatre personnes montaient à l'arbre pour me poursuivre. Suivant ma rage sans limites, je décrochais la pomme, avant de la porter devant ma bouche.

- Je... Vais... TE TUER !

Et je croquais la pomme, en prenant une bonne bouchée. Rien. Puis une autre bouchée, avant d'entièrement manger la pomme, jetant le trognon dans le vide. Un des hommes qui étaient venus à ma poursuite m'agrippa à l'épaule, pour me faire redescendre, et une fois en bas, je suppose que j'allais prendre une bonne punition. Au final, cette histoire de pomme d'or, c'était que des conneries... Aucun pouvoir. Juste une banale pomme qui était particulière à la vue. C'est ce que je pensais. Jusqu'à ce que l'homme recule brusquement, manquant de tomber, hurlant, la main noircie, comme si quelque chose venait de la bruler d'un coup. C'est alors que brutalement, je sentis une immense chaleur monter en moi. Je me sentais bien, si bien... Mon corps s'emplissait au fur et à mesure d'une énergie nouvelle. Cette chaleur s'accumula, et se dégagea sous la forme d'une intense vapeur blanche, ainsi que des flammes qui sortaient de mes omoplates. Une grande douleur me transcenda. J'étais tombée sur la branche du dessous à genoux, manquant de tomber plus bas, me tenant la poitrine, au niveau de mon coeur. La douleur était atroce. Mon visage était crispé, tordu de couleur comme jamais. L'énergie continuait de s'accumuler encore et encore, me rongeant littéralement de l'intérieur.

Et d'un coup, ce surplus d'énergie explosa. Je poussais un énorme et effroyable cri de douleur, me tenant la tête. Des flammes se mirent à sortir de mon corps, puis de l'arbre. D'intenses flammes bleues, d'une chaleur extrême et destructrices. Des flammes bleues qui se mirent à consumer l'arbre. Arbre que les gens du village tentaient d'éteindre, sans se préoccuper de moi, mas sans succès. La douleur que je ressentais était si atroce que ça en était indescriptible et insurmontable. Rien ne pouvait l'apaiser. J'avais l'impression qu'un dieu était en train de me torturer des pires châtiments depuis l'éternité. Et une nouvelle fois, je criais à m'en arracher les cordes vocales. Un cri horrible encore une fois. Puis d'un coup... Un grand blanc. Un moment dont je ne me souviens plus. La seule chose qui m'était revenue en mémoire, après, fut de me relever au milieu d'un cratère de quelques mètres de diamètre, prenant la taille de l'arbre, ainsi qu'en plein milieu de mon village, en ruines. Une odeur de mort brûlé pouvait se faire sentir dans le village. Mais bizzarement, j'étais apaisée. Plus aucune douleur. Juste un grand sentiment de bien-être... C'est à partir de ce moment aussi que je me suis mise à devenir celle que je suis actuellement. J'avais maintenant la capacité de générer des flammes. Et c'est que quelques temps plus tard que j'avais réalisé ce que j'étais devenu: Suzaku, le phénix. Une créature légendaire dotée d'immenses pouvoirs. Au final, mon nom de famille collait bien avec tout ça. C'est après ces évènements restés mystérieux et peu connus après une certaine distance de mon village que je décidais de traverser le Japon entier, par mes moyens. Après tout, je n'avais plus rien à perdre, donc pourquoi s'embêter à se morfondre dans un coin ?

Histoire

Derrière l'écran