Saria, beautiful flower. ~

Kochiya Sanae feat [Touhou Project]

Nom d'agent : Agent Orchid

Nom & prénom : Saria Sachi

Surnom : Oubliez.

Âge : 18 ans

Nationalité : Sa mère est sino-coréenne, son père français. mais a en partie reçu les gènes asiatiques. ~

Orientation sexuelle : Ne s'est jamais posée la question.

Phobies & complexes : Aquaphobe
Autre : Elle est étudiante. Donc boulot à mi-temps (ou sinon sécher les CM c'est bien /paf/).

Un sourire sur pattes. Voilà comment la plupart des personne la voyaient. Ce sourire toujours chaleureux, ce sourire qui présentait joie et bonne humeur ornait toujours cette bouille d'enfant. Elle savait que ce sourire réchauffait parfois le cœur de plus d'un, alors elle l'affichait, encore et encore. Et lorsqu'il y avait un problème, elle n'hésitait pas à se mêler aux autres pour apporter une quelconque aide. même la plus petite. car Saria est du genre à fourrer son nez un peu partout. La curiosité est un vilain défaut ? Elle en avait bien conscience, mais s'en fichait totalement. Bien que les conséquences étaient la plupart du temps désastreuse, alors qu'elle souhaitait juste qu'apporter son aide.

Mais parfois, ce sourire que tout le monde voit sur elle finit par disparaître. Bien sûr qu'elle est gentille. Bien sûr qu'elle est attentionnée et veuille aider tout le monde. Seulement, elle ne peut pas s'empêcher de casser cette chaîne positive lorsqu'elle est sérieuse. Oui, sérieuse. Elle change totalement. Lorsqu'un objectif lui et fixé, elle veut le réussir, peu importe par où elle doit passer. Elle ferait tout pour le remplir. Alors elle entame des recherches, tente des expériences... Alors, elle ne parle à plus personne, mis à part celles qui l'aident, rentre dans sa bulle en évitant tout dérangement. Si les conséquences sont positives, alors il y aura joie et bonne humeur. Cependant, si elles sont négatives, alors il y aura dépression. Et elle le fera bien comprendre aux autres. Tristesse et mélancolie seront présentes en elle.

Et sinon ? Elle adore tout ce qui est mignon. C'est limite elle ne sautera pas dessus pour le câliner et le garder pour elle. N'entrez pas dans sa chambre, ce sera l'endroit parfaits pour les petits trucs mignons et farfelus. Si vous souhaitez lui offrir quelque chose, vous savez ce que c'est. Du mignon. Ou un appareil. Peu importe lequel. Elle aime bien ce genre de choses aussi. La nuit, elle reste scotchée sur son ordinateur et tente un tas de choses. Reste à savoir lesquelles.

Caractère

Attaque : 50
Esquive : 55
Magie : 00

Armes de prédilection : Arc - armes blanches (mais jor des p'tits poignards)
Armes non maîtrisées : Armes à feu en tout genre

Spécialisation : Détective 5 (je voulais mettre soutien mais Vio l'est déjà donc je prends un autre eve)

Elle se positionna devant la cible de bois, brandit son arc et sortit une flèche de son carquois. Là, elle la plaça correctement, et ferma un oeil pour plus de visibilité. Son bras s'écarta, la flèche l'accompagna avant de filer à toute vitesse sur la cible. Une fois décochée, elle s'approcha de celle-ci. La flèche n'était pas au centre, mais elle aurait remporté huit points dans un tournoi. Elle adorait ça, l'arc. Bien qu'agile et souple, elle préférait attaquer de loin, pour plus d'horizon, de clarté sur ce qu'il se dresserait devant elle. Elle opta alors pour cette arme. Elle s'entraîne avec depuis trois ans déjà et, malgré encore quelques lacunes, elle se débrouillait assez bien avec. Elle tente de devenir plus fort en s'entraînant surtout en fin d'après-midi, ou en début de matinée. Cet arc était un peu tout pour elle. Seulement, si combat il y a, attaquer de loin n'est pas aussi une bonne idée. La jeune fille manie aussi le combat au poignard, mais beaucoup moins que l'arc, où elle est plus habituée. Sauf pour les lancers. C'est comme les arcs, ils faut juste viser et avoir assez de force. Un peu comme les shuriken. Elle voulait être douée dans les domaines de combats rapproché et éloigné, seulement elle a encore quelques défaut au niveau du combat de rapproché. Curieuse comme elle, elle essaye un peu tout ce qui passe sous le nez, mis à part les armes à feu. Bizarrement, elle ne veut pas y toucher. Discrète, cette arme révélerait son identité trop rapidement.

Agile et souple, elle esquive assez bien et est moyennement rapide au niveau de la course. Et mis à part niveau exercice, elle est très forte en cuisine. Si si. Elle s'intéresse aussi à la nature. Plantes, fleurs, herbes elle les récoltent et les garde précieusement. Qui sait ce qu'elle peut faire avec. Elle les garde juste pour le moment, mais compte s'intéressait à la guérison par les herbes.

Capacités

Elle se plaça devant le miroir de sa chambre. Ses iris couleur océan, rareté au Japon, regardaient ce corps fin et souple de la tête aux pieds. Elle était vêtue d'une chemise banches à manches courtes, ornée du cravate bien nouée. Sa jupe, toute aussi noire que la cravate, voletait légèrement avec les brises qui passaient par la fenêtre. Ses cheveux aussi. Longs, lisses, verts. Souvent en bataille, elle ne les coiffe que rarement, ou que pour les grandes occasions. Friande d'accessoires mignons, elle accrocha sa fameuse barrette à la forme d'une grenouille. Elle ne s'en séparait jamais et le comparait à son porte-bonheur, comme pour l'autre accessoire qu'elle plaça sur sa mèche gauche. Une attache où un serpent s'enroulait dessus se logeait désormais sur sa touffe. Elle pouvait bien mettre rubans et autres accessoires mais se contenta de cela. Elle ajusta sa cravate en prenant soin de ne pas l'abîmer et remis sa chemise légèrement trop grande pour elle. Sa poitrine un tant soit peu généreuse la gênait plus que tout, d'où le port de vêtement de grande taille. Enfin prête, un sourire apparut sur sa bouille d'enfant, où ses pommettes se teintaient de rosée, comme à leur habitude. Tout cette préparation pour aller en cours. Au travail, on l'a voit souvent les cheveux attachés, et une tenue simple sur elle. En congé, c'est selon elle, mais elle aime bien les tenues où la jupe s'accorde avec le haut. Des petits accessoires en plus. juste ça.

Apparence

17 Juin 2004 (8 ans)

Salut ! Moi c'est Saria ! C'est la première que je t'ouvre, petit journal. Tu es encore vide, mais ne t'inquiète pas, je me charge de le remplir, et très vite, tu vas voir ! C'est mon premier soir où j'écris sur tes pages, et tous les soirs je continuerai. Je dessinerai aussi dessus et collerai des images, je te raconterai tout ce que je vis à la maison et à l'école, avec les copains ! Mais là, je vais dormir, je veux pas que maman me trouve encore à écrire, demain je me lève tôt car je déménage ! On va en France. Je sais pas vraiment où c'est, mais papa me l'a montré sur la carte, et c'est super loin du Japon, tout à gauche ! J'ai hâte d'y être et de découvrir toutes les nouvelles choses qu'il y a là-bas ! Mais maintenant, 'est l'heure de dormir ! Bonne nuit journal, à demain !

18 Juin 2004

Coucou, c’est encore moi ! On est arrivé en France, avec Maman et Papa. Ça change beaucoup du Japon ! Il y a moins de trucs mignons, ça fait trop bizarre. Mais ce qui était bien, c’était la grande tour qu’on a vu à Paris, sa capitale. Elle était juste géante ! Même qu’avec Papa, on est montés dans un ascenseur pour aller tout en haut ! Les personnes en bas, elles étaient toutes petites, on aurait dit des points qui bougeaient tout partout ! Maman nous a rejoins un peu après, le temps qu’elle achète un truc. Elle m’a dit que c’était une surprise et que je la verrai ce soir dans l’hôtel. Si tu savais à quel point j’étais impatiente de voir ce que c’était ! Et quand j’ai découvert ce que c’était, j’ai sauté au cou de Maman car c’est ce que j’avais demandé pour mon anniversaire ! Il est dans une semaine, mais c’est pas grave hein ! Et tu sais c’est quoi ? C’est un arc ! Il est trop cool ! Y’a des aventuriers qui en utilisent quand ils battent les méchants, à la télé. J’ai envie de faire pareil ! Papa a dit qu’on pouvait aussi être ar.. Queur (archer) je sais pas quoi, mais c’est un sport où utilise l’arc dans les tournois ! Je l’essayerai dès demain ! Parce que là, faut dormir comme il est tard. Dans quelques jours, on arrive enfin dans notre maison ! La ville s’appelle Chantilly, comme quand on en met sur les gaufres et les crêpes ! Je suis pressée d’y être, peut-être que c’est une ville sucrée ou un truc dans le genre ! Mais je sais que c’est pas possible, c’est bien de se l’imaginer !
J’arrête pour aujourd’hui, j’ai beaucoup écrit en plus, je vais finir par te remplir avec une seule journée si ça continue ! Je te laisse une photo de mon arc, regarde comme il est beau !
À demain !

5 Septembre 2004 (9 ans)

Cher journal,

Ça fait déjà 2 mois que je suis à Chantilly avec la famille ! C’est dommage que ce ne soit pas une ville sucrée comme je me le suis imaginée… Mais y’a beaucoup de boutiques de biscuits et autres gâteaux super bons ! On y est allé avec Papa et maman d’ailleurs, après ma rentrée. Parce que oui, j’ai fait ma rentrée aujourd’hui ! Je ne me suis pas encore faite de nouvelles copines, j’irai les voir demain !
J’écris pas beaucoup ce soir, je suis vraiment très fatiguée avec l’école, et ça continue demain… En plus, on commence les cours d’anglais et on m’aide un peu pour les mots français que je comprends pas encore, même si j’en connais beaucoup ! C’est Papa qui m’aide à la maison, car il connaît beaucoup plus que nous ! Puis en plus il vient de France que Maman m’a dit, c’est aussi pour ça !
J’y vais ! Bonne nuit !

1er Août 2006 (13 ans)

Mon cher journal…

J’ai passé une affreuse journée. Mais je te jure qu’il n’y a pas pire, vu ce qu’il s’est passé. Pourtant, tout allait si bien ! Nous sommes allés à la piscine, Maman, Papa et moi. Le soleil brillait fort sous ce ciel bleuté. Il y avait pas mal de monde à la piscine, c’était bien. On s’était installé et j’ai foncé dans le bassin.  Je me même fait des amis, c’est dire ! On s’était bien amusés en plus. Puis on voulait faire une petite course sous l’eau. On a donné le top départ et avec deux amis on a plongé dans l’eau en vitesse. Je n’avais pas de lunettes pour voir sous l’eau. Peut-être que si j’en portais, cette journée se serait bien passée, je sais pas… J’ai pas fait attention et je suis entrée en collision avec quelqu’un. Un adulte, je crois. Il s’en était remis plus rapidement que moi, je crois que ce sont nos têtes qui se sont cognées, je sens encore la vilaine bosse qui va apparaître d’ici là. Il  fait d’un coup tout noir, j’entendais des voix, mais j’avais l’impression qu’elles étaient très loin de moi. Puis je me suis sentie emportée à la surface. J’ai eu la peur de ma vie à ce moment-là. Et cette peur s’est encore plus accentuée. Plus jamais je ne me baignerai, je le jure. Je ne veux pas que cette chose affreuse refasse surface. En attendant, je vais un peu me reposer, je suis vraiment fatiguée par cette journée éprouvante. J’espère juste que demain sera une meilleure journée qu’aujourd’hui. Mais ce qui est décidé, c’est que je raille la natation, la piscine, tout ce qu’il y a en rapport avec l’eau de ma liste. Plus jamais de la vie.

3 Mars 2010 (17 ans)

Cher journal,

Ça fait longtemps que je n’avais pas écrit sur un cahier, le soir, avant d’aller me coucher. Quand je relis toutes les histoires que je raconter sur ce vieux journal usé datant d’il y a des années, je me dis que j’ai eu une belle enfance, malgré les petits couics qu’il y a des temps à autre. Même si, au cours des années, il n’y a pas eu que de la joie, mais aussi de la tristesse, de la colère, beaucoup de rancœur envers les autres en cours. Et relire tout ça m’a redonnée cette envie d’écrire à nouveau.
Maman est repartie en Corée. Elle nous donne souvent de ses nouvelles et se porte comme un charme. Et cela fait déjà un an qu’elle partie, nous laissant Papa et moi, derrière elle. J’avais du mal à réalisé son départ, je me suis sentie mal un mois entier, même si mon père était là pour me redonner le sourire. D’ailleurs, je le lui avais promis de le garder à jamais, ce sourire.
Je me suis aussi inscrite dans un club de tir à l’arc ; non, je ne me suis pas arrêtée depuis que j’ai reçu ce fameux cadeau de Maman pour mon anniversaire.  Je l’ai encore, ce jouet. Dans un coffre placé dans ma chambre, là où sont rangés les objets qui me sont chers. Je suis bien contente de continuer et, sans vouloir me vanter, je suis douée dans le domaine, à force d’en faire.
Nous vivons toujours sur Chantilly. Papa voulait que l’on déménage une nouvelle fois, mais cette atmosphère me plaisait trop pour partir. Et, il fallait le dire, la Boutique de Mère-Grand. Ce que vendaient elle et ses employés étaient juste succulents. Je ne peux pas m’en défaire. Je pars même avance de la maison pour acheter de quoi grignoter au lycée. D’ailleurs, je ne vais pas tarder à aller leur rendre une petite visite. Ça m’a fait du bien d’écrire dans ce bouquin. Je pense que je m’y remettrai dessus pour annoncer les choses importantes.
Sur ce, bonne journée, cher journal.
Saria.

26 Juin 2015 (19 ans)

Cher journal,

Je n’ai pas tenu la promesse, je t’ai laissé de côté à cause de mes études. Bien que ce fût difficile, j’ai quand même obtenu une bonne mention, et je suis étudiante dans une Université à Chantilly. Non, je n’ai pas bougé, je ne bougerai jamais d’ici. Je revois Papa de temps à autre, comme je suis désormais dans une chambre universitaire. Et les cours se passent bien. Tout se passe bien, même. J’ai d’ailleurs fêté mes 19 ans hier. Ça passe vite, n’est-ce pas ? Déjà dix années que je tiens un journal, même si je n’ai pas écrit tous les jours, voire une dizaine de fois par mois, ce qui reste très peu. Maman compte revenir dans peu de temps ici. Elle est partie bien trop longtemps, j’ai eu peur de ne plus jamais la revoir, mais finalement, l’espoir est là.
Et sinon… j’ai reçu une lettre.
Cette lettre.
Je n’ai pas très bien compris au début, j’ai cru que l’on s’était trompé de destinataire, mais il est bien imprimé en majuscule mon nom et mon prénom. Et lorsque je l’ai ouverte, j’étais surprise de ce qui était inscrit sur le bout de papier. Mes yeux s’étaient subitement écarquillés quand j’ai lu « Boutique de Mère-Grand », mais aussi « une association d'agents secrets qui œuvre depuis des années ». C’eut été le grand choc pour moi. Je pensais rêver, mais non, cette lettre m’était belle et bien destinée. Et je n’y crois pas trop, je ne réalise pas encore l’ampleur qu’il y a dessus. On me demande d’y réponse sous un délai d’une semaine. Chance, demain je n’ai pas cours, j’irai à la boutique, à cette boutique que j’allais toujours avec mes parents. Pour l’instant, je vais aller me coucher, vu qu’une grande journée m’attend demain. Bonne nuit.

27 juin 2015

Cher journal,

Je n’ai pas vu le temps passé. C’était si soudain, si rapide aujourd’hui. Je n’ai pas oublié mon objectif : aller à la boutique de Mère-Grand. J’étais un peu paniqué à l’idée d’en savoir plus. Lorsque j’ai montré ma lettre à l’un des membres, il m’a menée dans les locaux. À ma grande surprise, ces derniers étaient juste énormes. C’était si vaste, un couloir inondé de portes menant à différentes salles. Nous nous sommes arrêtés devant l’une d’entre elle et « l’employé », si je puis dire, toqua à la porte, avant d’entre une voix nous invitant à entrer. M’invitant moi à entrer. Il me laissa traverser la porte avant de la fermer derrière moi, retournant à ses occupations. La salle regorgeait de casiers sûrement plein à craquer, d’un bureau, d’une chaise et de celle qui devait gérer tout ça. Ce n’était pas un rêve finalement, mais la voir et l’entendre de rejoindre son organisation m’a fait tiquer. Je ne sais pas, est-ce que je vais réussir à tout gérer avec les cours ? Papa ne doit pas être mis au courant si je deviens l’un de ses « agents », je serai une simple employée de la boutique que l’on visite depuis toujours. Ça fait bizarre dit comme ça. Mais je me sui dis que ça mettrait un peu de piment dans ma vie. Alors oui. J’ai signé son contrat, et je suis devenue agent de Mère-Grand, prête à l’écouter. Je pris le nom de code « Orchid ». C’est joli, pour un nom d’agent. D’après ce que j’avais compris, le système fonctionne avec des couleurs, en anglais. Il doit y avoir un paquet d’agents, dans son agence. Je me demande comment elle fait pour s’y retrouver… Bref. Je suis maintenant agent, identité à cacher en étant étudiante en travaillant à temps partiel à la boutique. Cela ne va être de tout repos, mais je pense que je vais m’en sortir.
Je suis fatiguée, je vais aller me coucher. Demain sera un nouveau jour, je me demande ce que l’on me réservera lorsque je serai arrivée à l’Agence. Enfin, on verra bien. Bonne nuit.

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