[Roman] Rendez-vous en enfer

Je vous présente le prologue d'un roman dont j'ai eu l'idée récemment. Inspiré de ma vie, il reflète la plus grosse connerie que j'ai fait. C'est un roman réaliste se passa à notre époque.

Prologue:

La vie s'appelle connerie.
Le bonheur n'existe pas, pas plus que l'amour ou l'amitié, ces niaiseries dont tout le monde vous bourre le crâne et l'esprit à longueur de journée.
Oui, la vie est une connerie.
Je croyais être heureuse, avoir des amis, une famille.
Je n'ai plus rien.
Tu as bousillé ma vie.
Tu l'as détruite.
J'ai envie de te tuer, de te faire souffrir jusqu'à la mort.
J'ai envie de te détruire, de t'annihiler.
Mais je ne peux pas.
Parce que je t'aime.

Alors déjà, j'aile trop :o
Je veux la suiteuh, j'ai trop envie de savoir !
Et aussi de te faire un énorme, gigantesque, super gros gros gros câlin parce que je comprend un de ces sentiments...
câliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin !!

Merci :) *fait un câliiiin à Red*
Et bah t'auras la suite comme tout le monde, faudra attendre :p

ALors je vais attendre, et survivre è_é (ou pas :p (si quand même, autrement j'aurais pas la suite :p (quoique y'a peut-être des ordi aux enfers des anges :p)))

On sait jamais mais peut être que c'est ça l'enfer. Avoir un ordi, tu files dessus et... il s'éteint. Et bien sûr que dès que tu t'éloignes, il marche à nouveau ^^

Sam 25 Aoû - 19:06

J'attendrai moi aussi, mais je vais quand même le dire : Suiteuuuuuuuh, c'trooooop intriguant ><

O____O Ce serait horrible O_____O Je vais bosser pour finir au paradis, parce que le coup de l'ordi infernal, j'ai pas envie de le vivre >_____>

Non, mais là c'est même plus les enfers...

Et pis au paradis, y'a les démons maintenant, parce que dieu est un gros feignant et qu'il a rien fait pour les empêcher d'envahir son jardin d'édène :p En plus y'a même pas de beignet !!! :o
Et avec blue, quand on ira chez les anges en enfer on se fera un barbuc avec saucisse 8)
Et je vais arrêter de poluer >_>

P.S : C'est quand qu'elle est là la suite ? :D

Je suis en train de la faire ;)

C'est normal, l'enfer, c'est l'enfer. Y a pas pire normalement ^^

Chapitre 1 (première partie):

Bonjour, moi c'est Nina. Je suppose que si vous lisez ces mots, c'est parce que vous avez trouvé mon journal intime et que je suis pas en état de vous dire cela moi-même. J'y croyais pourtant, à ce rêve, à cette chimère. Mais la vie est cruelle et ne laisse pas de chances à ceux qui rêvent.
Comme je le disais précédemment, je m'appelle Nina. J'ai eu 16 ans le 27 août 1998 et je vis dans la région du Morbihan. Oui, je sais que vous connaissez sûrement les galettes bretonnes, les kouign-amanns et autres spécialités du pays. Ma famille habite là-bas depuis trois générations, depuis le temps où mon arrière-grand-mère s'est réfugiée ici pour fuir les bombardements de la Grande Guerre. Je suis née dans une petite ville proche de la mer, durant un été qui avait été très chaud. J'ai aussi un grand frère qui s'appelle Lucas et qui est parti de la maison le jour de ses 24 ans, c'est-à-dire il y a cinq ans, avec sa fiancée. Ils se sont installés dans le sud, près de Nice. J'aime bien mon frère. Il est gentil, drôle, quoique un peu moqueur mais il est intelligent. Je suis allée plusieurs fois le voir avec mes parents par la suite.
Pour en revenir à moi, je menais une petite existence paisible, bien qu'elle ne l'avait pas été du tout au départ. C'était même le contraire. Je n'avais rien. Mais avec de la détermination, de la patience et surtout beaucoup de travail, nous avons pu faire l'impossible.
Nous avons pu réalisé nos rêves...

Ven 31 Aoû - 14:59

O.O la suiteuh !!!!

à côté de vos écrit, je sens les miens ... pas terrible :/ j'hésite à le mettre du coup :D

Chapitre 1: (deuxième partie)

Mes parents n'étaient pas riches quand ils s'étaient rencontrés, c'était même le contraire. Jonglant entre leurs différents métiers, ils essayaient par tous les moyens de pouvoir nous offrir une vie normale. Ma mère était caissière le jour et infirmière la nuit. Mon père était comptable, livreur et taxi. Ils étaient épuisés quand ils rentraient le soir, et moi et mon frère on les aidait comme on pouvait. Puis un jour la chance a sourit. Contrairement à ce que vous pouvez pensez, nous n'avons pas gagné au loto, nous n'y jouions pas, c'était au dessus de nos moyens. Non, ce fut autre chose...
Un ami de mon père avait récemment monté en grade dans une entreprise de marketing, et il avait proposé un poste à mon père à ses côtés. Un équivalent de directeur de projet. Nous avons été fous de joie car nous savions ce que cela valait à nos yeux comme la première marche vers une vie meilleure. Mon père avait quitté tous ses autres travaux et s'était concentré, avec notre aide, sur celui-là. Petit à petit, il est monté en grade, de plus en plus haut. Jusqu'à décrocher le poste de PDG de l'entreprise multinationale, après la mort de l'ancien directeur. Nous avions failli avoir une attaque en apprenant ça. Ca y était enfin ! La fin de tous nos cauchemars, de nos malheurs, de nos dettes, loyers non-réglés, privations et autres choses horribles que nous avions endurés si longtemps !
J'avais quatorze ans à cette époque, et une page entière de mon existence venait de se tournée. La première chose que fit mon père fut de m'inscrire dans un internat à haut niveau dans la région. J'étais si contente ! Car entre l'aide que j'apportais à mes parents et à la maison, j'étudiais à fond. Aucun jeu, aucun livre, rien. J'avais fini par atteindre un haut niveau, mais dans une école de niveau bas, car on avait pas les moyens de me payer une grande école. Je pouvais enfin rentrer dans la prestigieuse Académie de Sainte-Tellen. Pour ma rentrée en seconde, mon père m'offrit une splendide jument appaloosa blanche et alezane du nom de Carmaëlle. Car comme pour toutes les prestigieuses écoles de Bretagne, celle de Sainte-Tellen avait un haras, ainsi qu'un parcours de golf, un complexe sportif et toutes les choses dont une jeune fille pouvait rêver. Impossible, un tel bonheur n'existait pas... Mais je devais me rendre à l'évidence que si.
Ma mère avait démissionné de ses travaux et s'était faite engagée par mon père comme sa secrétaire personnelle. Lucas avait eu droit à une grande école et à se qu'il avait toujours rêvé de faire, l'industrie aérospatiale.
Oui, le bonheur existait, du moins, c'était ce que je croyais. Qu'est-ce que je pouvais être naïve...

Ven 31 Aoû - 20:18

O.O c'est tip top !!!

j'adore ^^ je suis fanne ^^

Sam 1 Sep - 16:51

J'aime beaucoup ^^
Le thème du journal intime est ... récurant, mais ça a l'air mieux parti que l'idée que je me fais de ce type d'écrits :D J'attends la suite avec impatience ^^

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