✎ 24.12.16 - Le Petit Cooki est enfin sorti ! Venez le lire ici ♥
05.09.16 - En RP nous venons de passer au printemps ! Profitez de la douceur des températures pour visiter Chantilly et son parc fleuri.
05.08.16 - Agence Cooki fête ses quatre ans ! C'est qu'il devient un grand garçon. Merci à vous nos petits membres adorés ♥
31.08.16 - Vous l'avez attendu, le voici enfin ! Le dernier numéro du LPV à lire ici avec des interviews exclusives !
05.08.15 - Le voici le voilà, le numéro de l'été ! Avec son concours Mister Chantilly et tous ses petits articles croustillans, à lire ici !
05.04.15 - Le dernier numéro du LPC est disponible ici ! Venez y découvrir toutes nos dernières nouveautés c: 01.12.14 - C'est bientôt Noël sur Agence Cooki ! Pour l'occasion, retrouvez notre nouveau numéro du LPC ici et notre calendrier de l'Avent là ! 05.08.14 - Le forum fête ses deux ans ! Et pour l'occasion, il revêt un tout nouveau thème ! Plus d'infos ici ! 01.08.14 - C'est l'été sur Cooki ! Et le nouveau numéro du Petit Cooki est enfin disponible chez votre marchand de journaux ! Et c'est finalement Oberon qui passe modérateur ! Nous lui souhaitons bon courage. ♥ 03.06.14 - Le journal de Cooki est enfin disponible ! Venez vous l'arracher et poster des tas de coms ici ! N'oubliez pas non plus notre concours Miss Chantilly spécial bikini o/ 09.02.14 - Un nouvel évent a été lancé sur le thème du Carnaval ! Les inscriptions sont ouvertes ici, n'hésitez pas à y faire un tour ! :3 01.12.13 - Vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver ! Votre calendrier de l'Avent est de retour ici ! Et votre cadeau pour attendre la venue de Noël là :D 05.11.13 - Novembre est là, et il apporte dans vos boites aux lettres des petites news ici ! 17.10.13 - Boucle d'Or rejoint le Staff en tant que modératrice ! Bonne chance à elle ;) 05.10.13 - L'automne est là, le mois d'Octobre aussi ! Retrouvez ici toutes les news du mois :D 05.09.13 - C'est la rentrée sur Agence Cooki, et les news du mois sont disponibles ici. Nous vous annonçons aussi le départ de Blue du Staff, celle-ci redevient un simple cupcake de la populace du forum ^^ 05.08.13 - Happy birthday Agence Cooki ! Rendez-vous ici pour tout savoir de la giga fête de Cooki et pour prendre une part de gâteau avec nous ! 05.07.13 - Mois de juillet, nous voilà ! Et avec nos nouvelles fraiches et ensoleillées qu'on retrouve ici ! N'hésitez pas à commentez ;) 12.06.13 - Un nouvel éditeur de messages a fait son apparition sur le forum, rendez vous ici pour plus d'explications sur ses différentes fonctionnalités ! 05.06.13 - C'est le mois de Juin ! Tous les nouveautés sont disponibles ici :) 05.05.13 - Nouveau thème centré sur les contes :) venez donner votre avis ici ^^ 08.01.13 - L'Agent Yellow rejoint officiellement le Staff en tant qu'administratrice, graphiste et codeuse ^^ 08.08.12 - Ouverture du forum au public ! 05.08.12 - Création du forum
Surnom : Ami (peu nombreux par ailleurs) : Renzo Ennemi (en grand effectif) : Lorenzaccio
Âge & date de naissance : 18 ans, 14 novembre 1996
Nationalité : Italien, pizza, pâtes, toi saisir concept..? *v*
Orientation sexuelle : Pantophile. Sisi ! et Bi… accessoirement… 8D
Phobie & complexes : Phobie du feu, des torches, des feu d'artifices.. tout ce qui à de la chaleur en gros <3 Complexes? Déteste la solitude, à un énorme complexe d'infériorité et compense son manque flagrant de virilité par une vulgarité (que je tenterai au mieux d'adoucir dans les rps xD) provocante et immorale.
Vous & l'agence : Occasion d'admirer de nombreux spécimens non-humanoïde <3
Rang de combat : Fort - B3
Autre : on his face it's a map of the woooooooorld ! <3
Derrière l'ordinateur
Prénom (ou surnom) : Nina Âge : 16 ans Fréquence de connexion : dépend des devoirs 8D Comment as-tu connu le forum ? un lapin trop pressé sans pour autant être un citron *meurs* Ce que tu aimes et n'aimes pas : ce que j'aime est ce que je n'aime pas *c* Une remarque ? pignouf Code du règlement : Plop
Caractère et capacités
Cinq lignes minimum pour décrire ton 'tit caractère et tes capacités physiques/mentales ♪
je m'asseois, lève les yeux, et attends. Contemple.
Menteur. Mensonges. Fausseries. Héhé.. pauvre de vous. Que savez-vous.. De qui? Moi. Nous. Même vous. Vous ne vous connaissez pas vous même, et prétendez contrôler, gouverner. Vous souhaiter le monde. Vous n'aurez que la cendre. Ce qu'il en est de moi? Probablement la même chose je dois dire… On me traite de menteur, on me traite de traître, de tout ce qui est synonyme de tromperie et de mensonge. J'aime quand vous le dîtes. Je ne peux espérer meilleure définition de l'humanité. Je mens, certes. Je me complais dans vos déceptions et vos regrets, vos remords, me nourris de votre naïveté et trop grande confiance, trop grand foi. En moi. Vous êtes déçus? Tout le monde l'est. Mais vous aimez ramener ce problème à votre personne, vous aimez vous plaindre, et que les gens vous plaignent, toujours à rejeter les autres tout en recherchant leur contact comme s'il était une drogue, un besoin. Vous avez peur, après tout.
Vous êtes effrayés. Ce monde semble vaste, et vous si petit. La tendresse que vous aimez donner ne vous revient jamais. Comme un coup de vent. Elle disparaît. Vous êtes seul, vous le savez. Rien n'est plus dérangeant que la solitude. Vous la détestez, elle est tendre et froid. Vous l'aimez, elle ne vous afflige pas, ne vous inflige rien. Votre patience est votre qualité, votre défaut est de ne pas en profiter. Chaque mots que vous interpréter, bien souvent mal par ailleurs, à autant de secrets pour vous qu'il n'en à pour les autres. Vous y voyez un sens caché, un sous-entendu. Vous passez vos nuits à ne pensez qu'à cela, vous n'en dormez plus. Triste paranoïa. Affligeante insomnie. Mais si vous mentez, cela se pardonne. Vous n'êtes qu'un enfant, après tout. Une âme perdue. (Rire). Une âme? Disons l’enveloppe qui est censé la conserver. On a peu de chose à dire sur vous. Vous aimez la vie tout comme vous la craignez, vous aimez le soleil sans en apprécier la chaleur, vous êtes d'une innocence quasi morbide…
Vos capacités…? rien de bien glorieux. Qu'avez-vous de plus à offrir en service qu'un certificat d’artisan qui ne serviras jamais. Vous êtes doués de vos mains. Vous aimez, et savez créer, construire, ficeler. Peut-être cette dernière est-elle en effet plus intéressante. Le soucis de se promener avec un flingue, c'est qu'il est voyant, et sale. L'avantage, au contraire, d'avoir dans ses poches plusieurs bombonnes de fils très fins et très résistants, selon leur fonction, pouvant aussi bien servir à ligoter qu'à étrangler, est que cela rend la mort plus esthétique est plus original. Vous en avez plusieurs, de bombonnes. Chacune de résistance différente : des fils de laine, des fils de fer, des fils plastiques... Vous êtes rapide, aucunement endurant. Vous savez parles plusieurs langues, donc l'anglais et l'italien. Cela ne servira surement pas. Un don pour la manipulation, également. Et la discrétion. Un métier d'espion aurait surement été plus adéquate. Mais vous en avez décidé autrement. Votre choix, après tout. Mais je ne vous blâme pas, ne vous critique pas. Quand je vous regarde dans les yeux, c'est mon reflet que j'y vois.
Je reste assis, un long moment. Je soupire, puis me lève. Rappel : pensez à enlever ce satané miroir de la cuisine. Je prend un couteau.
/CLANG/
Apparence
Cinq lignes minimum pour décrire ton apparence et ton plus joli minois ♪
Si j'ai des yeux? Oui. Du genre marron, bordeaux. Peut-être vous arrivera t-il de les confondre avec du rouge. Ce n'en est pas pourtant. Cette couleur est laide. Le sang est laid. Et je ne suis pas laid. C'est vrai après tout, un visage fin, une peau balzane (merci les origines, merci l’Italie, merci le soleil) et des cheveux bonds… typique italien, après tout. Rien de bien étonnant, certes. Petite taille? rajoutez la corpulence et vous l'oublierez vite. Un masque, je suis souvent vu avec. Masque noir et blanc. Tranché en deux. Deux faces différentes. Parfaits, symétrique. J'ai le regard vif, pour en revenir aux yeux. On aime souvent les yeux, on dit qu'ils sont la fenêtre de l'âme, et que l'âme est comme un oiseau en cage, et que la cage est verrouillée à clef. J'ai la clef. Ça s'appelle la mort. Pourtant, mon regard n'est pas réduit à un état de zombification extrême. Je suis vivant. Mais mon âme est libre. Elle se balade dans mon corps. Alors si jamais vous tenez tant que ça à fixer le fond de mes yeux, je vous conseille de d'attendre, et d'attendre. Elle ne risque pas de passer avant longtemps. Mes mains sont larges, celle d'un artiste après tout. Endurcies par le travail et la précision que j'y apporte. De belles mains. Mon cou est toujours entouré d'une écharpe, masquant de vilaines cicatrices, et des mitaines pour cacher celles qui s'affichent en une ligne autour de mes poignets. Alors, un dernier conseil : regardez, admirez, bavez, pleurez.. et rappelez vous que c'est une propriété privée..
Histoire
Dix lignes minimum pour nous raconter ta 'tite histoire personnelle ♪
La première fois que j'ai vu le monde, j'ai pleuré. Où? Dans les bras de ma mère. Quand ? A ma naissance. Vous ne pouvez pas imaginer ce que c'est de respirer pour la première fois. En fait, si. Pardon. Il est cependant plus compliqué de s'en souvenir, ce que j'ai malgré moi, fait. C'est comme respirer un bon litre d'azote gazeux, qui vous refroidit la gorge à une température en dessous de -30, avant de s'infiltrer dans vos poumons. Le début de mon existence en lui-même était douloureux. Je n'étais surement pas préparé pour la suite. Mais personne ne l'est, à cette âge là. Notre mémoire n'est même pas censée fonctionner. Allez savoir, le destin est une chienne, la plupart du sang, pour la plupart des gens. Le mien est une sangsue. Mais ce n'est pas de mon sang qu'elle s'abreuve. L'espoir est bien plus appétissant après tout.
La deuxième fois, je l'ai trouvé magnifique, ensoleillé, remplis de promesses et d'aventures, de possibilités infinies, le reflet magique de l'autre côté du miroir. J'y voyais un poisson, un chat, un homme, un criquet, une femme, des pantins. Magique. Splendide. Une vie parfaite. Qu'est-ce que j'étais con... L'homme, assis sur son atelier à assembler des morceaux, c'était mon père. Un passionné, un marionnettiste, qui gagnait sa vie à faire des spectacles, et occupait son temps à m'apprendre comment construire des marionnettes, ou bien à s'en faire lui-même. C'était sa vie. On venait après. Le pantin sur l'atelier, celui avec le long nez, les fils en plastique, les yeux de billes rouges, c'est le mien. Mon premier. Ma plus belle création. Elle n'avait pas de nom, cette marionnette. Je refusais de lui en donner. Mon père disait qu'à partir du moment où elles en avaient un, de nom, elles commençaient à avoir une âme, un cœur, et prenaient vie si l'on s'en occupait assez. J'en avais peur. Alors le pantin resta le pantin. J'avais énormément de frère. Tous en bois. Chacune de ses créations devenaient ses enfants, au point qu'il en oublia le seul fait de chair et de sang. Je le lui en voulut pas. C'était sa passion, sa vie. Ma mère aussi. Moi, j'avais deux mains, et je les aidaient. J'appris avec eux les rudiments du métier. Je m'améliorais, observait.. C'est ce monde là que je vois, dans ce reflet. Et je le jure, pour moi, il était parfait.
La troisième fois que je le vis, il était en flamme. Enfin, voir.. c'est une façon de parler. Je l'ai senti plus qu'autre chose. Sa chaleur jaillissant des entrailles de la terre. Le feu. La maison était en feu. Nous, dehors : mon père en larme, ma mère en état de choc, les deux regardants avec effroi leur vie réduit à l'état de cendre. Littéralement. Moi, j'étais muet, mon pantin dans les bras, mon bras brulé par les flammes d'où je l'avait sorti, les flammes brillantes dans le ciel, le ciel couvert de fumée noire, la fumée s'insinuant dans mes poumons. Mon monde calciné. L'incendie avait débuté dans l'atelier. Une bougie qu'on a oublié d'éteindre, le feu qui s'était nourri du bois et des marionnettes. Tout était allé très vite. Lorsqu'il avait atteint la gazinière, ce fut l'explosion. Puis l'on s'est réveillé. On a courut pour l'éteindre. On a sauvé que la poignée de la porte, et mon pantin. Bienvenue au XXe siècle. Mon père pleurait encore, ma mère se joignait à lui. Ce fut un beau requiem de notre vie. Adieu l'ancienne. Bonjour, la nouvelle. Mon cœur se serra. Pas de tristesse… pas totalement. Je serrai fortement la marionnette dans mes bras, et me mis à mon tour à pleurer, laissant par moment passer de pitoyable gémissement. Ma mère interpréta cela comme du désespoir, et me serra dans ses bras, murmurant des mots comme : "je sais, c'est dur, nous sommes aussi triste que toi, sois fort…" Je voulais lui hurler de se taire. A la place, un sanglot terrifié passa ma gorge. Je vis les flammes danser devant mes yeux, me narguant, m'invitant, et je ne pu que trembler, absolument terrifié.
La Quatrième fois, le monde était gris. Grand. Vaste. Froid. Il se résumait à un pont, et nos corps dessous. Encore vivant. Mais sans un sous, sans un abri plus convenable qu'un carton. La vie était devenue triste, sans saveur. Je n'aimais pas celle-là, restant nostalgique de l'ancienne. Je ne me souviens pas vraiment, malgré tout, de tout ce qui s'est passé. Les mois passaient, aussi difficiles les uns que les autres. Cette histoire semblant tourner en véritable drame sociale et familiale, je passerai les détails sordides. Lesquels? Ce à quoi ma mère du se rabaisser. Ma bouche est cousue. Les spectacles de rues, entretenues avec ma marionnette, la seule encore bonne à quelque chose et dans un état respectable, nous rapportaient quelques pièces. Après de nombreuses économies, nous quittâmes nos misérables cartons. Pour où? Une misérable maison. Un petit endroit pas plus confortable, mais abrité du vent, avec des lits et deux chambres. l'équivalent d'une cave. Avec vu sur la gouttière. Notre petite vie, si on peut encore l'appeler ainsi, continua ainsi un certain tant. Les déménagements étaient quotidien. Lorsque nous étions dans l'incapacité de payer le loyer, on partait. Et rebelote. Comme des pantins. Toujours le même spectacle, les mêmes répliques, les mêmes ficelles, la même vie. Il suffirait d'un feu, d'un incendie...
La cinquième fois, le monde était blanc, et sentait le désinfectant, la maladie et parfois la mort. Un sale hôpital. Et ma mère couché sur un lit, aussi blanc que son visage. Ce qu'elle y faisait? Aucune idée. Mon père? Il pleurait. Encore. Seul le bip bip à côté nous faisait savoir que son cœur battait encore. Moi j'attendais. Quoi? La ligne droite, la fin de ces courbes, et de cet atroce bruit. J'attendais le silence, le repos, la paix. Pour qui? Ma mère, mon père. Moi? Je ne sais pas même pas ce que je fais là, assis, avec mon pantin dans les bras. Il n'avait toujours pas de nom. Triste chose. Peut-être devrais-je me décider à lui en trouver un. Les chansons au dehors allaient de bon train. Les bavardages aussi. Venise, en été. Et nous, sur le plancher. Ma mère avait perdu du poids, son teint était devenue blafard, et elle toussait successivement. L’hôpital avait été la meilleure solution. Intérieurement, j’espérai qu'elle y reste. Il y aurait ainsi eut moins de prix d'hospitalisation. Quelques jours plus tard, c'est ce qu'elle fit. Elle s'éteignit, mourut, décéda, comme vous voulez. Mon père, comme d'habitude. Moi, je pleurai aussi. Comme l'enfant que j'étais. Comme ce que j'étais. Seul. Avec pour seule famille un pantin sans nom, et un père qui virait dangereusement à l'alcool. Rien de plus. C'était suffisant comme malheur. Les jours passèrent. On trouva une petite maison. En bois. Petite. De quoi refaire notre vie. Du moins, c'est ce que je croyais. Mon père réussit à ré-installer son atelier, et n'en sortis plus. J'ignorai ce qu'il y faisait, ne demandait pas non plus. Il était étrange, distant, maniaque, ramassant chaque morceau de bois qu'il trouvait sur le sol, allant jusqu'à en arracher au mur. J'avais peur, restait dans ce qui me servait de chambre, n'en bougeait quasiment pas. Et ces dans un moment comme celui-là que je lui trouva un nom, à ce pantin. Peut-être pas le meilleur, ni le plus original, mais il me convenait, à moi.
La sixième fois, il était noir. Pas à cause de la lumière. Il n'y en avais de toute façon aucune. Je n'étais pas aveugle non plus. Mes yeux étaient en parfait état. Malgré tout, je ne voyais rien. Je ne pouvais pas. Pour quelles raisons? Le bandeau qui me barrait cette vue à laquelle j'aspirais tant. J'ai paniqué? Non. Saleté de sédatif. J'étais perdu? Déboussolé? Intérieurement effrayé? Plus probable. Je sentais mes membres, coups et tailles compris, attachés fermement en l'air. Le sol, je ne le touchais pas. Je n'étais même pas allongé décemment sur une table. Juste suspendu dans les airs, comme un morceau de viande. Ce qui me retenait, c'était du fil. J'en suis quasiment sur. La finesse et la solidité ne trompe pas. Puis, le bandeau s'enleva. Je ne m'attendais pas à ce que je vis. La pièce où j'étais, je la reconnaissais. Remplis de marionnettes et d'outils de travail. Devant moi, un homme. Même cheveux, même yeux que les miens. Mon père. Il souriait tendrement, des fils et des morceaux de bois dans sa main. J'avais peur, aucune honte à l'avouer. Il ne cessait de répéter des "tu ne me quitteras jamais", "cette vie ne nous manquera pas"... je me suis arrêté au moment où il parla d'immortalité. Pourquoi? Ce furent les dernières paroles que je put retenir avant de sombrer dans un gouffre noir de douleur. Vous vous demander à quoi ressemble l'enfer? A une chambre noire. A quoi ressemble le diable? Le diable est un homme. Et vous, vous êtes là, à subir d'innombrables châtiments. Moi, je subissais les expériences d'un vieux fou.
La septième fois... (rire) la septième fois... Elle arriva trois mois plus tard. Trois mois sans fin. Trois mois où je n'étais que le cobaye, et lui le maître. Chaque fois, c'était le même discours : "je fais ça pour nous", "je t'accordes l'immortalité", "tu ne me quitteras pas". Le quitter? Je ne rêvais que de ça. Dans son esprit torturé, l'immortalité avait un visage de pantin. Ce qu'il essayait de faire? Je lui ai demander. Je n'eut en réponse que: "une marionnette ne vieillie pas, tu sais" Et là, ce fut clair. Sauf que l'ignorance aurait été préférable. Ces mois de tortures, ces mois d'expériences, ils n'auront servis qu'à alimenter sa lubie, la folie dans laquelle il se plongeait. Me transformer en marionnette.. J'en avais assez. De lui. De cette vie. De ce calvaire. Les jeux étaient faits. Le tout pour le tout, comme on le dit. Ce que j'ai fait? Rien de plus qu'attendre. Un jour, quand il revint, je souriais, rentrais dans son jeu. Si j'avais honte de le manipuler? Jamais. Je susurrai que je comprenais, que je lui pardonnais, et que son expérience avait réussis, que j'étais devenu un pantin. De l’intérieur tout du moins. Il marcha. Je continua alors, lui disant que, s'il ne voulait pas rester seul, il devait, lui aussi devenir une marionnette. Il était aux anges. Au septième ciel. Sans vraiment réfléchir, il s'injecta de la sciure de bois qu'il avait mis dans une de ses seringues et qu'il avait prévu de tester sur moi. Il n'en eut pas le plaisir. Je vis ses yeux se révulser, les morceaux de bois pénétraient son organisme, sa bouche se *PASSAGE CENSURE*. Après avoir assisté à sa longue agonie, je parvint à me défaire des fils. Comment? C'est un Secret. J'étais faible, mes membres étaient douloureux, faute de ne pas avoir pu bouger depuis des mois. J'étais maigre. Malgré tout, je pris la peine, avant de m'en aller, de prendre le plus de fils que je pu, tous de consistances différentes: en fer, en plastique, une corde normale... tout ce qui pouvait me servir. Puis, j’allumai le gaz. Je laissa la bougie allumé, et me traîna dehors. Une explosion se fit entendre quelques minutes après que je soit sortis. La chaleur du feu ne m'atteignit pas. Je ne pris pas la peine de regarder. Je partis, laissant mon père, ma vie, et mon pantin aux flammes.
La huitième fois, le monde était en or. Un magnifique, sublime panorama. Venise au printemps. Ses fleurs, sa chaleur, son côté romantique et séducteur, un peu de bonheur et de couleur dans ma vie. Cela faisait un an, déjà. Un an que j'arpentais les rues. Un an que je me démerdais comme un adulte. Un an depuis que tout avait changer. Je n'en gardais que des souvenirs brûlants, et ancrés dans ma peau. Autour de mon cou. Autour des poignets. Je les cachais, rien de bien important. Ce que j'avais fait, depuis un ans? Rejoins la mafia. Héhé.. oui. Je ne rigole pas. Mais que voulez-vous, les choix ne s'étaient pas vraiment imposés d'eux-même après l'incendie. Gagnez de l'argent, sans plus rien, sans marionette, et seul, c'était impossible. Un job? Vous avez-vu mon âge? Alors je me suis tourné vers l'un des réseaux criminels les plus récurrents : la mafia. Comment j'y suis entré? Peut-être par un véritable talent d'acteur, un sens aigu du travail bien fait, certaines compétences de combat rapprochés et d'espionnage. Non, je rigole. Ca n'as absolument pas été facile au dépars. Je n'étais qu'n gosse avec qui ils ne voulaient rien avoir à faire. Faire mes preuves, tuer des gens, participer aux interrogatoires… je n'ai eut ce droit qu'après une longue periode d'essai, qui dura toute l'année. Voilà où j'étais passé. Je passa trois ans au sein de la mafia. A mes 18 ans, lors d'une opération, j'entendis parler de cette agence, celle dans laquelle je me trouve actuellement. Comment? Réseaux international. Rien ne se perd, tout se transmet. allez-savoir, je fus comme attiré par cette information, les problèmes qui en découlaient. Ma curiosité me tuera surement. Comme mon paternel. Mais lui repose un peu partout dans le monde, en état de cendre, et le vent l'emporte le plus loin possible de mes soucis. Un jour, je reçus une lettre. Quelques contacts me firent miraculeusement disparaître. Je quitta Venise. Quitta tout le monde. Une vie en moins, une nouvelle en vue. Un énième monde, pour bientôt.
Bienvenue Nina ~ Bon, gneu viens de rentrer, alors gneu pas finir de lire ta fiche. Mais gneu trouve ton personnage déjà très intéressant ! Le lapin citronné te salut ! o/
Messages : 1694 Arme de prédilection : Pistolet Arme non maitrisée : Grosses armes
Kanoooo lhsnddlighwdlhiugdbjsdg -> Yel, tu vas avoirr la même réaction que moi ? 8D *meurt* Hum bref, je te re-souhaite la bienvenue c: (oui le cochon, c'est moi 8D)
Kanoooo lhsnddlighwdlhiugdbjsdg -> Yel, tu vas avoirr la même réaction que moi ? 8D *meurt* Hum bref, je te re-souhaite la bienvenue c: (oui le cochon, c'est moi 8D)
J'ai eu la même sur la CB 8D xD Re-bienvenuuue personne aussi sadique que moa :DD
Bienvenue chez les foooous !! //PAN// Wow j'adore ton perso '^' ( et ton vava d'autant plus *w* ) J'ai vraiment hâte de voir la suite ! En tout cas bon courage pour ta validation et au plaisir de pouvoir te parler et/ou rp =)
Benvenutti! Un autre Italieeeeeen! Je suis plus seule au monde Toi je t'aime èwé (Je crois que Pinocchio et Scarlet vont se "supporter" parce que mêmes origines et même sadisme! Mais on verra ça ;) ) Bref, re-bienvenue et bonne chance pour finir ta fiche! <3
J'vous remercie.. ou pas.. laissez moi réfléchir... <(le lapin de la reflexion ) //SBAFF// Bref ....! bof bif /COUCHEZ!/
L'histoire est en cours, j'ai déjà fait le plan (et beaucoup de zolies petites censures que je déteste mettre mais vu que ça risque de l'être un moment ou un autre (censurés), va bien falloir que je cache ces moments "perturbants"... mais "cachez est pire que montrer" alors... )
Je Poste ca ce week-end au plus tôt !
Silver : La pantine va vite te faire déchanter... *sort la ficelle*
Dernière édition par Pinocchio le Jeu 20 Nov - 13:06, édité 1 fois
Bonjour ! juste pour prévenir que ma prezz va prendre du retard : ma box est morte, donc plus d'internet (là, je suis sur un ordi de mon lycée *<*) Je n'ai aucune idée de quand ma mère prévoit d'en racheter une, donc, je préfère prévenir ^__^
Messages : 9858 Arme de prédilection : Sniper Arme non maitrisée : Arts martiaux / Armes de poings / Armes de jet
Bonjour ! J'aurais besoin de plus de temps pour l'histoire : elle est bientôt terminée, et il ne me reste que trois paragraphes à faire :D Merci par avance <3
Messages : 9858 Arme de prédilection : Sniper Arme non maitrisée : Arts martiaux / Armes de poings / Armes de jet
BON ! ça y est ! Finis ! j'ai un peu bâclé la fin de l'histoire, mais ça risquait de me prendre mille ans sinon et je n'ai pas mille ans devant moi, seulement 340 *<*
Messages : 9858 Arme de prédilection : Sniper Arme non maitrisée : Arts martiaux / Armes de poings / Armes de jet