Marchant bon train, le lièvre déambulait dans la ville, cherchant le quartier résidentiel ou se qui pourrait s’en rapprocher. Malheureusement pour le dernier petit bonhomme qui le croisa, notre cher March commençait a en avoir marre et poussa le bambin en bas de la bande trottoir lui attirant des regards désapprobateurs voire outré.
Déjà, notre jeune homme portant une tuque à oreilles de lapin rabattu ne semblait pas remarquer qu’il faisait tache dans le décor. Portant un costume à queue de pingouin et ses souliers piquer. Puis, c’est yeux contrastants avec cet habit si monochrome. Mais la plupart des commentaires des passants étaient sur la fameuse poche de thé broché à son col tel un écusson de « I Love TEA ». Surtout que la poche était utilisée et encore trempée. March l’appréciait pour son odeur et, car il pouvait la mâchouiller quand la frustration devenait trop grande. Ne s’en fus trop, déjà dix minutes qu’il cherchait et il n’avait vue par-dessus le marché, aucun salon de thé où il aurait pu aller exposer sa fureur et se détendre tel un ivrogne des herbes. Il décida d’attraper la première chose qui lui tomba par la main.
Bon la deuxième en fait, parce qu’il avait agripper le panneau de circulation et qu’elle ne semblait pas être d’une grande aide. Il attrapa un col, bon un col, c’était meilleur signe. Ne portant même pas attention se a quoi il parlait, car il était soudainement interloquer par sa poche de thé se la passa entre les dents, tenant toujours cette personne mystérieuse.
(en mâchouillant le sachet de thé) –
dis-moi, où puis-je trouver réconfort et saveur ?! Fait vite, j’ai un anniversaire à préparer. Il cracha d’ailleurs au passage, sans trop s’en rendre compte, sur son interlocuteur, sur qui il porta finalement son regard.
(Désoler pour le temps d’attente, en espérant que le style et la longueur te plaisent, je déteste faire mes entrées, toujours ennuyantes)