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 [roman] L'espoir d'une amitié

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Anonymous
Invité
Ven 8 Mar - 16:01
Je viens seulement de commencer à l'écrire donc pour l'instant rien de bien concrêt^^

Prologue

-Ne pleure pas, ma fille. Sèche tes larmes. Tu seras heureuse ici.
-Tu… Tu viendras me chercher, pas vrai ? S’exclama la petite, les joues rouges et baignées de larmes.
-Quelqu’un t’emmènera un jour. C'est promis. Mais en attendant, sois sage…
L’ombre sonna, puis s’en alla. Laissant l’enfant, que la nuit réconfortait, sur le pavillon.
La porte d’entrée s’ouvrit chaleureusement. Et la fillette disparue à son tour.

Sois sage…
Ces mots n’étaient plus qu’un écho lointain… Dans un mauvais rêve.


N'hésitez pas à me donner des conseils :)


Dernière édition par Agent Ivory le Sam 9 Mar - 14:29, édité 1 fois
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Maelyss Haryn
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Ven 8 Mar - 16:12
Le début me fait penser à Ellana, quand Isaya lui fait promettre de rester sage :')
C'est mignon, un peu vide sur certains endroits et un "s" qui manque à les joues et un autre en trop dans emmènera, mais j'attends la suite ^^.


Dernière édition par Agent Yellow le Ven 8 Mar - 17:18, édité 1 fois
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Agent Red
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Ven 8 Mar - 16:43
J'attend aussi la suite, on a envie de savoir ce qu'il va se passer^^

par contre "S’exclama la petite, les joues baignées de ses larmes et les joues rouge."
c'est un peu bizarre^^' à cause de la répétition de "les joues" tu devrais plutôt mettre un truc du style "les joues rouges et baignées de larmes" ou quelque chose dans la genre :p
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Anonymous
Invité
Sam 9 Mar - 15:39
Agent Red a écrit:
J'attend aussi la suite, on a envie de savoir ce qu'il va se passer^^

par contre "S’exclama la petite, les joues baignées de ses larmes et les joues rouge."
c'est un peu bizarre^^' à cause de la répétition de "les joues" tu devrais plutôt mettre un truc du style "les joues rouges et baignées de larmes" ou quelque chose dans la genre :p

Ah oui tu as raison^^ Je n'avais pas fait attention :)
Merci !!

Yellow : Ah désolée^^ Je n'ai pas lu Ellana

Chapitre 1

-Allo ?
-Bonjour Alyss ! Bien dormi ? Je veux que tu te présentes devant ma suite dans dix minutes. Ne soit pas en retard.
CLIC !
La jeune fille balança sa couette par terre.
-M'énerve ce vieux, bougonna-t-elle en sautant du lit et en partant derechef vers la salle de bain commune. Après une rapide douche, un brossage de dents sommaire, et une coiffure improvisée, elle plongeait sur la dernière orange trainant sur le vieux réfrigérateur de l'appartement et escaladait le balcon donnant sur le parking. Il était jonché de marres d'eau boueuses. Entamant un marathon, elle attacha son pull et releva la capuche sur sa tête pour sauvegarder sa belle chevelure rousse de cette pluie battante. Sans grand succès car, à peine arrivée à l'embranchement de la rue avec l'axe routier principal, un vent glacial fouetta son visage et renversa sa capuche.
-C'était vraiment inutile de prendre une douche par ce temps-là, songea-t-elle à haute voix, trempée. En plus je vais encore arrivée en retard...
Avalant les derniers mètres avec ses longues jambes et gravissant à grandes foulées les quinze étages du luxurieux hôtel, elle chancelait, haletante, devant la porte de la suite royale. Sans avoir le temps de frapper pour annoncer sa venue, la poignée s'abaissa, laissant apercevoir une magnifique pièce de bois et marbre, aménagée d'un grand canapé de cuir beige, ainsi que d'une table en verre teinté, reposant sur un tapis rouge finement brodé d'un liseré doré.
La pièce était spacieuse et ouvrait sur une grande véranda, inondée de fleurs de toutes sortes, de toutes origines, et de toutes les couleurs ; embaumant l'air d'un agréable mélange parfumé.
Les autres pièces étaient fermées, laissant un brin de mystère sur la vie de son habitant.
-Tu es en retard, commença le vieil homme à la barbe grisonnante, installé confortablement dans un fauteuil –qui détestait le canapé, apportant un contact trop intime avec ses hôtes-, comme toujours... Je me demande si je n'ai pas fait une erreur en te prenant comme apprentie.
-T'avais qu'à me laisser crever sous mon pont, laissa échapper l’adolescente dans un grognement, contrariée.
Sans lui laisser le temps de réagir, le vieillard bondit sur ses pieds et d'un geste vif et contrôlé, vint la frapper au derrière de la tête avec sa canne. Puis il reprit tout aussi calmement :
-Tête d'oignon, ne t'ai-je jamais expliqué qu'un vieillard ne se trompe jamais quant à ses décisions ? Apprends à te servir de ta cervelle, Alyss, et à tenir ta langue en toute circonstance. Même si, objectivement tu penses avoir raison. Mes conseils pourraient te sauver la vie. Plus tôt que tu ne l'imagines.
-C'est facile de dire ça mais moi je ne suis pas comme vous. Je dis ce que je pense et quand je le pense. C'est tout.
-Alors contrôles toi, répliqua-t-il avec un regard empreint de douceur.
-Je ne peux pas, répondit l’intéressée d'un ton provocateur.
Elle savait pertinemment que son maître avait raison mais cette conclusion l’agaçait fortement.
-Arrête de vouloir avoir le dernier mot ! Aies confiance en toi. Tu n'es plus une petite fille. Prends ta vie en main. Le destin nous a mené à croiser nos chemin. Maintenant c'est à toi de décider si tu préfères marcher tout droit ou vers des chemins sinueux. Mais un jour tu ne pourras plus fuir.
-Je ne comprends rien à votre charabia ! Tonna-t-elle, bourrue.
Tous deux restèrent quelques instants à se fixer, droit dans les yeux : la première, d'un air assuré, et l’autre d'une façon propre à lui-même, ni compatissante, ni effrayante, simplement... impassible.
-J'ai dû taper trop fort avec ma canne, avança-t-il d'un ton neutre, mais esquissant tout de même un sourire. Cependant l'heure tourne et je ne t'ai informé de ta mission. Approches-toi de la table, ne restes pas plantée comme un poireau.
Elle se déplaça vers le salon. Ses converses usées étaient terreuses et trempées. A chaque pas, le mentor regrettait ses derniers mots. Mais la jeune élève prenait un malin plaisir à le voir, pâlir, devant les marres de boues qu’elle laissait à travers la pièce.
Il saisit le téléphone mural, situé près de l'entrée et ordonna quelque chose à voix basse.
Une serpillière, songea la jeune rousse, amusée.
En s’installant sur une chaise placée en bout de table, elle observa les tas de papiers, certainement confidentiels, soigneusement empilés devant elle.
-Je vois que tu es encore passée par ton balcon pour éviter le chien de garde, ce matin, bougonna-t-il en revenant.
L’accusée ne répondit rien.
-Bien. Maintenant que tu es installée et disposée à m'écouter, je vais pourvoir t'informer des dernières formalités pour ton inscription au lycée...
-Au lycée ? S’écria-t-elle en se levant brusquement. Je croyais simplement devoir remplir une mission.
-En effet, commença-t-il.
Soudain, une alarme se déclencha. Le vieil homme entraina sa protégée derrière le bar, à couvert, puis chercha du regard les intrus.
-Qui est là ? cria le maître.
Pas un bruit ne résonnait dans la pièce.
-Euh... Si je peux me permettre, entama l’adolescente, mal assurée, c'était l'alarme de votre montre.
Surpris, il regarda l’écran qui clignotait.
-Évidemment, bredouilla le vieillard. Je m'en doutais. Puis en voyant l’air désabusé de son apprentie, ajouta, Simples mesures de précautions...
Il s'empressa de prendre un imperméable, tendit un parapluie à l’ombre qui s’efforçait d’étouffer son gloussement et la bouscula vers la sortie.
-Dépêches toi ou nous serons en retard.
-Mais vous ne m'avez même pas expliqué ce que je vais devoir faire au lycée, entama la jeune fille en courant derrière lui.
-Inutile. Tu es en seconde. Tu t'appelles Alyss Phelyn et tu as quinze ans.
-Alyss Phelyn ? Mais c'est votre nom de famille ?
-Oui
-Nous ne sommes pas parenté.
-Maintenant si.
Attendant une explication, qui ne vient pas, cette dernière reprit.
-Mais vous avez l'âge de mon grand-père !
-Oui.
-Ok... Et c'est quoi ma mission ? Avança-t-elle, incertaine.
-Te lier d'amitié avec Karen Desior et ne plus la quitter d'une semelle.
-Très bien. Et je dispose de combien de temps ?
-Du temps qu'il faut.
L’apprentie comprit qu’elle ne tirerait rien d'avantage. Bien. Elle ne savait rien du lycée. Rien de cette fille. Rien de sa vie. Seulement qu’elle devait protéger une inconnue. Super !
Son mento... Grand-père s'immobilisa. En face d’eux se trouvait un immense portail vert surplombant le trottoir de goudron.
Hésitante, la fille aux cheveux désormais en bataille se tourna vers mon maître qui n'était déjà plus qu'une ombre sur le pavé.
Elle aurait espéré un "Bonne journée. Bonne chance pour ta mission". Mais c'était déjà trop demander.
-Allez ma grande, tu peux y arriver, soupira cette dernière.
D'un pas décidé, elle franchit le seuil de l’établissement pour atterrir dans une vaste cour dallée.
Bienvenue au lycée.




Voilà ! J'espère que ça vous plaira :)


Dernière édition par Agent Ivory le Dim 10 Mar - 17:08, édité 1 fois
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Maelyss Haryn
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Membre souvenir
Sam 9 Mar - 16:05
Trop trop bizarre o.O elle n'est jamais allée à l'école, mais je vois pas comment elle me survivre au lycée ._.
Sinon, il est cool le vieux, moi je l'aurai déjà foutue à la porte pour son insolence xD

Pour Ellana, voilà le passage c:
Citation :
-Tu reviendras quand ?
- Il y a deux réponses à ta question. Comme à toutes les questions, tu le sais bien. Je commence par laquelle?
A l'extérieur, un bruit terrifiant s'éleva. Le bruit des armes qui s'entrechoquent, fendent la chair, donnent la mort. La fillette tressaillit mais sa mère, en lui caressant la joue, réussit à l'enfermer dans l'univers de son regard.
- Laquelle?
- Celle du savant.
- Je ne reviendrais peut être jamais, ma princesse.
- Elle est nulle cette réponse. Donne moi celle du poète.
Isaya se pencha pour lui murmurer à l'oreille.
- Je serai toujours avec toi. Où que tu te trouves, quoi que tu fasses, je serai là. Toujours.
Elle avait placé la main sur sa poitrine. La petite la regarda avec attention.
- Dans mon cœur?
- Oui.
- D'accord...
Premier chapitre, c'est déjà horriblement triste ._.
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http://mlleyellow.tumblr.com/
Anonymous
Invité
Dim 10 Mar - 17:10
Je vois^^
Euh oui j'aime le vieux xD
Elle n'a jamais été au lycée en effet du coup elle ne connais pas toutes les bonnes manières... Ca va être galère le lycée surtout avec sa mission :p

Ps : je viens de modifier quelques trucs, notamment l'énonciation qui est désormais à la 3eme personne du singulier ;)
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Anonymous
Invité
Dim 10 Mar - 21:23
moi j'aime :3 à quand la suite ?^^
*ici se cache l'Agent Red*
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Anonymous
Invité
Lun 11 Mar - 16:22
C'est trop biiiien ! J'aime yeah
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Anonymous
Invité
Mer 3 Juil - 11:48
Bon je modifierais certains trucs dans pas longtemps mais pour l'instant je vous poste la suite ;)

***
Cela faisait maintenant une heure que la principale, Mademoiselle Catons, parlait de son école comme d’une œuvre d’art à part entière ; de ses objectifs en tant que directrice, des bienfaits de venir étudier dans son lycée etc.
Placée à côté d’une étagère bancale vert pâle aux pieds rouge sanguin, paraissant venir tout droit d’une brocante de campagne ou d’un antiquaire ayant la prétention de vendre des croutes, sur laquelle se côtoyaient des bibelots poussiéreux, des instruments inqualifiables, une plante défraîchie et une boîte de mouchoirs vide (ce qui en disait long sur la personnalité de cette dame…), la pendule s’était figée : les aiguilles ne semblait bouger que partiellement, comme plongée dans un demi-sommeil, aidant la propriétaire de ces lieux à contrôler la situation. En effet, cette dernière était visiblement terrifiée par le manque de temps. Vingt-quatre heures étaient certainement insuffisantes pour les gens de son espèce. Pire encore, elle semblait craindre la fuite de sa victime et tentait désespérément de la retenir avec des tonnes de documents formels à remplir.
-Celui-ci est très important, continua la femme en élevant la voix, pour obtenir l’attention de son élève. C’est le règlement intérieur du lycée. Ton grand-père étant légalement ton tuteur, il se doit d’en prendre connaissance, de le signer, et de veiller à ce qu’il soit respecté. Elle insista sensiblement sur ce dernier point à la vue de l’apparence générale de la jeune fille : cheveux bouclés en bataille, sweet blanc à capuche à demi-fermé ouvrant sur un tee-shirt vert délavé, un jean troué au niveau des genoux et laissant pendre des lambeaux de tissus au-dessus de converses jaune décolorées boueuses et décousues au niveau de la semelle.
-Il est évident que vous manquez cruellement de goût vestimentaire et que la douche doit être pour vous, superficielle et inutile mais nous sommes ici dans une institution privée. Ainsi, comme vous aurez tôt fait de le constater, une certaine tenue est exigée et à respecter au plus vite, si vous voulez rester parmi nous le plus longtemps possible, cru-t-elle bon d’ajouter avant de conclure. Puisque vous avez l’air compréhensive et que notre entrevue touche à sa fin, je vous demanderais de bien vouloir me suivre afin de faire connaissance avec vos nouveaux… camarades.
Elle termina de ranger des papiers dans une pochette destinée à être poster, replaça les stylos parallèlement au bord du bureau puis se leva calmement, replaça soigneusement le fauteuil, et prit le soin de contourner largement l’imposant meuble en se dirigeant vers la porte de sortie. D’un simple signe de la main, la directrice intima à la jeune fille de la suivre et ne dit mot.
Alyss marchait derrière la principale, longeant les couloirs vides, et les salles de classes closes.
Tout semblait tellement strict, tellement ordonné. L’adolescente s’y sentait perdue.
Comment s’adapter à un milieu qui n’était pas le sien ?
En arrivant devant sa future classe, elle tremblait de tous ses membres et savait que sa mission ne serait pas gagnée d’avance. Elle qui avait tant espéré une vie meilleure, une famille, avec des parents aimant, des amis à qui se confier dans les dures épreuves de la vie, une éducation convenable.
Alors qu’en échange, le bon Dieu lui offrait une permanente confrontation avec les saisons : le froid en hiver, la chaleur l’été ; emportant constamment le changement dans ses bagages.
Certes, la jeune fille n’était pas plus à plaindre que d’autres, certains mourraient de de faim, de froid, de déshydratation, ou de malheur. Cependant, elle s’était toujours débrouillée pour s’en sortir et restée digne.
Malgré tout, elle aurait pu rester confortablement dans son orphelinat, où elle attendait sagement sa délivrance, comme le lui avait promis son père douze ans auparavant, sur le parvis de sa terre d’accueil. Mais personne ne vint la chercher. Et le jour de ses seize ans, alors qu’une de ses amies venait de se faire adopter par un couple désireux d’assurer sa progéniture, ce fut la goutte de trop. Elle fit déborder le vase.
Alyss demanda son émancipation et, du jour au lendemain, se retrouva à errer dans la ville, cherchant un toit où s’abriter.
Mais devant une étrangère mal-vêtue et crasseuse jusqu’au bout des ongles, les citadins furent hostiles à ses supplications.
Devant la différence, les humains se lavaient de toute responsabilité.
Seules quelques âmes bienveillantes eurent la bonté de lui venir en aide. Ce qui la sauva certainement.
Un an passé dans la rue l’avait rendu à un état primitif et sauvage. Et alors qu’elle s’apprêtait à passer une nuit hivernale sous un pont, à côté d’un trafic routier intense et peu habituel, un drôle de bonhomme s’était précipité à sa rencontre, lui promettant qu’un avenir radieux se lèverait à l’aube de cet hier glacial.
Maintenant qu’elle était devant cette porte, tétanisée par l’inconnu, elle redoutait cette vie tant rêvée.
Ne serait-ce pas au contraire le début d’un cauchemar ?
Echappant à cette pensée obscure, la jeune fille entendit raisonnées dans sa tête les paroles prononcées par le vieillard un peu plus tôt dans la matinée : « Prends ta vie en main. Le destin nous a mené à croiser nos chemin. Maintenant c'est à toi de décider si tu préfères marcher tout droit ou vers des chemins sinueux. Mais un jour tu ne pourras plus fuir. »
Fuir. Elle ne voulait plus fuir.
Inspirant profondément pour emplir son corps d’une énergie positive, Alyss poussa la porte de la classe.
Immobile sur le seuil, tous les regards convergèrent vers la nouvelle.

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