Agent Orange, dit "Alabourre"

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Makise Kurisu feat Steins;Gate (mais là c'est Galaco (Vocaloid))

Nom d'agent : Agent Orange

Nom & prénom : Rider Oksa

Surnom : C'est comme vous souhaitez

Âge : 22 ans

Nationalité : Coréenne

Orientation sexuelle : Mère-Grand Hétéro

Phobies & complexes : Tu sais toi, de quoi est fait le noir ? C'est sombre, et si ça se trouve y'a un monstre qui se cache derrière. Ou PIRE ! Moque toi, c'est ça en attendant elle a pas peur des petites comme des grosses bestioles, ELLE.

Autre : "Oui heu... Non non, rien."

Oksa est une personne pour le moins banale. Son intelligence liée à sa persévérance l'avait mené loin sans ses études, et son application au travail se fait très bien sentir. D'ailleurs, elle est un peu trop pointilleuse, et perd beaucoup de temps dans de petites choses.
Elle est également très sociable et avec de bonnes manières. Elle prenait toujours le thé, ou tout du moins quand elle pouvait. Mais elle a perdu cette tradition lorsqu'elle s'est installée en France.
Oksa n'a toujours été habile pour se lier avec autrui, sa timidité enfantine l'empêchant de rencontrer quiconque.
Mais elle a beaucoup travaillé sur elle et est devenu très sociable et habile dans la liaison de nouvelles relations. Il faut dire que sa curiosité naturelle l'aide énormément. Néanmoins, elle est très jalouse. De tout le monde et pour tout.

Elle est très patiente et aime le calme. Elle fait du mieux qu’elle peut toute la journée, très à cheval sur les règles, pour se faire bien voir auprès de sa patronne qu'elle idolâte. Malheureusement, elle est très maladroite, malgré son sens du courage relatif et quoi qu’il arrive, elle est constamment en retard.

Caractère

Attaque : 30
Esquive : 65
Magie : 0

Armes de prédilection : Le pistolet
Armes non maîtrisées : Tout ce qui est gros en général.

Spécialisation : Infiltré - Classe 4

Oksa a fait une école d'agent secret ; elle a donc acquis des capacités dans différents domaines. Résistance, rapidité, furtivité sans oublier des compétences en combat. Elle est cependant assez médiocre dans ce dernier domaine.

Oksa arrive très facilement à se créer de nombreux contacts dans un environnement qu'elle connaît a peine. C'est sans doute son nombre de contacts qui a incité Mère-Grand à l'engager.

Capacités

Vous voyez cette silhouette fine et élancée qui court vers vous au loin ? Avec ses longs cheveux bruns brillants et bien soignés qui flottent au vent ? Et sa petite robe courte ? Et bien, c'est Oksa, dans toute sa splendeur alors qu'elle va louper son train. Ah, vous ne l'aviez pas reconnue ? Pourtant, on ne peut pas la confondre avec sa démarche mal-assurée de femme qui se dit qu'elle n'aurait pas dû mettre de talon aujourd'hui. Mais que voulez-vous, c'est ça, d'être petite, et ce n'est pas du haut de ses 1 mètre 56 qu'elle va impressionner quelqu'un.

- Zut-euuuh, je l'ai encore loupé.

Elle tourne sa tête vers vous, ouvrant grand ses yeux verts bridés. Pourtant, vous auriez juré que la dernière fois que vous l'aviez vue, elle avait les yeux gris-bleus. Vous ne faites même plus attention au maquillage qu'elle porte, qui essaye plus ou moins d'agrandir son regard, puisque tout les jours c'est le même. Sa peau légèrement orangée vous rappelle également qu'elle est d'origine asiatique.

- Non, Oksa, celui là c'était pas le tien. Il arrive, tiens regarde.

Elle part vers le train qui arrive, faisant cogner son collier contre sa poitrine. Triangulaire, métallique, un collier très basique en soit. Vous l'avez toujours connue avec, jamais elle ne s'en séparait. Et elle n'a jamais voulu vous dire pourquoi...

apparence

- Papa ?
- Oui ma puce ?
- C'est encore loin ?
- On... hum, toussa mon père en se raclant la gorge, on arrive bientôt.

J’avais six ans à cette époque. Mais je me souviens de ce jour comme si c’était hier. J’étais tellement pressé d’arriver à destination. Il ne m’avait rien dit à propos de notre destination, si ce n’est qu’il y avait des enfants partout, un peu comme dans une colonie de vacances. Je n’étais jamais allée dans un tel lieu, j’avais un peu peur de rester seule pour un certain temps, déjà qu’on ne voyait plus beaucoup Maman alors je n’avais pas envie de quitter Papa. Mais il avait dit qu’il viendrait me chercher très rapidement. J’adorais mon père, j’avais passé de merveilleux moments, bien qu’à l’heure où je vous parle je n’en ai que de vagues souvenirs.
Je regardais la petite horloge analogique du tableau de bord de la voiture, en espérant que les chiffres changent vite. Nous avions acheté un gros gâteau à la crème avant de partir ; “Tu partageras hein ?” m’avait demandé Papa. Je lui avais souri, bêtement.
La route coréenne défilait à travers les vitres de la voiture. Le vent s’engouffrait dans les vitres mal fermées. Était-ce mon imagination, ou faisait-il bizarrement froid ce jour là ?

Puis la voiture s’arrêta devant un grand portail en fer forgé. Une dame vint nous ouvrir, et nous entrâmes dans la cour. Je serrais fort le gâteau, si fort que j’avais peur d’écraser. Les enfants étaient venus pour me dévisager. J’avais l’impression d’être leur nouvel centre d'intérêt.
Je ne voulais pas que Papa me laisse ici, ne serait-ce que pour deux jours. Je le vis s’éloigner du bâtiment en repassant par le grand portail en fer forgé.

Je ne me sentais pas très à l’aise parmi tout ces enfants de mon âge. D’ailleurs, je n’avais pas touché au gâteau. Plus tard, on a voulu me prendre mes affaires, mes vêtements, et je ne comprenais pourquoi. “Ton père ne t’a rien dit ?”


Les premières années à l’orphelinat furent difficiles. Enfin, plus difficiles que les suivantes. Le fait que mon père m’est laissée, à l’abandon fut quelque chose de difficile à accepter, et j’en étais très malheureuse.
Les soeurs prenaient soin de nous, nous apprenaient à lire et à écrire, à compter et à parler anglais. Mes amis partaient un à un tandis que d’autres arrivaient. C’était ainsi la vie à l’orphelinat.
Un jour, un couple anglais était venu. Il n’avait rien de plus que tout les autres qui étaient venus, et pourtant, pour une première fois depuis deux ans, je sentais une attention particulière. Le lendemain, lorsque Mr Kim m’avait convoqué dans son bureau, je pensais que j’avais fais une bêtise. Mais quel ne fut pas ma surprise d’apprendre que j’allais vivre avec le couple anglais.

J’allais à l’école comme les enfants de mon âge. J’appris à parler anglais, puis plus tard, français. Je reprenais vie, mais mes parents me disent encore quelques fois que j’ai encore gardé les mêmes traits durs, marqués par les années à l’orphelinat. Je n’étais plus en colère vis à vis de mon père biologique, même si je ne comprenais toujours pas. Lorsque je fus plus grande, j’ai pu avoir accès à mon dossier d’adoption. J’aurais voulu le revoir et comprendre ses motivations.
Le métier “d’agent secret” me plaisait énormément, aujourd’hui encore, et j’ai eu le privilège de continuer mes études dans l’une des seules écoles donnant accès à cet art. (Bien que mes parents, septiques, y étaient très opposés).

J'habitais de l'autre côté de la forêt et passait donc par le petit sentier tout les jours. Le connaissant par cœur, je ne faisais plus très attention aux environs, levant les pieds toujours au même moment pour éviter les trous, connaissant si bien que j'aurais pu les replacer sur une carte de la forêt.
Mais un jour, alors que je revenais de l'école, je remarqua une petite baraque que je n'avais alors jamais vu auparavant et d'où émanait une douce odeur de muffin au chocolat. Ni une, ni deux, estimant mes capacités à la hauteur, je voulus chaparder un ou deux petits muffins.
Alors que j'allais croquer dans un de ces gâteaux, un parapluie -ou était-ce une canne ?- s'abatta sur ma tête. Je ne le savais pas encore, mais c'était Mère-Grand, dans toute sa splendeur. La belle et majestueuse Mère-Grand. Après m'avoir tiré les oreilles, elle me fit une proposition des plus étonnantes : elle me parla de sa boutique de gâteau à Chantilly et ce qu'elle renfermait véritablement, puis décida sur le champ de n’embaucher dans *L'AGENCE COOKI*.
Mon nom actuel, Agent Orange, provient-il de ma couleur de peau, légèrement orangée signe de mon pays natal ? Noooon, Mère-Grand n'est pas raciste, nooon... Si ? ;;

Histoire

Derrière l'écran

- marcher sur le pied de quelqu'un. (fait pendant le sauvetage de brown par le SAMU xD)
- d'arriver en retard à une réunion en criant "C'est moiii !". (ici)
- de sonner chez un agent et de s'enfuir avant qu'il ouvre. (par là)
- de faire la danse des sucreries pour qu'il pleuve des friandises. (idem)
- d'interrompre un combat en faisant "ça suffit ! ... Me tapeeeer paaaas T.T" (here)
- de donner un rdv à un garçon au cinéma pour voir un film d'amoouur. (idem)


- de dire non à toute les questions qu'on te demande.
- de faire la danse de la joie dans un moment critique.
- de faire répéter à une personne plusieurs fois sa phrase pour à la fin dire que t'en as complètement rien à faire.
- de sortir dans une discussion "Alea jacta est" en jetant son manteau sur son épaule comme une cape puis de se retourner.
- de t'incruster dans une pièce, de faire le moonwalk et la danse de la joie tout en criant "J'ai gagnééé !" avant de te rendre compte que t'es pas tout seul.
- de faire croire à un agent qu'il a une tâche sur le visage alors que c'est pas vrai.
- de faire du frisbee avec des cookies.
- de crier à la cantine qu'il y a un agent de GML qui c'est infiltré.
- de prendre en douce les clefs du bureau de MG/GML (selon l'agence, les deux ça compte pas 8D) et de l'enfermer à double tour dans la pièce.
Colocataire~
- de faire un croche-patte à un coloc' à son réveil.
- d'organiser une grosse surprise à son colocataire pour fêter son non-anniversaire en lui offrant la facture d'électricité en cadeau.
Durant tout un rp
- de se balader avec un pot de nutella pendant tout un rp.
- de te prendre pour Mère-Grand tout le long d'un rp.
Combat/dispute
- lors d'une mission avec une mort presque imminente, de s'asseoir sur le sol et de prier Dieu pour qu'il y ait des beignets au paradis.
- faire un rire démoniaque pendant un combat.
- de hurler comme une malade en voyant une guêpe/araignée/insecte horrible pendant un combat.
- en plein milieu d'une engueulade avec quelqu'un, de t'asseoir sur le sol et d'arracher les brin d'herbe autour de toi en grommelant "T'es pas gentil toi.
- d'engueuler quelqu'un alors qu'il/elle a rien fait.
- de faire une clé de bras à quelqu'un alors qu'il voulait juste te serrer la main/faire un câlin/la bise.