Invité | Lun 9 Mai - 22:31 | | Agent Violet, et son ardoise. ♪ Enomoto Takane feat [Kagerou Project] Nom d'agent : Agent Violet
Nom & prénom : Yumi
Surnom : Vio
Âge : 19 ans | 01-11
Nationalité : Japonaise
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Phobies & complexes : Les animaux, c'est pas sa tasse de thé. Elle n'aime pas trop l'extérieur aussi.
Autre : Alala Yumi... Gentille, généreuse et.... On s'arrête là merciiii ! Oui parce que sinon ce n'est pas Yumi qui est représentée, mais son opposé ! Elle peut être gentille, d'accord. Mais qui les autres ne lui font pas de mal, ne se moque pas d'elle du fait qu'elle soit muette. Oui oui. La damoiselle ne peut pas parler. Donc pour s'exprimer, elle utilise un ardoise et une craie. C'était ça ou rien ! Comme ça, elle peut tout dire. Enfin presque. Elle se retient d'exprimer tout ce qui est négatif pour les autres. Et donc elle le pense à la place. Trop peur de lancer les quatre vérités ? Non non, Yumi a toujours été comme ça, ça part tout seul. Si elle pouvait parler, elle ne se serait pas gêner. Mis à part ça, Yumi a un grooos défaut : maladresse. Elle tombe, se cogne partout, elle fait tout ! Elle peut provoquer des accidents à cause de ça ! *sort* On va dire qu'elle est un danger publique. Oui, c'est plus simple. Mais c'est comme ça que l'on peut faire de belles rencontres (enfin presque). Etant muette, elle est timide envers les autres et n'ose pas se rapprocher d'eux, de peur qu'on lui fasse des remarques sur le fait d'être muette. Et de poser des questions dessus aussi, ça peut facilement l'énerver. Et quand on lui tape su le système ou qu'on la dérange aussi, elle se met en colère facilement mais ne veut pas le montrer, elle ne sait pas comment l'interlocuteur pourrait le prendre. Elle fait quand même bien attention aux autres, même si elle est naïve. Oui, elle croit à tout ce que les autres peuvent dire, et elle comprend mal leur humour, qu'elle soit à deux balles etc. Ah elle a graaande peur. Celle des animaux. Vous pouvez passer de la mignonne petite souris au gros chien qui aime vous faire plein de léchouilles, elle ne s'y approchera pas. Elle s'enfuira plutôt. La raison de cette phobie est bien simple : un gentil chien a comparé sa cheville à un bon rôti, quand elle était petite. Caractère A / E / M : 40 / 50 / 0
Elle raffole des petites pâtisseries, et aime en faire. Mais bon, c'est pas pour autant qu'elle est parfaites en pâtisserie. En cuisine tout court même. Cuisine + maladresse = désastre. Enfin presque, ça va quand elle est attentive. Yumi est douée pour le langage, deuxième moyen de communiquer avec les gens. S'ils comprennent et sont aussi fort dans ce domaine. Sinon l'ardoise est toujours là pour communiquer. Mais elle n'a pas que des points faibles ! Le domaine qu'elle exerce le mieux et tir. Elle possède deux armes à feux qu'elle garde toujours sur elle, par pure précaution. Oui, elle est maladroite, fait tout de travers, mais excelle pour la tir. Cela prouve que quand on veut, on peut ! Et puis, dès qu'elle tient une arme, elle se sent plus libre, comme si elle pouvait ce qu'elle veut. Sauf tirer sur les gens. Atterrir en prison n'est pas non plus sa tasse de thé. Mais elle peut aussi créer des petits remèdes faciles à préparer grâce à ses capacités de médecine. Bah oui, imaginez s'il lui arrivait quelque chose, faut bien qu'elle se soigne ! -elle peut soigner les autres aussi, mais elle d'abord. Rabat-joie Powa !-. Capacités Yumi est petite pour son âge et assez mince. Elle a les yeux vairons de couleurs violets, l'oeil gauche plus foncé que le droit. Allez savoir pourquoi elle voulait ce nom d'agent o/ Elle a les cheveux bruns et les porte la plupart du temps couettes, parce que comme ça c'est plus pratique pour elle. Elle a aussi une frange à droite. Son épis l'empêchant de se terminer normalement. Mais ça ne la gêne pas, elle aime bien cette coiffure, et ça la rend différente des autres aussi. Elle tire en grande partie la tronche, mais quand elle le veut bien, elle peut vous montrer un petit sourire apparaître sur son visage. Côté vestimentaire, elle porte souvent une sorte d'uniforme : pull en laine avec des manches trop longues pour ses bras, une jupe a carreaux et un leggins noir par-dessous, pour rien montrer, voyons ! Et puis c'est simple ce genre de vêtements. Na. apparence 1er Novembre 1994. Je naquis. Il faisait tout noir, je me sentais tirée par quelque chose... Ou plutôt, quelqu'un. Quand j'ouvris les yeux, ma vue était floue, il m'était impossible de percevoir la moindre silhouette. Vous me direz que c'est normal, vu que je venais à peine de naître. À leur naissance, les bébés gigotaient de partout, pleuraient, criaient... Moi, je versais seulement de simples larmes et criais, mais sans émettre un seul son. Ça devait être normal, mais non. De tous les bébés nés ce 1er Novembre 1994, j'étais la seule à avoir un handicap. Pas deux, mais un. Je ne pouvais produire le moindre son, mais j'avais la capacité d'entendre ce que les autres disaient, bien que je ne comprenais rien à leur charabia. J'était muette, sans être sourde. Bizarre, non ? Moi aussi, je trouve ça bizarre, mais si j'étais dépourvue d'ouïe, je ne serais pas là en ce moment. Cet handicap m'avait beaucoup déstabilisée durant mon enfance. J'étais dans une école où je n'étais pas la seule à avoir ce problème. Mais les autres enfants ne devaient pas entendre autant que moi que cela nous pesait énormément. Je ne m'approchais de personne, je préférais rester isolée, loin des autres. L'école ne m'aidait pas, elle elle me faisait encore plus de mal. Mais heureusement, j'avais mes parents. Ma mère n'avait aucun emploi, elle s'occupait soigneusement de moi, pendant que mon père travailler au commissariat. Il était un bon policier, respecté et apprécié de tous. Mais je ne le voyais jamais. J'étais triste quand il était absent, mais ma mère faisait de son mieux pur m'occuper la journée. C'était en partie grâce à elle que j'étais apte à pratiquer le langage des signes. L'institutrice nous l'apprenait aussi à l'école, mais je préférais ma mère à elle, on s'amusait bien plus. Elle m'avait tout appris, elle était merveilleuse avec moi, voire un peu trop parfois.
C'était un jour tout à fait normal, je m'en rappelle comme si c'était hier, tellement cette journée était terrifiante, affreuse... Pour une fois, papa était avec nous, cela m'avait vraiment fait plaisir. Nous étions partis tous les trois dans une animalerie. Maman voulait me faire un joli cadeau. Un petit chien, tout doux, tout soyeux. Je l'avais repéré dès notre entrée, la gardienne m'avait laissée le caresser et mes parents l'observaient de loin, un sourire aux lèvres. Je m'étais rapidement attachée à ce chiot, et lui aussi. Si bien que je commençais à sentir ses canines s'enfoncer dans ma cheville, jusqu'à même me mordre. Des larmes coulaient le long de mes yeux, une grimace ornait mon visage désormais pâle. Mes parents m'aidèrent aussitôt, essayant tant bien que mal de guérir la blessure, pendant que la gardienne écartait le chiot loin de moi. Depuis, chaque espèce animale m'effrayait, je ne voulais pas m'en approcher, de plus que des séquelles pussent revenir en moi. Je me sentais déjà mal lorsque j'étais mise à l'écart, mais maintenant, je m'étais isolée de tout. Cet handicap me perturbait de plus en plus, je craquais intérieurement au fil des années.
Quinze ans. J'étais une jeune fille bien plus mature, désormais, malgré la caractère désagréable que j'avais dès que l'on m'abordait. Les absences de mon père duraient plus longtemps, nous nous sentions seules, ma mère et moi. Je me rappelle encore que, lors de ses congés, mon père m'emmenait à la gendarmerie et m'apprenait à manier les armes à feu. Je n'avais pas vraiment confiance à ces « choses » qui pouvaient tuer, au début, de plus de tirer une balle perdue sur un membre de la police, voire sur mon père. Et puis en fait, ce fut tut le contraire. J'avais peut-être hérité de ses capacités, après tout. Puis ce jour arriva. Le jour de mes quinze ans. Je n'en croyais pas mes yeux quand je vis les deux pistolets que m'avait tendu mon père. Soit il était fou, soit il accordait en extrême confiance envers moi. Je les acceptai, surtout pour lui faire plaisir, mais ma mère et moi avions la même expression au visage lorsqu'il nous annonça qu'il voulait me les offrir. Cependant, elle ne s'était pas opposée et soupira longuement. Je devais y faire extrêmement attention, et les utiliser qu'en cas d'urgence. C'était vite dit, vu le silence qui régnait chaque jour ici. Mais c'est depuis ce jour que les choses s'aggravèrent.
Je regrettais amèrement d'avoir pu accepter ces armes. Je ne les avais utilisés qu'une seule fois à la maison. La première, et la dernière fois. Ce fameux soir, où mon père était de retour. Lui et ma mère étaient de sortie, et me laissaient seule à la maison. Rien de grave. Je me retrouvais seule dans le bâtiment. Personne à qui écrire. Personne à qui sourire, rougir, être joyeux... Personne. C'était à ces moments-là que je pouvais réfléchir aisément, me demander ce que je pourrais faire plus tard, comment je pouvais m'en sortir... Déjà vingt minutes s'étaient écoulées depuis le départ des adultes, et je m'ennuyais. Plus qu'habituellement. Peut-être devrais-je maintenant m'approcher des autres, je serais souvent seule quand je partirais... Si je partais.
La porte principale s'ouvrit, mais je ne l'avis pas entendue grincer, ce soir-là. Seuls les bruits de pas me sortirent de mon monde. Pourquoi des bruits de pas, d'ailleurs ? Pourtant, les parents s'étaient absentés, et ils ne seraient pas rentrés à la maison, le film n'avait même pas commencé. Prise d'une soudaine grande plus, je me saisis d'une de mes armes. J'aurais dû les laisser dans le tiroir, ce soir-là. Dessus était inscrite une initiale. « Y ». « Yumi ». Pour les reconnaître facilement. Pourquoi ne les avais-je pas laisser à leur place, pourquoi ? J'étais juste sûre et certaines que des cambrioleurs avaient réussi à infiltrer la maison. Les ps s'entendaient de plus en plus. Dans l'ombre, le revolver braqué sur eux. Deux voix, l'une masculine, l'autre plus féminine. Je ne les avais pas encore reconnues ces voix, trop rongée par la plus. Mon bras tremblait, mais l'arme était toujours pointée sur eux. Entendre des cris, reculer mais tenir bon. Appuyer sur la détente, tirer trois balles. Deux entrèrent en contact avec l'homme, tandis que la troisième fonçait sur la femme. Encore des cris, puis un grand bruit sourd. Enfin, le silence. Deux corps gisaient sur le sol, je m'approchai 'eux et me mis à genoux pour découvrir le visage des ces « voleurs ». Des larmes coulèrent alors le long de mes joues maintenant rouges, comme si cette scène ressemblait à celle du petit chien. Sauf que je n'avis pas mal physiquement, plutôt mentalement. J'aurais voulu que ce fût un cauchemar, où je pouvais me réveille juste après. Par un simple réflexe, je me pinçai le bras, comme si je voulais sortir de ce mauvis rêve.
Rien ne se passa.
Je n'en revenais pas. Ces « voleurs ». Il s'agissait de mes propres parents. Je ne souhaitais qu d'une seule chose ; partir, fuir d'ici et loin, très loin. Intérieurement, j'étais perdue, j'avais souillé mes mains sur ma propre famille, sur les personnes que j'aimais. Quelqu'un tambourinait à la porte, comme si un événement des plus mauvais venait de se passer. Cet événement. C'était la voisine, elle avait finalement décidé d'ouvrir l porte et d'entrer, affolée. Elle avait une mine affreuse quand elle découvrit les deux corps allongés sur le parquet. Son regard baigné de larmes se tourna vers mon regard vairon vide. Elle lâcha un cri avant de s'armer de son téléphone et d'appeler d'appeler les pompiers. Mais elle n'osait plus me fixer, trop effrayée. Cette vieille femme, un peu sénile, s'approcha de moi et posa sa main sur mon épaule. Elle disait quelque chose d'une voix presque inaudible,je ne comprenais rien de ce qu'elle pouvait me raconter.C'était comme si, en plus d'être dénuée de voix, j'étais devenue sourde. J'étais donc devenue une criminelle ? Que devais-je faire ? Fuir les gens, la ville, même ? Oui, il fallait que je me mette définitivement à l'écart. Je me levai alors sous le regard interrogateur de la voisine. Je ramassai mes armes, mon ardoise. Et puis c'était tout. Je ne regardais même pas la vielle femme, encore près des corps, et partis. Où ? Je n'en savais rien. Je courais aussi vite que possible avant de me dresser devant d'immenses arbres. La forêt n'était qu'à quelques centaines de mètres de chez moi. Je m'y aventurai, sachant pleinement que des bêtes sauvages rôdaient dans le parages. Mais je n'y pensais pas, j'avais encore cette affreuse image dans mon esprit. Puis je réalisai vraiment la connerie que j'avis faite. Il faisait bien sombre ce soir, il était difficile de distinguer quoique soit. J devais me cacher, sinon c'en était fini pour moi.
J'avais trouvé de quoi m'abriter un minimum, même si ce n'était presque rien. Les semaines passèrent lentement, j'avais découvert entre temps des herbes pouvant aider à la guérison de certaines maladies. Je l'es avais déjà vue quelques part, c'était dans un des livres de la bibliothèque à la maison. J'en cueillis quelque unes, en prenant soin de ne pas les abîmer. Je me hâtai de sortir de cette forêt, de plus de recroiser un marcassin et sa mère, aussi rouge que les tulipes qui décoraient l terre sèche. Je n'étais maintenant plus très loin de la maison, personne ne rôdait autour, et c'était tant mieux. J'accélérai le pas et faisais attention à ne pas me faire repérer, surtout par la vieille sénile, mais heureusement, personne ne me remarqua et je pus entrer discrètement dans le bâtiment.
Vide.
La maison était vide. Pas qu'il n'y avait plus aucun meuble, mais c'était surtout par rapport à la présence.. Ça m'effrayait, même les corps des parents avaient « disparus. Juste les contours de leurs corps et des petites flaques de sang décoraient la maison abandonnée. J'en tressaillais, mais je me demandais sur le coup pourquoi n'avait-on pas lancé une recherche sur moi. Peu importe, je ne voulais plus y penser, même si je savais que cela resterait gravé en ma mémoire jusqu'à ma mort. Le livre, je devais me focaliser sur le livre, en attendant, et sur rien d'autre. C'était poussiéreux, comme si le ménage n'avait jamais été fait. Ma mère était très maniaque à ce sujet, et balayait toutes les poussières qu'elles croisait, même dans les coins les plus incongrus. Les livres, elle les rangeait toujours à leur juste place. Ils y étaient tous, mais après mon départ, d'ailleurs. J'en saisis un et le fouillai, avant de le ranger et de m'en emparer d'un second. Après quelques recherches, je trouvai enfin le fameux livre et l'emportai avec moi. Avec ce livre, je pouvais maintenant apprendre quelques petits trucs, c'était bien. Si ça pouvait réparer un minimum mon erreur aussi...
Personne ne semblait venir à la maison, j'allais un rester ici pendant quelques temps. Néanmoins, je n'allais pas faire long feu. Acheter, faire du chemin et tout, et je devais cacher ma présence le plus possible. Parce que la vielle sénile, elle, était encore là, à parfois regarder par la fenêtre. Pire qu'une caméra de surveillance. Mais bon, elle n'avait pas encore montré le bout de son nez, tant mieux. Je restais donc une semaine, puis une seconde et enfin une troisième à réfléchir sur ce que j'allais vraiment faire. Finalement, j'avais moins de mal à m'occuper, à vivre seule que je ne le pensais. Puis un nouveau jour arriva. Comme les autres ? Pas tellement. Du courrier. Quelqu'un avait posté une lettre en mon nom. Ce n'était pas normal, comment l'expéditeur savait que j'étais de retour ? Je m'étais pourtant faite discrète en ville. On dirait bien que non. J'ouvris la lettre suspecte et la lit lentement. Agence Cooki. J'arquai un sourcil, me demandant ce que ça pouvait bien être. Je la lis entièrement, plusieurs fois même. « Agent secret », « Organisation du Grand Méchant Loup », « protéger et défendre »... Je m'arrêtais sur cette phrase, je bloquais totalement dessus. Qu'est-ce qu'il voulaient de moi, eux ? Devenir un « agent secret » après tuer ses parents ? C'était de la pure folie, oui. J'avais une semaine pour répondre à la lettre, pour y donner ma réponse. Mais s'ils veulent m'intégrer dans leur agence, c'était pour une bonne raison non ? Plus j'y pensais, plus je me disais que je pouvais me faire discrète, en m'alliant à eux. Je me dirigeai vers le bureau de mon père, où les stylos tait toujours à leur place respectives. J'en pris un, une feuille avec, et me mis à écrire. J'acceptai leur proposition, ça pouvait m'aider d'un côté, et je pourrais gagner un peu plus d'argent comme ça. La lettre enfin terminée, je me fis toute discrète pour la poster. Il a fallu attendre quelques jours pur à nouveau recevoir une réponse et me diriger vers cette fameuse « Boutique de Mère-Grand ». Je ne pensais pas un jour prendre ce chemin-là, mais je me disais que je gagnerais peut-être beaucoup de choses là-bas. Histoire | Prénom / Surnom : Vio
Age : 20 ans
Comment as-tu connu le forum ? Ma grande soeur.
Fréquence de connexion : Toujours sauf si absence.
Code du règlement : Je valide ;p
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Derrière l'écran - Merci à tous ~♥ :
- Oh, les jolis caps:
♦ Appeler quelqu'un pour ne rien dire, ♦ Se chanter soi-même une berceuse avant de dormir, ♦ Voir sa ou son coloc' faire le ménage devant soi et tout remettre en bordel dès qu'il a fini, ♦ Aller voir un film d'horreur au cinéma, ♦ Envoyer balader quelqu'un que j'aime bien, ♦ Appeler quelqu'un "ma 'tite crevette", ♦ S'endormir sur l'épaule d'un collègue, ♦ Prendre un agent pour un gros nounours >> Here.♦ Offrir un truc à quelqu'un, avant de le reprendre et de lui dire "Ah nan pas pour toi", ♦ Réaliser 3 de ses caps dans un RP, ♦ Ignorer son compagnon de RP pendant 3 posts. ♦ Arriver en pleine déclaration d'amour avec une caméra et de dire "Coupez ! C'était parfait les gars, mais plus d'intensité dans les sentiments !" ♦ S'enfuir en plein milieu d'une discussion normale avec son pote de rp en hurlant que c'est un/une pervers/se?
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