Rose-Rouge

Konpaku Youmu  feat [Touhou Project]

Nom d'agent : Rose Rouge

Nom & prénom : L Satô  ( et c’est  parti pour un interrogatoire ennuyant !)

Surnom : L, c’est pas déjà assez court ??

Âge : 16 ans – on s’en fout en fait de la date

Nationalité : Asiatique  (j’ai grandi au Japon)

Orientation sexuelle : Les mecs sont stupides et les filles gnangnans  

Phobies & complexes : Que l’on fasse du mal  à L’. Aucun complexe :  on ne peut pas se changer de toute façon.

Autre : Je blesse et tue très facilement.

Mon caractère ? Vous voulez que je me décrive c’est ça ? Vous pouvez toujours rêver ! Pardon ? c‘est obligé pour l’administration ? La plaie…. En un mot, je suis FORT irascible. C’est bien simple, à part L’ tout le monde me tape sur les nerfs... Ca me donne des envies de meurtres ! Et à ce moment là, c’est assez difficile de m’arrêter. Ca vous va comme ça ? COMMENT ? Il vous faut plus ? Bon sang.
Qu’est ce que je peux encore dire ? Ah oui ! Je suis assez têtue obstinée. Je suppose que c’es le meilleur terme à utiliser… Dѐs que j’ai une idée en tête, je ne trouve pas le repos avant de l’avoir accomplie ! Autant dire que si je ne vous porte pas dans mon cœur, je ferai absolument tout ce qui est en mon pouvoir pour vous pourrir, détruire, anéantir ou, pour les plus chanceux , vous ôter la vie. Bien sûr, il y a des exceptions pour les rare cas ou L’ est intervenue à temps. Ceux là sont encore en vie… pour l’instant ! Attendez que je les recroise !! Parce que j’ai une excellente mémoire (pour leurs plus grrrand malheur !). Si je revois un visage qui ne me reviens pas, la personne qui le possède risque fort de le regretter !Bon je suppose que c’est suffisant à présent ! Toujours pas ? reste calme , L. Respire…
BIEN ! Puisque vous en voulez encore ! vous allez être servis ! Et veillez à ne pas m’interrompre ! j’ai horreur de ça. Du côté de ce que vous appelez si sauvagement des « défauts », je peux vous dire ceci : je ne supporte pas d’attendre ni de faire attendre. Ca me permet d’en finir rapidement et efficacement avec nos missions. Et je ne supporte pas le travail mal fait . Certains vous diront que je suis ce qu’ils appellent vulgairement une maniaque mais je ne dirais as cela comme ça. « J’aime le travail bien fait. » un point c’est tout .Je suis aussi d’humeur souvent…changeante. Oui, c’est ça ! Mon humeur varie entre mauvaise et massacrante en passant par unpeu toutes les nuances qui se trouvent entre en fonction de nombreux facteurs comme : la météo, les personnes que je croise, ce que je fais ou dois faire et ce genre de subtilités.
Je suis aussi assez douée pour faire croire certaines choses à certaine personne. Raconter des choses pas toujours correctes, je l’avoue, pour en tirer ce que je veux.L’ me dis que c’est mal de mentir mais ce n’est pas vraiment ça. J’omets des choses et ça fais tourner la situation en ma faveur. Il n’y a rien de mal à cela ! C’est plus de la ruse que du mensonge, en fait.
–L ! Tu dis aussi dire tes qualités ! Comment ça, tu n’en a pas ? Bien sûr que si ! quand tu fais confiance à quelqu’un, tu es une fille très attentionnée. Tu es trèsfidèle et tu ne laisserais jamais tomber ceux que tu porte dans ton cœur ! Voilà, arrête un peu de te rabaisser et dis d’autres qualités sinon je reviendrai !…….. E-excuse-moi de m’être incrustée d-dans ta présentation… A-a tout de suite !
Je pensais avoir demandé que L’ON NE M’INTERROMPE PAS !! Mais bon, ce que mademoiselle veut de moi ,elle l’obtient toujours ! Donc je suppose que je peux me considérer comme assez intelligente même si il faut reconnaitre que je manque d’objectivisme.Par contre je suis plutôt adroite. Sans vouloir me vanter,je dois reconnaitre que je suis assez habile de mes mains. En ce qui concerne les rencontres, je suis intuitive et je me fie surtout à instinct pour absolument tout. Et je suis franche. Je ne supporte pas quand on me ment (même si je ne me gêne pas pour le faire) mais il y a certaines choses que je ne peux pas retenir. Si quelqu’un m’emmerde, je ne vais pas me retenir de lui dire. Je ne sais pas lesquelles de ces caractѐristiques sont des défauts, ni lesquelles sont des qualités en faits. C’est juste…moi.
Bon c’est assez maintenant ? Oui ? Parfait ! Je m’en vais alors ! Non ? QUOI ?!? Je dois encore parler de moi plus bas ? La barbe…..

Caractère

Attaque : 70
Esquive : 60
Magie : 0

Armes de prédilection : Le Katana (sabre japonais pour les incultes) et les combats  rapprochés
Armes non maîtrisées : Les armes de tirs et armes à feu

Spécialisation : Combattante classe 4

Alors maintenant, il faut que je parle de ma maitrise des armes… Pfff ! Vous pouvez pas demander tout ça à L’ ? Ca ne la dérange pas de raconter sa vie à n’importe qui qui insiste un peu.Ah, il vous faut les deux descriptions parce que l’on est pas identiques à 100% ? Bien ! Trrrrѐs bien ! Alors finissons en vite !
Aprѐs avoir été  abandonnées……Oui,nous avons été abandonnées! Pourquoi ? Ca vous gѐne peut être ? Non ? Tant mieux ! De toute façon je vais devoir vous raconter ma vie en long et en large aprѐs, vous comprendrez mieux. Maintenant ARRÊTEZ DE ME COUPER !
Je reprends.
Aprѐs avoir été abandonnées, L’ et moi avons été adoptée par un maitre d’armes japonais qui nous a appris l’art du combat dѐs nos cinq ans. Mais on jouait déjà avec des bâtons de bois à partir du moment on a su courir. Enfin, surtout moi. Ma sœur était déjà plus calme que moi à l’époque. Bref je m’égare alors que je dois faire court. Je disais, on a appris à combattre trѐs tôt. J’ai rapidement préféré les combats rapprochés aux lancés (il fallait trop de maitrise de soi et de calme pour moi). Je me suis donc spécialisé dans la maitrise du katana et de toutes lames plus ou moins longue ( dans la limite où il ne fallait pas lancer).Ma taille relativement petite et ma souplesse acquise lors des nombreuses heures d’entrainements me permis de développer une certaine rapidité mais ma témérité me poussant toujours à attaquer, je ne prête pas une trѐs grande attention à l’esquive. Ce n’est pas trѐs grave car j’ai tendance à ne pas faire attention à me blessures. Je ne les remarques généralement que quand on rentre de missions et alors je les soigne rapidement.
Je dois aussi préciser que je préfѐres les combats loyaux même si je ne me gêne pas pour faire des sales coups quand je vois que mon adversaire n’en à rien à faire.
Encore une chose. Je ne supporte pas que l’on fasse du mal à L’. D’ailleurs, les rares qui sont dans le cas ne peuvent plus vous en parler. Ca va ? vous avez noté ? Ne touchez pas à ma sœur sinon je vous jure sur mon propre prénom que c’est vous qui allez mourir. Et ce sera douloureux !

Capacités

Alors maintenant je dois décrire mon physique, c’est ça ? Il n’y a rien à décrire, en fait. Au moment où vous me voyez, vous connaissez mon aspect. Mais il parait que je dois l’écrire alors… on va décrire. Au niveau de la taille, je suis relativement petite. Un mѐtre 55 à tout casser. Ça me permet d’être discrѐte et rapide mais je me sens en constante infériorité en compagnie des autres. Ils me regardent tous de haut et c’en est agaçant. Pour une fille de 16 ans, je suis correctement développée (hormis ma taille) et j’ai les cheveux courts. C’est aprѐs que c’est différent. Je suis d’origine asiatique mais il m’est impossible de dire d’où exactement. De plus, à cause d’un sort jeté par une personne qui n’est plus de ce monde (comme c’est étonnant !), je suis naturellement incapable de porter des couleurs. Je suis en noir et blanc. Oui, comme les télévisions des années je-ne –sais-pas-combien. Et le premier qui s’en moque, il le regrettera.
Donc au niveau des couleurs, je n’en porte que deux mais elles sont parfaitement réparties. Mes cheveux sont blancs ainsi que ma chemise et un gant que je porte toujours à la main droite. Mon gilet, ma jupe et mon bandeau sont noirs. J’ai les yeux verrons (noir et blanc aussi, bien entendu). Mon œil gauche est noir et le droit est blanc. La seule touche de couleur possible sur moi se remarque parfois dans ce dernier. En effet, en fonction de mon humeur, on peut voir un reflet de couleur dans mon œil blanc. Mais je vais laisser le soin à L’ de détailler les couleurs. Mon œil de droit est donc la plupart du temps légerement rouge, étant donné mon caractѐre. A part cette légѐre coloration, mon visage ne reflѐte aucune émotion. Hormis un sourire amusé qui peut étirer briѐvement mes lѐvres avant de porter le dernier coup.
Bien ! Je pense que j’ai tout dis à ce propos ! Alors je suppose que c’est maintenant que je dois vous raconter ma vie ?

apparence

Finissons en !
Mon histoire commence avant ma naissance car, comme tout le monde (je l’espѐre), j’ai eu une mѐre. Pas de bol pour moi. La mienne était pauvre et asiatique, mais ça on s’en fout. Et un jour, allez savoir comment, la pauvre est tombée enceinte. Dѐs le début, elle a su qu’elle ne pourrait pas me garder. Elle ne pouvait pas avorter (trop cher) et elle ne pouvait pas m’élever (encore plus cher). Elle était donc dans une impasse et sa seule solution fut de m’abandonner (c’est la solution la plus logique, j’aurais fais la même chose). Je suppose qu’elle m’a gardé tant bien que mal sans se douter que je n’étais pas seule. Et puis vint le jour de notre mise au monde.
Il n’y a rien de spécial à raconter sur l’accouchement. Si ce n’est que la femme (ma « mѐre ») a du être sacrément surprise de voir qu’elle n’a pas eu qu’un bébé. En effet, elle a tellement de chance que,en plus d’être pauvre et enceinte, elle a eu des jumelles. Ca n’a pas changé ses desseins et elle nous a quand même abandonnée en forêt. C’est peut être cruel de dire ça mais je n’en ai pas grand-chose à faire (je m’en fous pour ainsi dire). J’ai eu plus de soucis en tête dѐs mon premier cri.
Elle nous a déposés en pleine forêt alors que l’on n’était que des bébés. Quelles chances avions nous de survivre ? Parce que j’ai oublié un léger détail qui a néanmoins toute son importance : on est née en hiver et il se trouve qu’il neigeait cette année là. On s’est donc retrouvées L’ et moi à mourir de froid à petit feu (il y a une certaine ironie là dedans non ?). Tout ce qui pouvait nous arriver de mieux c’est qu’une bête vienne abréger nos souffrances. Et ce fut le cas, enfin, c’était plutôt un homme. Je n’ai aucun souvenirs de ma naissance( j’étais trop jeune, c’est parfaitement logique) mais mon corps se souvient encore aujourd’hui de la morsure du froid.
Mourir dans la neige est une expérience étrange et douloureuse. Je n’ai d’abord rien ressentis. Puis vint la douleur. Ce n’est pas facile de décrire la souffrance occasionnée par une sensation pareille… c’est comme si on vous plantait de minuscules aiguilles partout dans le corps sans que cela ne se passe réellement. De plus, on ne ressent pas le froid de la même maniѐre quand on est plus âgé que lorsque l’on vient de naître. Mais c’est de cette douleur dont je me souviens quand je repense à mon plus vieux souvenir. J’en étais donc là, à me geler dans la neige (comme je l’ai déjà fait remarqué plusieurs fois) pendant que ma vie (brѐve et insignifiante) gelait avec mon corps. Vint alors le moment d’égarement, pour appeler ça.
La douleur me quitta et je me retrouvais dans un état de paix et de calme (le seul que je n’ai jamais connu). Je ne saurais pas vraiment décrire ce passage entre la vie et la mort mais je ne m’en souviens pas comme d’un moment désagréable. Je pense que je m’y sentais bien et que j’y serais resté volontiers si on ne nous avait pas réanimées. Tirée de nulle part dans un monde dans lequel nous  n’avons JAMAIS demandé à vivre. C’est grâce à Sensei que nous sommes toujours de ce monde. En effet, Il revenait de missions et passait (comme par hasard !) par la forêt. L’idiote (ma « mѐre »)  a eu l’intelligence de nous déposer sur le chemin (mais la neige le recouvrant, on peut lui pardonner cette erreur). Bref, il nous a ramené chez lui (en prenant les mesures nécessaires pour ne pas nous refroidir plus) et, par je ne sais quel miracle, il a réussi à nous réanimer.
Il nous a ensuite adoptées pour élever et nous apprendre les arts du combat. Nous avons grandis correctement et je pense pouvoir dire que, bien que nous sommes de fausses jumelles on se comporte comme des vraies. J’été toujours été soudée avec ma sœur, on se comprend d’un seul regard. Quand nous avons été en âge de comprendre, Sensei nous a raconté comment il nous a trouvées. Nous n’avons jamais eu toutes les informations nous concernant. Je ne sais pas de quel pays était la parfaite inconnue qui m’a donné la vie et je ne sais pas quel jour je suis née (hormis que c’était un jour de neige de décembre). Mais dans le fond, ça ne me fait rien. Comme on n’avait pas de prénom, Sensei nous a appelée L et L’ (oui, oui, comme les pronoms personnels) et ils ne nous a jamais dit son nom. C’est pourquoi nous n’avons pas de nom de famille (mais on n’a jamais eu de famille alors…)
Mais venons-en à la période la plus importante de notre vie : notre entrainement. Je ne sais pas si c’est parce que l’on m’a abandonné à la naissance et que je ne l’ai pas digéré mais j’ai toujours eu un caractѐre plus fort que L’. C’est pourquoi les cours pour apprendre à se maitriser (un genre de yoga EN PIRE) et les exercices de tirs étaient une pénitence pour moi. Je préfѐrais de loin les sports de combats (absolument  tout me passionnait alors) et les sports d’endurance, en particulier la course (je suis plutôt rapide). Mais les exercices plus calmes étaient obligatoires ainsi fis je de mon mieux et je pense pouvoir dire que j’étais arrivée à une certaines maitrise de moi-même l’année de mes onze ans. Mais c’était sans compter le malheur qui avait l’air de bien nous aimer finalement et qui décida de venir frapper à notre porte un jour de… je ne sais même plus. Mais on s’en fout de toute façon.
Je n’aime pas vraiment décrire alors je vous dirais juste que l’on habitait loin du village et que c’est ma sœur et moi qui devions nous farcir les heures de trajets pour aller acheter de quoi vivre (à sept heure du mat’, c’est assez énervant). Donc ce matin là, comme tous les matins de courses, nous sommes descendues au village pour refaire le garde-manger. On ne s’est pas absentées longtemps, deux ou trois heures à tout casser, mais à notre retour, la situation avait tourné et tout partit en vrille. Sensei allait partir en mission.
Cela n’avait rien d’étonnant, il lui était déjà arrivé de partir quelques jours et de revenir avec de l’argent (il faut bien vivre). Mais cette fois-ci c’était différent. Je ne sais pas vraiment comment le décrire mais c’était dans son attitude. Il nous a juste dis qu’il allait faire un tour dans les environs pour être sûr que la région était toujours en sécurité et il est parti sans un mot de plus. ET je pense pouvoir affirmer qu’il était plus pressé que d’habitude. Ce comportement m’a fort étonnée et en jetant un regard à L’, j’ai vu qu’elle avait la même impression que moi. Quelque chose clochait. Et on allait savoir quoi. On a attendu la nuit et nous nous sommes lancées sur sa piste. C’est plus difficile de pister quelqu’un de nuit aussi avancions nous surtout de jour et on dormait la nuit (comme toutes personne normalement constituée en fait) et, aprѐs plusieurs jours, nous l’avons rattrapé. Il se tenait dans une clairiѐre mais, comme vous pouvez vous en douter, il n’était pas seul.
IL se trouvait en présence d’un nain. Pour une fois que l’on voyait quelqu’un de plus petit que nous ! Comme ils avaient l’air en pleine discussion, on s’était cachées dans les arbres, en hauteur de maniѐre à entendre ce qui se disait. Si j’ai tout compris, ils ne s’appréciaient pas beaucoup. Le Nain n’était pas sensé revenir sur les terres de notre petite région et ils en sont venus à se battre. Mais il y avait une nette différence entre les combattants. Sensei attaquait dans les rѐgles de l’art tandis que…le parfait inconnu faisait tous les coups possibles et utilisait la magie dѐs qu’il en avait la possibilité. Je vous laisse deviner qui a gagné.
Le Nain.
Ca c’est passé sous nos yeux. Il l’a frappé par derriѐre !! C’est la pire maniѐre de l’achever ! Il ne l’a pas laissé mourir avec l’honneur qu’il méritait. Je vous jure que j’ai essayé de rester calme. J’ai vraiment essayé. Mais c’était plus fort que moi et L’ a réagi juste aprѐs moi. Donc, j’ai sauté de l’arbre et j’ai attaqué le nain avec toute l’énergie (et surtout la rage) que je possédais. Nous avons ainsi combattu pendant une durée indéterminée mais notre adversaire a du en avoir assez et il nous a lancé un sort et s’en alla. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvées dépourvues de couleurs. Nous sommes alors rentrées « chez nous » avec le corps de Sensei.
Je ruminais dans un coin sur notre premiѐre défaite (qui était aussi notre pemier combat) pendant que L’ creusait une tombe (magnifique soit dit en passant). Je réfléchissai à la maniѐre de retrouver ce nain et de venger Sensei et (c’est beau de rêver) de récupérer nos couleurs, car tout ce que l’on enfilait perdais de ses couleurs et devenait noir et blanc. Mais j’avais beau chercher, je ne trouvai pas. Je pense que ça m’énerva encore plus. Dommage pour toutes ces heures passées à m’entrainer, j’ai tout perdu en l’espace de trente seconde. L’ a été trѐs touchée par sa perte et elle l’a plus exprimé que moi. Même si elle n’arrive toujours pas à en parler. Après cela, nous nous sommes mises d’accord sur ce que l’on devait faire. Nous avons brûlé la maison et nous sommes allées vivre dans la forêt. Je pense pouvoir dire qu’on y était bien. Et puis une lettre a tout foutu en l’air.
« Vous êtes invitée à rejoindre l’Organisation de GML. Ci contre vos billets pour la France si vous acceptez. »
L’ a tout de suite voulu en faire partie. Baka !Je dois dire que j’ai refusé catégoriquement. Ainsi a commencé un long combat pour ma sœur dans le but de mon convaincre. Elle disait que ce serait bien d’avoir un but et tous les arguments qui vont avec. Et vous connaissez la meilleure ? Elle a réussi ! C’est ainsi que nous avons embarqué dans l’aventure et je dois dire que je ne suis pas peu fiѐre de notre cabane à proximité du QG. Mais si vous vous approchez, vous pouvez être certain que l’accueil ne sera pas chaleureux DU TOUT.
Ca fait maintenant cinq ans que l’on fait partie de cette…..organisation et je dois avouer que j’ai pris gout aux missions (quand elles sont intéressantes bien entendu). On continue toujours nos entrainements d’enfance même si j’ai tiré un trait sur le genre de yoga et sa maîtrise de soi.
Bien !! J’ai décris et raconté tout ce que vous m’aviez demandé et j’ai perdu AU MOINS trois heures de ma vie alors à présent je me tire d’ici. A moins que vous n‘y voyiez un inconvénient ? Non ? Parfait !
Alors à jamais !

Histoire

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