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 Hey you! How are you, my cute friend? [Alice+ free~]

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Le Chat du Cheshire
Messages : 156
Arme de prédilection : Griffe - Arts martiaux
Arme non maitrisée : Armes à feux - Armes blanches lourdes
Populace en sucre de Cooki
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Mar 29 Avr - 9:52
Le chat se baladait avec sa non-chalance coutumière, sous sa forme féline, marchant tantôt sur le trottoirs, tantôt sur les murets, tantôt sur les toits, tantôt volant tout simplement dans son camouflage d'invisibilité bien évidement... Le vent et ses pattes l'emmenèrent jusqu'au parc de la ville de Chantilly...

La-bas il y croisa bon nombres de toutous qui essayèrent en vain de l'attraper dans leur grandes gueules pleine de bave, mais à chaque fois Cheshire disparaissait au dernier moment et réapparaissait derrière eux et leurs mettait un copieux coup de pied à l'arrière train comme petite vengeance personnel...

Il fit rapidement le tour de le droit verdoyant, et croisa une personne qu'il reconnut sans mal à la démarche, à la couleur dorée de ses cheveux, et surtout au sourire légèrement naïf de son mignon petit minois... Le Chat décida donc d'aller saluer cette si délicieuse connaissance en lui sautant avec légèreté grâce à son pouvoir de lévitation et atterrit à quelques millimètre au-dessus de la tête blonde. Il agita sa longue queue devant les yeux de la jeune fille en ronronnant de sa voix féline:

- Hey Alice! How are you, my cute friend? Ça fait looooongtemps qu'on s'est pas vu dis-moi ma petite tasse de thé préférée, n'est-ce pas?
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Anonymous
Invité
Jeu 1 Mai - 11:20
Alice déambulait avec grasse dans les petites allées du parc parfaitement entretenu, un énorme livre à la main qu’elle venait d’emprunter à la bibliothèque comme tous les samedis matins. Le week-end il fallait bien s’occuper l’esprit surtout qu’en ce moment l’Ennui prenait souvent la demoiselle aux cheveux d’or. Elle chantonnait de sa voix suave une comptine qu’elle avait apprise quand elle était enfant, lors d’une festivité. Toujours le sourire aux lèvres, elle s’arrêtait parfois pour dire bonjour aux petites marguerites et autres fleurs qui avaient éclos sous les premiers rayons du printemps. Ah le printemps une magnifique saison ! La préférée d’Alice d’ailleurs car, durant cette période, la nature ne cessait de se métamorphoser dans une farandole magique. Ses yeux azurs s’imprégnaient du spectacle estival et tous ses sens étaient en action. La jolie blonde cessa de flâner et ferma les yeux afin d’humer avec plus d’acuité les effluves que dégageaient la flore environnante. Quel doux parfum ! Après ce petit temps de pause, elle poursuivit sa promenade matinale faisant crisser parfaitement ses petits souliers rouges sur le gravier. Rien ne venait perturber la petite blondinette, c’était idyllique pour une personne normale mais pas pour Alice qui était une amatrice de surprise. Ou presque …

- How are you, my cute friend? Ça fait looooongtemps qu'on s'est pas vu dis-moi ma petite tasse de thé préférée, n'est-ce pas?

- Niaaah !

Et l’imposant bouquin vint s’aplatir sur la tête du pauvre minou qui venait subitement d’apparaitre sous son nez pour la saluer. Alice, qui avait fermait les yeux lors de son attaque non voulue, les rouvrit encore craintive. Et quel ne fut pas la surprise quand elle reconnut cet espiègle petit chat, tout sonné. Etonnée, elle ne bougeait plus. Aucun son ne sortait de sa bouche entre-ouverte, aucun battement de cil se faisait entendre, son simple mutisme devant cette vieille connaissance faisait face au félin. Elle fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, faisant couler ainsi sa chevelure blonde sur son épaule droite. Elle recommença mais cette fois sur la gauche. Pas à pas, sur ses gardes, elle s’approcha lentement tel un lapin blanc testant le terrain, et s’accroupit pour venir frôler les poils de son ancien ami, le Chat du Cheshire. Oui il était bien réel. Cette fois, elle fit papillonner ses longs cils et se redressa sans dire un mot. Elle continua alors son chemin, serrant son livre contre sa poitrine, ressentant soudainement de l’amertume. Ca faisait longtemps effectivement. Une fois à bonne distance, elle s’arrêta et sans se retourner lâcha d’une voix claire mais ferme :

- A qui le dis-tu ?

Alors elle resta plantée comme une tige au milieu du sentier. Pourquoi était-elle si fermée avec son ancien ami qu’elle considérait comme son meilleur ? Pourquoi ne le prenait-elle pas dans ses bras ? Pourquoi restait-elle sur le qui-vive ? Des questions qui ne tourmenteraient surement pas le félin derrière elle. Cheshire était le personnage le plus énigmatique au monde. C’était un connaisseur d’âme. Un chasseur de devinette. Un véritable virtuose des choses humaines. Mais à l’heure actuelle, Alice attendait quelque chose de sa part. Et s’il ne le faisait pas alors elle passera son chemin sans lui accorder plus d’attention. Le devoir d’un ami est de ne jamais abandonner les siens.
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Le Chat du Cheshire
Messages : 156
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Populace en sucre de Cooki
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Jeu 19 Juin - 13:28
Si le Chat du Cheshire avait su qu'Alice allait lui refaire un remakes de leur première rencontre aux Pays des Merveilles, ici à Chantilly... Le Chat aurai petit un: cacher ses oreilles sensibles du cri "qui-vous-flingue-en-deux-secondes-les-tympans" que poussa Alice:

- Niaaah !

Et petit deux... Il aurait aussi pu éviter l’imposant bouquin qui s’aplatit avec force sur sa pauvre tête en devenant invisible... Mais bon, il ne pût le faire et se retrouva donc assommé et souffrant d'une rapide perte de l'ouïe pendant une petite minute ou deux... Quand il reprit connaissance Cheshire observa sans mal la surprise de sa meilleure amie qui se traduisait par une bouche ouverte et muette, et une pétrification. Puis cette dernière fronça ses sourcils en penchant sa tête sur le côté droit puis gauche, avant de s'avancer vers le pauvre matou blessé qu'était notre Chat, à la manière d'un lapin sur un terrain miné. Alice s’accroupit face à lui frôlant son pelage étrangement bleu-vert-gris puis elle recula une bonne distance sous le regard légèrement interrogatif de son ami. La jeune fille finit par lui lâcher d'une voix étrangement ferme, selon ses oreilles de félins :

- A qui le dis-tu ? 

Le Chat la fixa une bonne poignée de secondes, réfléchissant à ce qui pouvait contrarié la jeune fille, avant de la voir reprendre son chemin... Il poussa une silencieux soupire avant prendre sa forme humaine après avoir vérifier que personne ne le regardait, et fit quelque chose d'assez rare pour les personnes qui le connaissait:

- Alice... Je suis désolé...

Il laissa un silence, sachant qu'il avait sans aucun doute toute l'attention de son ami avec ses quatre mots et finit par continuer, les yeux fermes, la tête jetée en arrière dans le vide, et ses deux bras, musclés, à la peau hâlé, posés sur le dossier du banc, sur un ton sincèrement désolé et doux:

- Je sais que je n'aurais jamais du te dire ça et surtout... De t'avoir abandonné ce jour-là... Ce jour où tu avais certainement besoin de moi... Mais même si tu ne veux plus m'adresser la parole, je veux que tu saches la raison de mes actes...

Le Chat laissa passer un second silence avant de reprendre sur un ton sérieux:

- Ce jour-là et même quelque peu avant... L'Ennuie m'avait conquis.... Pardon encore une fois Alice...

Toutes les personnes connaissant parfaitement le Chat de Cheshire savait que quand l'Ennuie le gagnait, il devenait un monstre de glaces et de folie, faisant souffrir toutes les personnes qui le croise durant cette état... C'est pour cela que le Chat cherchait toujours une occupation pour éviter de sombrer dans cette "mauvaise folie" comme il aimait le dire. Il ouvrit ses yeux observant le ciel azur où passés quelques nuages, attendant une réponse ou alors juste un geste de la part de la blondinette où tout simplement que le temps passe et qu'il finisse par rentrer dans son appart' avec une colère hors-normes contre lui-même...
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Anonymous
Invité
Dim 13 Juil - 12:23
- Alice... Je suis désolé...

Le corps de la jeune anglaise se crispa de parts et d’autres à l’entente de cette excuse si « étonnante » de la part de Cheshire. Etonnante car ce n’était guère dans ses coutumes de s’excuser auprès de quelqu’un, même si ce « quelqu’un » se trouvait être son ami. Le chat passait plus son temps à faire des farces, poser des devinettes irraisonnées qu’essayer de se faire pardonner. Malgré ce petit hic de caractère et ce côté excentriquement loufoque il restait quelqu’un de bien et conservait un merveilleux karma. C'est pourquoi Alice l'aimait énormément. Elle l'aimait même trop. Sentant sa présence féline s'éloignait, la demoiselle à l'aura douce se retourna brusquement et le vit s'avachir sur le banc sous sa forme humaine. Oh gosh, il n'a pas changé... Il reprit d'une voix douce et confuse ses excuses procurant ainsi à la petite blonde une pseudo satisfaction.

- Je sais que je n'aurais jamais du te dire ça et surtout... De t'avoir abandonné ce jour-là... Ce jour où tu avais certainement besoin de moi... Mais même si tu ne veux plus m'adresser la parole, je veux que tu saches la raison de mes actes...

Alice resta interdite et laissa Cheshire poursuivre ses explications sans intervenir. Rancunière ? Non. Mais curieuse ? Indubitablement. Ce jour où Le Pays des Merveilles tomba en ruine sous les yeux effarés d'Alice ne fut qu'un horrible cauchemar. Tout le monde se souvenait de ses magnifiques yeux couleur océan baignant dans un flot perpétuel et intarissable de larmes. Des larmes salées perlant le long de ses joues roses et venant terminer leur course de douleur sur le sol de la Désolation qu'affichait Le Pays des Merveilles. Elle en avait souffert. Et elle en souffrait toujours inconsciemment. Quel a été le sort de ses amis ? Ont-ils eu le temps de s'enfuir de ce pays imaginaire ? Avait-il été réincarné par on ne sait quel miracle, magie, pouvoir ? Si oui, où sont-ils ? Ou plutôt qui sont-ils ? Des tonnes et des tonnes de questions brouillaient l'esprit vif de l'anglaise malheureusement.

- Ce jour-là et même quelque peu avant... L'Ennuie m'avait conquis.... Pardon encore une fois Alice...

L'Ennuie... Entité magique auquel tous les Lewisiens éprouvaient une véritable aversion. Chaque personne, chaque petit être sur cette planète se trouvait être en proie à une quête de Divertissement pour échapper à l'absurde condition humaine dont parlait Ethan l'autre jour. Quoiqu'ils essayaient de faire, de dire ou de penser ils revenaient sans cesse à la même conclusion. L'Homme est esclave du Divertissement. Prisonnier de cet étau qu'il ne peut défaire, helas... Tout est bon pour se divertir : la chasse, les jeux, les amis, les sorties, la lecture, le tricot, la drague, l'amour, la haine, la mort. Certains, afin d'atteindre un divertissement suprême à la hauteur de leurs éspérances, se plongent corps et âme dans les ténébres et éprouvent au final de la fascination pour la Cruauté. Les faibles tombent dans le piège... Alice s'approcha du banc sur lequel était assis le jeune homme aux cheveux blonds, tout comme les siens, et s'assit près de lui en posant délicatement le bouquin qui avait servit de massue, sur ses genoux. Silencieuse, elle laissa la brise caressait sa peau pêcheuse en fermant ses paupières.

- La Rancune est une tare que je ne cotoie pas, c'est pour cela que je te pardonne Cheshire, déclara-t-elle d'une voix qu'elle voulait posée et sage.

Elle rouvrit les yeux et tourna sa jolie frimousse d'ange vers lui, laissant une larme de joie se perdre dans l'air. Fébrile, elle laissa toute sa dignité de Lady de côté et lui sauta au cou en s'effondrant de larmes.

- Tu m'as horriblement manqué, idiot !

Après tout, que serait Alice sans le chat du Cheshire ? Une Alice sans mystères... A cet instant précis, elle ne savait pas quoi éprouver ni dire. Elle désirait simplement restait dans ses bras et sangloter comme une enfant. Comme avant quand elle était perdue et troublée par certains évènements. Oui comme avant...

- Cela t'aurait tué de me dire ce qu'il s'est passé ? De donner un infime signe de vie ? De rester avec moi ? De rester aux côtés de ta meilleure amie ? s'exclama-t-elle en baignant le pull de Cheshire de ses sanglots. Tu es un vilain chat ! Je ne sais même pas pourquoi je pleure alors que je suis heureuse !
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Le Chat du Cheshire
Messages : 156
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Dim 19 Oct - 15:52
Le Chat sentit son amie s'approcher et s’asseoir à ses côtés sur le banc. Curieux, il tourna son regard vers Alice qui était bien silencieuse, et avait les yeux fermés. Puis la jeune lady déclara d'une voix posée et sage:

- La Rancune est une tare que je ne cotoie pas, c'est pour cela que je te pardonne Cheshire.

Le faux-humain tourna complétement sa tête vers sa vieille amie,qui rouvrit ses jolies yeux de saphir. Elle tourna ensuite son visage angélique vers notre rusé matou, laissant une larme rouler sur sa joue, avant de se jeter à son cou.

- Tu m'as horriblement manqué, idiot !

Le Chat Du Cheshire prit, par surprise, poussa un miaulement avant de sentir les larmes de son amie... Complétement désemparé par la tournure des évènements, il ne sut pas quoi faire. Et avant qu'il n'ouvre la bouche pour lui parler, sa pretty lady le devança:

- Cela t'aurait tué de me dire ce qu'il s'est passé ? De donner un infime signe de vie ? De rester avec moi ? De rester aux côtés de ta meilleure amie ? Tu es un vilain chat ! Je ne sais même pas pourquoi je pleure alors que je suis heureuse !

Le matou serra doucement la blondinette angélique, et se mit à ronronner pour la réconforter, comme dans l'ancien temps... Après être sûre qu'elle ne pleurait plus, il lui dit d'une voix grave et douce:

- Je sais, my Lady... I know... But... Je te l'ai dis... Je n'étais plus moi-même... Il m'a fallut du temps pour le redevenir... Et puis avec ce lapse de temps, tu avais disparut... Je ne suis à Chantilly que depuis quelques jours. Et j'ai appris il y a peu que tu étais dans les parages par ce vieux canidé. Maintenant... Je te promet, my little lady, de n'être plus ce vilain chat...

Le blond recula doucement le visage de son amie, lui effaça ses larmes avant de ronronner doucement avec un grand sourire à la Cheshire:

- Et tes larmes ne sont que celles de joies, Young Lady. Elles réchauffent mon petit cœur de Vieux Matou Farceur...
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Anonymous
Invité
Dim 19 Oct - 16:58
La jeune demoiselle sentit son cher ami resserrer leur étreinte féline, ce qui fit cesser le flot de larmes qui ruisselait le long de ses joues pêcheuse tel un doux ru. Même si il lui avait fait beaucoup de peine son aura était restée toujours aussi rassurante et amicale. Ainsi par le passé, elle aimait bien le voir quand elle avait parfois quelques coups de blues.

- Je sais, my Lady... I know... But... Je te l'ai dis... Je n'étais plus moi-même... Il m'a fallut du temps pour le redevenir... Et puis avec ce lapse de temps, tu avais disparut... Je ne suis à Chantilly que depuis quelques jours. Et j'ai appris il y a peu que tu étais dans les parages par ce vieux canidé. Maintenant... Je te promet, my little lady, de n'être plus ce vilain chat...

Elle resta encore un peu dans ses bras, rassurée par ce qu’il venait de lui dire. Cheshire était certes très farceur et énigmatique, mais cela restait une personne avec beaucoup de cœur lorsqu’il était proche d’une personne. Il n’avait pas un mauvais fond, et contrairement à certaines personnes dans le monde, il savait reconnaitre ses erreurs et les réparer lorsqu’il estimait cela nécessaire. Il recula doucement au grand regret de la petite blonde qui aimait tout particulièrement les marques d’affections de son ami, puis il passa sa main sur ses joues encore humides afin de lui sécher ses dernières larmes chaudes. Alice renifla doucement et leva ses iris cobalts vers le visage du jeune blond qui lui ronronna avec douceur :
- Et tes larmes ne sont que celles de joies, Young Lady. Elles réchauffent mon petit cœur de Vieux Matou Farceur...

La jeune british laissa échapper de ses fines lèvres couleur rubis un éclat de rire aussi pur que du cristal à l’état brut. Elle, c’était ses belles paroles qui lui réchauffaient petit à petit son cœur de poupée si fragile. Elle se releva brusquement, laissant sa longue chevelure blonde virevoltait, et de ses mains elle aida le petit matou à faire de même.

- Je suis contente, tu n’as point changé, dit-elle simplement en plantant ses prunelles joyeuses dans les siennes, gardant ses douces mains dans celle de son ami. J’aurai aimé parler un peu plus mais il se fait tard… Oh je sais ! Passe un jour à la maison, on pourrait discuter autour d’une tasse de thé.

Après lui avoir adressé un clin d’œil et lui avoir écrit son adresse sur un bout de papier qu’elle avait déchiré de son gros livre, elle se hissa sur la pointe des pieds et déposa un petit bisou sur sa joue. Puis elle s’éloigna toute souriante et lui fit un dernier coucou avant de prendre le chemin de la maison. Heureuse.

Spoiler:
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