Voilà, j'ouvre ce sujet parce que je viens de tomber sur des citations magnifiques de livres et que j'ai envie de les partager. Aussi pour rendre homme à quelqu'un, qui, il y a 3 ans bientôt, est monté au ciel trop tôt. C'est qui m'a transmis cette passion de l'écriture, à moi et à des milliers d'autres. Toutes les citations de livres, de films et de personnes connues sont acceptées.

-Shaé... Je... je ne peut plus exister sans toi.
-Pourquoi?
Question chuchotée.
-Parce que...
Il se tut, effrayé par l'univers inconnu qui s'étendait devant lui. Incapable d'avancer. Incapable de se livrer davantage. Elle lui sourit tristement.
- Trois mots difficiles à prononcer, n'est ce pas?
-Shaé, tu...
- Attends. J'avais six ans la dernière fois qu'on me les a dits, Nat. Six ans. Trois mots ont disparut dans un accident de voiture et un gouffre s'est creusé en moi. Terrifiant de solitude. Trois mots auraient suffi à le combler, mais personne ne les a plus jamais prononcés et la Chose s'est installée. Tu sait quoi, Nat?
Elle poursuivit sans attendre :
-Quand j'aurais un enfant, je les lui chanterai, je les lui réciterai comme un poéme infini ,un antidote contre les tourments de la vie, une déclaration de bonheur. Je me lèverai la nuit pour les lui murmurer, bercer son sommeil et chasser ses cauchemars. Et quand il sera loin, Nat, quand il sera loin, je les lancerai vers le ciel pour que le vent les lui apporte. Parce que, sans ces trois mots, nous ne somme rien.
Elle se tut, si belle que Natan eut l'impression qu'une porte s'ouvrait. Une porte chargée de plus de pouvoirs que toutes celles des Batisseurs réunis. Une porte que trois mots magiques lui permettraient d'emprunter. Ces trois mots qui pulsaient dans chacune des fibres de son être, jusqu'au tréfonds de son âme. Ces trois mots qui existaient en lui depuis le commencement des temps. Depuis la première fois qu'il l'avait vue.
Trois mots.


Ce que j’aime par-dessus tout en Gwendalavir, outre la salade de champignons, c’est l’inutilité du mot impossible.
Merwyn Ril’ Avalon

« La vérité pure et simple est très rarement pure et jamais simple. »
de Oscar Wilde

Une phrase que j'ai vue sur un site et qui m'a marquée...
"Quand je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être quand je serais grand. J'ai répondu "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie"

La philosophie tire sa valeur de son incertitude même.

Wer den Tag mit einem Lachen beginnt, hat ihn bereits gewonnen.

Je vous laisse aller sur Google Traduc. pour la seconde, j'ai pas envie de vous la traduire :p

"L'être n'est qu'une petite partie du bonheur éphémère." ♥

quelques citations de la saga Eragon de Christopher paolini :

"J'ai compris que la vraie souffrance de la guerre n'est pas d'être blessé
soi-même mais de voir mourir les êtres auxquels on tient."

"Il y a des amis qu'on ne peut remplacer, et d'autre qu'on a le bonheur de ne pas perdre."

Yel la citation sur La forêt des captifs de Bottero j'adore je m'étais marrée toute seule... Je crois que c'est mon tome préféré à part les Ellana qui me font tout simplement me sentir libre, triste et heureuse à la fois et qui sont juste indescriptiblement géniaux.

"- Quel âge as-tu ?
- 20 ans, mentit Ellana. Et toi ?
Le Marchombre tressaillit.
- Prés du double. Suffisement pour que tu me montre davantage de respect. Par exemple en me vouvoyant. Tu as compris ?
- Que tu avais 40 ans ?? Oui. Le calcul n'était pas difficile."

Ellana Le Pacte des Marchombres, Pierre Bottero

"Achingly familiar in a way that made me wish I was still eight. Eight before death or divorce or heartbreak. Eight was just eight. Hot dogs and peanut butter, mosquito bites ans splinters, bikes and boogie boards. Tangled hair, sunburned shoulders, Judy Blume, in bed by nine thirty."

"He kissed like he was drowning and I was air."

L'été où je t'ai retrouvé, Jenny Han

"- Hazel Grace, a-t-il dit, mon nom paraissait plus joli, comme neuf dans sa bouche. Je suis très content d'avoir fait ta connaissance.
- De même, Monsieur Waters.
J'étais intimidée. Je ne pouvais soutenir l'intensité de son regard bleu azur.
- Je peux te revoir? a-t-il demandé d'un ton qui trahissait une inquiétude charmante.
J'ai souri.
- Bien sûr.
- Demain?
- Attention, ai-je rétorqué. Tu risques de passer pour un impatient.
- C'est pour ça que j'ai dit demain, a-t-il répliqué. J'ai déjà envie de te revoir maintenant. Mais je vais m'obliger à attendre toute la nuit et une bonne partie de la journée de demain.
J'ai levé les yeux au ciel.
- Je ne blague pas, a-t-il insisté.
- Tu ne me connais même pas.
J'ai pris le livre qu'il avait calé entre les deux sièges.
- Et si je t'appelais quand j'ai fini ça? ai-je proposé.
- Tu n'as pas mon numéro.
- Je te soupçonne fortement de l'avoir écrit dans ce livre.
Il s'est fendu de son sourire béat.
- Et tu oses dire qu'on ne se connaît pas."

"Je suis tombée amoureuse pendant qu'il lisait, comme on s'endort : d'abord doucement et puis tout d'un coup."

"Je devais avoir le regard posé sur le dessin d'un ange qui surplombait la télé et qui était agrémenté de l'Encouragement suivant: "Sans souffrance, comment connaître la joie?"
(Un point de vue que j'avais toujours trouvé d'une stupidité et d'un manque de finesse inouïs. Pour le démontrer il suffisait de dire que, même si le brocoli existait, ça n'empêchait pas le chocolat d'être bon.)"

"Il arrive qu’à la lecture de certains livres on soit pris d’un prosélytisme étrange, tout à coup persuadé que le monde ne pourra tourner rond que lorsque tous les êtres humains jusqu’au dernier auront lu le livre en question."

Nos étoiles contraires, John Green

Y'en a une autre d'Ellana, elle est assez connue :
"N'oublie jamais, celui qui croit savoir n'apprend plus."